Avatar

Poutine a peur à ses fesses ! (Forum)

par Dédé, samedi 24 juin 2023, 15:20 (il y a 747 jours)

Source : Poutine se dresse contre «la menace mortelle» posée par la rébellion du chef de Wagner

AGENCE FRANCE-PRESSE
Samedi, 24 juin 2023 04:43

MISE À JOUR Samedi, 24 juin 2023 04:43

Vladimir Poutine s’est dressé samedi contre la «menace mortelle» et le risque de «guerre civile» posés par le chef du groupe paramilitaire Wagner, Evguéni Prigojine, entré ouvertement en rébellion contre le commandement russe.

En complet noir, l’air grave et le ton martial, le chef du Kremlin s’est adressé à 10h00 (heure de Moscou) sans le nommer à l’homme qui le défie, accusant «les traîtres» à la nation russe et promettant de les «punir».

«C’est un coup de poignard dans le dos de notre pays et de notre peuple, a déclaré M. Poutine dans une adresse à la nation [...] Ce à quoi nous faisons face, ce n’est rien d’autre qu’une trahison. Une trahison provoquée par les ambitions démesurées et les intérêts personnels [de M. Prigojine].»

Plus tôt, le chef de Wagner avait affirmé tenir le quartier général de l’armée russe à Rostov, centre névralgique des opérations en Ukraine, et contrôler plusieurs sites militaires.

«Nous sommes au [quartier général], il est 7h30 du matin», avait dit Evgueni Prigojine dans une vidéo sur Telegram. «Les sites militaires de Rostov sont sous contrôle, y compris l’aérodrome».

Après ces déclarations, Vladimir Poutine a été forcé d’admettre que la situation à Rostov était effectivement «difficile».

En réaction à cette rébellion, le parquet général russe a annoncé l’ouverture d’une enquête pour «mutinerie armée» à l’encontre du groupe entré en rébellion avec ses 25 000 hommes revendiqués, après avoir accusé l’armée régulière d’avoir bombardé ses troupes.

Les autorités ont renforcé les mesures de sécurité à Moscou, où le «régime d’opération antiterroriste» vient d’être instauré, conséquence directe de la menace de Prigojine, qui avait lancé dans un message audio sur Telegram: «On continue, on ira jusqu’au bout» et «nous détruirons tout ce qui sera mis sur notre route».

Côté ukrainien, un conseiller du président Volodymyr Zelensky a jugé que c’était «seulement le commencement en Russie».

«La division entre les élites est trop évidente. Se mettre d’accord et prétendre que tout est réglé, cela ne marchera pas», a ajouté Mykhaïlo Podoliak sur Twitter.

«Prêts à mourir»

«Nous sommes tous prêts à mourir, tous les 25 000. Et après il y en aura encore 25 000. Parce que nous mourons pour la patrie, nous mourons pour le peuple russe qu’il faut libérer de ceux qui bombardent la population civile», avait martelé Prigojine.

Dans la nuit, il avait annoncé avoir traversé la frontière et être entré à Rostov, siège du quartier général du commandement sud de l’armée russe, d’où sont coordonnées les opérations militaires en Ukraine. Il a aussi assuré que ses troupes avaient abattu un hélicoptère russe qui avait «ouvert le feu sur une colonne civile».

AFP
Il n’a pas apporté de preuves de ces affirmations, dont l’AFP n’était pas en mesure de confirmer la véracité.

Le gouverneur de la région de Rostov a appelé la population à «rester à la maison», et celui de Lipetsk, à 420 km au sud de Moscou, a lui aussi annoncé «des mesures de sécurité renforcées».

Des images sur les réseaux sociaux et des médias en ligne, et dont l’AFP n’a pu confirmer l’authenticité, ont montré des véhicules militaires circulant dans la ville de Moscou, aux abords du ministère de la Défense et en position devant la chambre basse du Parlement, la Douma, à quelques dizaines de mètres du Kremlin.

Enquête pour mutinerie

Le procureur général russe Igor Krasnov a informé le président Vladimir Poutine «de l’ouverture d’une enquête pénale en lien avec la tentative d’organiser une mutinerie armée», a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

Dans plusieurs messages audio tout au long de la journée, le patron de Wagner avait auparavant affirmé que des frappes russes avaient fait un «très grand nombre de victimes» dans ses rangs.

«Ils ont mené des frappes, des frappes de missiles, sur nos camps à l’arrière. Un très grand nombre de nos combattants ont été tués», a-t-il dit, accusant le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou, d’avoir ordonné ces attaques.

Ces accusations «ne correspondent pas à la réalité et sont une provocation», a rétorqué le ministère de la Défense dans un communiqué.

