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par Dédé , samedi 15 avril 2023, 00:26 (il y a 394 jours) @ Blake

Source : Cannabis à la maison: la Cour suprême donne raison à Québec

RAPHAËL PIRRO
Vendredi, 14 avril 2023 09:57
MISE À JOUR Vendredi, 14 avril 2023 11:09

Il est constitutionnel pour le Québec d’interdire la culture du cannabis à domicile à des fins personnelles, malgré une approche plus «permissive» au niveau du fédéral, a tranché la Cour suprême vendredi.

«En poursuivant des objectifs de santé et de sécurité publique, la législature québécoise avait compétence pour interdire la possession et la culture du cannabis à des fins personnelles», a-t-on résumé sur le site web de la Cour suprême.

Le juge en chef de la Cour suprême, Richard Wagner, a ainsi expliqué dans la décision rendue vendredi que «l’approche fédérale dite plus "permissive", et l’approche québécoise dite plus "restrictive" peuvent coexister sur le plan juridique au sein de la fédération canadienne».

Ce dernier a par ailleurs tenu de bons mots sur l’approche québécoise.

Selon lui, l’interdiction de la culture à domicile permet «vraisemblablement de protéger la santé des jeunes en restreignant l’accès au cannabis», puisque «la culture à domicile par des personnes majeures» est «susceptible d’accroître l’accessibilité de cette substance par les mineurs résidant sous le même toit».

En d’autres termes, la Cour considère que la culture à domicile peut être considérée comme une incitation «de facto» à la consommation de cannabis chez les jeunes vivant sous le toit où poussent les plants.

En outre, l’interdiction québécoise de la culture à domicile «contribue au contrôle de la qualité des produits offerts», puisque le cannabis maison n’est pas soumis à un contrôle des normes de qualité, qui permet notamment d’évaluer les degrés de concentration des composés actifs, le THC et le CBD.

«Elles contribuent clairement à la sensibilisation du public aux risques que pose la consommation du cannabis pour la santé, l’offre d’information aux consommateurs étant facilitée par leur intégration à un cadre de vente réglementé», a-t-il ajouté.

Ainsi, a résumé le juge, les gouvernements fédéral et provincial vont dans le même sens en faisant de la protection du public le socle de leur approche législative.

La loi québécoise, comme la loi fédérale, démontre un «souci» de restreindre le marché criminel. Même s’il n’est pas du ressort de la Cour de juger laquelle des deux approches est la plus adaptée pour la lutte contre le crime, «il suffit de constater que c’est ce même objectif qui a guidé l’intervention législative des deux ordres de gouvernement», a conclu le magistrat.

Le Québec a adopté la Loi encadrant le cannabis peu après la nouvelle Loi sur le cannabis du gouvernement fédéral, en 2018, qui a laissé aux provinces le choix, notamment, de fixer leur propre approche commerciale.

La loi fédérale permet aux individus de cultiver jusqu’à quatre plants de cannabis à la maison, mais la loi québécoise prévoit des amendes de 250 à 750$ pour les personnes qui cultivent du cannabis à la maison.
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J'y ai pensé que le Québec obtiendrait gain de cause concernant leur loi sur le cannabis, soit en interdisant la culture personnelle. Considérant les items mentionnés, il est évident que les jeunes gens auraient plus accès à cette plante aux propriétés psychotropes. Déjà que sa consommation joue un rôle déficient pour la santé des gens, il faut en restreindre l'accessibilité afin d'éviter que les jeunes gens s'accrochent à cette plante maudite.

De plus, la qualité est aussi un danger pour la culture, il y a tellement de façon pour maximiser le THC et le CBD, qu'il faut des règles strictes pour éviter le choc anaphylactique lorsqu'il y a un mélange avec d'autres drogues et l'alcool.

Par contre, le contrôle de la qualité de production, laissez-moi avoir un gros doute, déjà que c'est de la production intérieure, les engrais liquides utilisés pour la croissance et à la floraison, se retrouvent indubitablement dans la sève du plant et qu'en réalité, les gens fument du chimique. Mais ça, le gouvernement s'en fout, les coffres s'emplissent !

En fait ce que j'essaie d'expliquer, ce n'est pas mieux que de la culture au noir.

