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Elle a peur du vaccin ! (Forum)

par Dédé ⌂ @, samedi 16 octobre 2021, 12:34 (il y a 895 jours)

Source : Prête à abandonner sa carrière de rêve d’infirmière par peur du vaccin


ERIKA AUBIN
Samedi, 16 octobre 2021 00:00
MISE À JOUR Samedi, 16 octobre 2021 00:00

Une jeune infirmière de Québec qui refuse le vaccin contre la COVID-19 pour des raisons personnelles est prête à faire une croix sur sa carrière de rêve en santé « plutôt que de piler sur ses convictions ».

« Pour pouvoir donner aux autres, il faut d’abord se choisir soi-même. J’ai pris la décision de ne pas me faire vacciner, et la pression ou les menaces me donnent encore moins envie de changer d’idée », explique Sabrina Choquette, infirmière dans une agence de placement.

Lorsque le ministre de la Santé, Christian Dubé, a annoncé que tous les travailleurs de la santé devront être doublement vaccinés au 15 octobre – date finalement repoussée au 15 novembre – elle a senti que « son monde s’écroulait sous ses pieds. »

« J’ai fait mes études avec un bébé naissant. J’ai persévéré et travaillé si fort. Je venais tout juste de toucher à mon rêve d’être infirmière », raconte la mère de deux bambins.

Dépistage avant chaque quart de travail, retrait de son milieu au moindre symptôme, port du masque et lavage des mains : elle est d’ailleurs prête à continuer de prendre ces mesures alternatives aussi longtemps qu’il le faudra afin de protéger la quarantaine de bénéficiaires du centre d’hébergement de soins de longue durée (CHSLD) Saint-Augustin, à Québec, dont elle s’occupe.

Peur du vaccin

Loin d’être une antivaccin, assure-t-elle, la femme de 25 ans a quelques craintes par rapport à cette injection précisément, dont le risque de développer une myocardite, une inflammation du muscle cardiaque.

Une vaste étude américaine récente indique pourtant que le risque d’une myocardite est multiplié par 18 lorsqu’on est atteint de la COVID-19, soit bien davantage qu’avec la vaccination.

Elle a aussi des craintes puisqu’il s’agit d’un premier vaccin ARN sur le marché et parce que certaines femmes ont rapporté des effets secondaires sur leur menstruations après la vaccination.

« J’ai un malaise avec cela, car on n’a pas d’études là-dessus », dit-elle.

« Ma raison principale, c’est que je ressens que je n’ai pas besoin de ce vaccin-là. Je suis jeune et je n’ai pas de condition médicale particulière », ajoute-t-elle en référence au fait qu’une grande proportion des décès étaient des personnes âgées.

D’ailleurs, 11 Québécois de moins de 30 ans ont tout de même perdu la vie à cause du virus, selon les données de l’Institut national de santé publique du Québec. Sans oublier que depuis la quatrième vague, les personnes qui se trouvent aux soins intensifs sont de plus en plus jeunes, répètent depuis des semaines les experts.

Le cœur déchiré

Sabrina Choquette songe à se réorienter dans le domaine de la finance, mais elle est dévastée à l’idée « d’abandonner les aînés du CHSLD » où elle travaille depuis des mois.

« J’ai créé des liens tissés serrés avec eux. Ça me déchire le cœur. Mais je ne ressens pas de culpabilité, car c’est contre mon gré. Je veux continuer à leur donner des soins », exprime celle qui a encore espoir que le gouvernement reviendra sur sa décision d’ici le 15 novembre.

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Il est comme évident que cette infirmière s'est fait brainwashée le cerveau par la complotsphère. Pourtant, tous ce qu'elle raconte de sa peur de recevoir le vaccin, a été divulgué par les spécialistes.

La myocardite - une inflammation de l'enveloppe du cœur, le myocarde - n'est pas en lien avec le vaccin. La covid-19, oui. Donc si une personne reçoit une inoculation du vaccin ARNm et si elle a déjà contracté ce virus, il se peut fort bien que le vaccin éveille la virulence du virus aussi minime soit-il au sein du système immunitaire ( résidu du virus ). C'est la logique d'une contamination non-résolue.

Quant aux menstruations mensuelles, elle mentionne qu'il n'y a pas d'études là-dessus. Pourtant, une étude scientifique a été fait le mois dernier et celle-ci indique bien que le vaccin n'affecte pas la femme qui voudrait procréer.

C'est ici : ==> La séropositivité de la protéine de pointe SARS-CoV-2 due à la vaccination ou à l'infection ne provoque pas de stérilité

Pour les menstruations, il se peut tout simplement d'une réaction post-vaccination causer par l'anxiété de recevoir le vaccin. Cet article date du 27 apoût 2021.

C'est ici : ==> Les vaccins anti-Covid altèrent-ils vraiment la fertilité et les menstruations ?

Et la troisième raison qu'elle évoque, cela vient vraiment du narratif complostiste ; « Ma raison principale, c’est que je ressens que je n’ai pas besoin de ce vaccin-là. Je suis jeune et je n’ai pas de condition médicale particulière. »

Elle est sans savoir que l'infection grave du virus touche de plus en plus les jeunes de son âge ou de sa génération, depuis que les variants se sont installés dans les communautés mondiales. Les non-vaccinés qui se retrouvent en soins intensifs, sont en forte majorité entre 18 ans et 45 ans. Il me semble que c'est clair.

Elle n'a vraiment aucune raison valable à ne pas se faire vacciner et le pire, même si elle changerait de carrière, la pression de se faire vacciner sera encore plus oppressante puisque la majorité des employeur.es exige la vaccination obligatoire. À moins qu'elle travaille à son compte et encore là, elle ne sera pas plus protégée de la covid-19 et risque encore avoir de la pression sociale car de plus en plus de vacciné.es boycottent les non-vacciné.es !

C'est ça que ça donne la câlisse de désinformation. Le gouvernement devra hausser certaine mesure afin de contrôler la vraie information, pas par des ti-counnes de Vidangia, le forum de Richard Glenn ! :D

Dédé

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