AFP
Le FSB (forces de sécurité) a appelé les combattants de Wagner à arrêter leur chef. Et un influent général russe, Sergueï Sourovikine, a exhorté les combattants de Wagner à renoncer à leur révolte.

Cette guerre ouverte expose les tensions au sein des forces russes engagées dans le conflit ukrainien.

«Ceux qui ont la responsabilité militaire du pays doivent être stoppés», a aussi dit le patron de Wagner, en appelant les Russes à se joindre à ses troupes ou à ne pas leur opposer de résistance.

«Aider même le diable»

À Washington, la Maison-Blanche a dit suivre de près la situation.

L’opposant russe en exil à Londres et homme d’affaires Mikhaïl Khodorkovski a appelé à soutenir Evguéni Prigojine pour combattre le régime de Vladimir Poutine. «Oui, même le diable il faudrait l’aider s’il décidait d’aller contre ce régime!» a-t-il écrit sur Telegram.

«Il n’y a pas de succès militaires» de Moscou, avait déclaré vendredi Prigojine, affirmant que les militaires russes «se lavent avec leur sang», une manière de dire qu’ils subissent de lourdes pertes.

Invérifiables de source indépendante, les propos du patron de Wagner contredisent en tout cas ceux de Vladimir Poutine et de Sergueï Choïgou, selon qui l’armée russe «repousse» tous les assauts ukrainiens.

Le ministère russe de la Défense a cependant averti que l’Ukraine se prépare à attaquer du côté de Bakhmout en «profitant de la provocation de Prigojine».

Ces derniers jours, M. Poutine a répété que la contre-offensive ukrainienne était un échec et que les forces de Kyïv avaient essuyé des pertes quasi «catastrophiques».

M. Prigojine a qualifié de «profonde tromperie» ces déclarations victorieuses.
__________________

On dirait bien que Poutine va se faire saucer ! :mdr:

Du fromage kuwich-kuwich avec ça ? :D

Difficile de savoir vraiment ce qui a déclenché cette prise de position avec ces mercenaires de Wagner. Je ne pense pas que Prigojine ait menti concernant le bombardement dont sa troupe aurait été touché et je serais porté à croire que la Russie ment concernant le contrôle de Bakhmout et que les ukrainiens auraient subi de grosses pertes en ressource militaire.

Tout cas, je vais suivre ça de près parce que Progojine semble avoir le contrôle de ses troupes à Rostov, le QG de l'armée russe pour l'invasion en Ukraine, et il ne semble pas vouloir laisser tomber.

Dédé

Avatar

Poutine a peur à ses fesses !

par Blake, samedi 24 juin 2023, 15:55 (il y a 747 jours) @ Dédé

Source : Poutine se dresse contre «la menace mortelle» posée par la rébellion du chef de Wagner

AGENCE FRANCE-PRESSE
Samedi, 24 juin 2023 04:43

MISE À JOUR Samedi, 24 juin 2023 04:43

Vladimir Poutine s’est dressé samedi contre la «menace mortelle» et le risque de «guerre civile» posés par le chef du groupe paramilitaire Wagner, Evguéni Prigojine, entré ouvertement en rébellion contre le commandement russe.

En complet noir, l’air grave et le ton martial, le chef du Kremlin s’est adressé à 10h00 (heure de Moscou) sans le nommer à l’homme qui le défie, accusant «les traîtres» à la nation russe et promettant de les «punir».

«C’est un coup de poignard dans le dos de notre pays et de notre peuple, a déclaré M. Poutine dans une adresse à la nation [...] Ce à quoi nous faisons face, ce n’est rien d’autre qu’une trahison. Une trahison provoquée par les ambitions démesurées et les intérêts personnels [de M. Prigojine].»

Plus tôt, le chef de Wagner avait affirmé tenir le quartier général de l’armée russe à Rostov, centre névralgique des opérations en Ukraine, et contrôler plusieurs sites militaires.

«Nous sommes au [quartier général], il est 7h30 du matin», avait dit Evgueni Prigojine dans une vidéo sur Telegram. «Les sites militaires de Rostov sont sous contrôle, y compris l’aérodrome».

Après ces déclarations, Vladimir Poutine a été forcé d’admettre que la situation à Rostov était effectivement «difficile».

En réaction à cette rébellion, le parquet général russe a annoncé l’ouverture d’une enquête pour «mutinerie armée» à l’encontre du groupe entré en rébellion avec ses 25 000 hommes revendiqués, après avoir accusé l’armée régulière d’avoir bombardé ses troupes.

Les autorités ont renforcé les mesures de sécurité à Moscou, où le «régime d’opération antiterroriste» vient d’être instauré, conséquence directe de la menace de Prigojine, qui avait lancé dans un message audio sur Telegram: «On continue, on ira jusqu’au bout» et «nous détruirons tout ce qui sera mis sur notre route».