Et parlant de crime organisé pour le cannabis précisément, il y en a autant qu'avant au marché noir. Alors, ça devient un cercle vicieux qui n'aboutit nul part.

Dédé

Excellente info.

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Depuis 1994 que je suis aux prises de la douleur récurrente et je suis devenu un intoxiqué social même aussi minime soit la dose que je prends afin de diminuer la douleur intense par le cannabis. Il y a un réel danger pour la santé d'inhaler le cannabis, autant que la cigarette, mais pour moi c'est le seul moyen de le consommer parce que j'ai un système digestif déficient et que je ne peux pas absorber le cannabis de façon orale.

De 1994 à 1998, je m'en tenais au narcotique médical prescrit et j'ai dû mettre un terme et passer par la désintoxication en faisant un sevrage abrupt, considérant en faisant mes recherches personnelles en pharmacologie et mon expérience en désintoxication en tant qu'intervenant social dans cette branche, j'étais entrain de mourir à petit feu en démolissant mon cerveau de ces poisons à rat !

La morphine médicale, n'est pas mieux que celle au noir, même si celle médicale est produite de façon stricte selon les règles médico-légales établies. C'est une intoxication sanguine et le danger de la surdose est toute autant inquiétante, en plus du danger à une porte fortement ouverte pour le suicide.

Après avoir fait mes recherches personnelles concernant le cannabis, surtout au domaine moléculaire de cette plante. Je l'ai étudié sur toutes ces coutures, autant que chaque médicament qui se retrouve en pharmacologie. Lorsque j'embarque dans une recherche, je ne fais rien à moitié. Alors, à partir de cette recherche, je me suis permis de cultiver un plant en choisissant le grain femelle ( grain à couleur uniforme et non lézardés de couleur ) qui est plus gros que celui du plant mâle. Le grain provenait du chanvre typiquement québécois et je l'ai enté avec des bouts de marijuana en provenance du Mexique par des connaissances qui produisaient leur plantation. Le seul engrais utilisé pour la terre, est celle du mouton et pour la nourrir de potassium, des pelures de bananes et des pelures de patates. Aucun engrais liquide pour la pousse et ni pour la floraison. Dès que les entes se sont mises à progresser sur le plant de chanvre, j'ai isolé le plant à la noirceur après 12 heures de clarté naturelle afin de produire sa fleuraison. J'ai pris la précaution d'avoir un plant mâle pour produire les grains que j'avais besoin avec l'essence que j'ai créé artificiellement par les entes.

J'ai fait analyser un bourgeon au laboratoire et le THC était à 52% et le CBD à 25%, c'était très fort mais pour moi, c'était l'objectif que je visais pour ma propre consommation pour contrer la douleur récurrente. Mais j'ai fait le malheur d'en produire plus pour mes potes et ça s'est su évidemment. Dans le temps de le dire, je me suis retrouvé avec un dossier pénal et avec une probation de deux ans, saupoudrer d'une suramende à donner au Portage.

Fin de la culture.

C'est pour ça que j'écris que la mari du gouvernement n'est pas mieux que celui au noir, ils ont la même procédure de culture intérieure, rien ne pousse naturellement de cette façon. Les gens fument et ingèrent du chimique !

Ne l'oubliez jamais que la culture intérieure n'est pas naturelle, ça prend des produits de croissance, de floraison, de la ventilation avec un certain degré de CO² et beaucoup d'humidité, des ampoules de 500 watts au sodium. Certains produits, il faut une manutention rigoureuse avec protection et un masque N95. Ça coûte très cher à produire uniquement pour 4 à 5 plants, pas mal plus cher que de l'acheter à la SQDC !

Dédé

Lors de mon opération au dos, j'ai eu du dilaudid pour les douleurs post-opératoires. J'en ai pris 2 semaines et j'ai arrêté par la suite sans problème. Un ami d'entraînement a eu la même opération que moi et lui, il est resté accroché sur le dilaudid. Ça lui a pris un certain temps à s'en sortir. Dans le fond, c'est comme bien des choses, il faut y aller avec la modération.

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Exactement, mais en sachant ce que nous prenons et avec les avis du danger pour la santé. Le gouvernement s'est crissé le doigt dans l'œil en devenant austère pour le tabagisme mais fifinne pour le cannabisme.

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