Côté ukrainien, un conseiller du président Volodymyr Zelensky a jugé que c’était «seulement le commencement en Russie».

«La division entre les élites est trop évidente. Se mettre d’accord et prétendre que tout est réglé, cela ne marchera pas», a ajouté Mykhaïlo Podoliak sur Twitter.

«Prêts à mourir»

«Nous sommes tous prêts à mourir, tous les 25 000. Et après il y en aura encore 25 000. Parce que nous mourons pour la patrie, nous mourons pour le peuple russe qu’il faut libérer de ceux qui bombardent la population civile», avait martelé Prigojine.

Dans la nuit, il avait annoncé avoir traversé la frontière et être entré à Rostov, siège du quartier général du commandement sud de l’armée russe, d’où sont coordonnées les opérations militaires en Ukraine. Il a aussi assuré que ses troupes avaient abattu un hélicoptère russe qui avait «ouvert le feu sur une colonne civile».

AFP
Il n’a pas apporté de preuves de ces affirmations, dont l’AFP n’était pas en mesure de confirmer la véracité.

Le gouverneur de la région de Rostov a appelé la population à «rester à la maison», et celui de Lipetsk, à 420 km au sud de Moscou, a lui aussi annoncé «des mesures de sécurité renforcées».

Des images sur les réseaux sociaux et des médias en ligne, et dont l’AFP n’a pu confirmer l’authenticité, ont montré des véhicules militaires circulant dans la ville de Moscou, aux abords du ministère de la Défense et en position devant la chambre basse du Parlement, la Douma, à quelques dizaines de mètres du Kremlin.

Enquête pour mutinerie

Le procureur général russe Igor Krasnov a informé le président Vladimir Poutine «de l’ouverture d’une enquête pénale en lien avec la tentative d’organiser une mutinerie armée», a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

Dans plusieurs messages audio tout au long de la journée, le patron de Wagner avait auparavant affirmé que des frappes russes avaient fait un «très grand nombre de victimes» dans ses rangs.

«Ils ont mené des frappes, des frappes de missiles, sur nos camps à l’arrière. Un très grand nombre de nos combattants ont été tués», a-t-il dit, accusant le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou, d’avoir ordonné ces attaques.

Ces accusations «ne correspondent pas à la réalité et sont une provocation», a rétorqué le ministère de la Défense dans un communiqué.

AFP
Le FSB (forces de sécurité) a appelé les combattants de Wagner à arrêter leur chef. Et un influent général russe, Sergueï Sourovikine, a exhorté les combattants de Wagner à renoncer à leur révolte.

Cette guerre ouverte expose les tensions au sein des forces russes engagées dans le conflit ukrainien.

«Ceux qui ont la responsabilité militaire du pays doivent être stoppés», a aussi dit le patron de Wagner, en appelant les Russes à se joindre à ses troupes ou à ne pas leur opposer de résistance.

«Aider même le diable»

À Washington, la Maison-Blanche a dit suivre de près la situation.

L’opposant russe en exil à Londres et homme d’affaires Mikhaïl Khodorkovski a appelé à soutenir Evguéni Prigojine pour combattre le régime de Vladimir Poutine. «Oui, même le diable il faudrait l’aider s’il décidait d’aller contre ce régime!» a-t-il écrit sur Telegram.

«Il n’y a pas de succès militaires» de Moscou, avait déclaré vendredi Prigojine, affirmant que les militaires russes «se lavent avec leur sang», une manière de dire qu’ils subissent de lourdes pertes.

Invérifiables de source indépendante, les propos du patron de Wagner contredisent en tout cas ceux de Vladimir Poutine et de Sergueï Choïgou, selon qui l’armée russe «repousse» tous les assauts ukrainiens.

Le ministère russe de la Défense a cependant averti que l’Ukraine se prépare à attaquer du côté de Bakhmout en «profitant de la provocation de Prigojine».

Ces derniers jours, M. Poutine a répété que la contre-offensive ukrainienne était un échec et que les forces de Kyïv avaient essuyé des pertes quasi «catastrophiques».

M. Prigojine a qualifié de «profonde tromperie» ces déclarations victorieuses.
__________________

On dirait bien que Poutine va se faire saucer ! :mdr:

Du fromage kuwich-kuwich avec ça ? :D

Difficile de savoir vraiment ce qui a déclenché cette prise de position avec ces mercenaires de Wagner. Je ne pense pas que Prigojine ait menti concernant le bombardement dont sa troupe aurait été touché et je serais porté à croire que la Russie ment concernant le contrôle de Bakhmout et que les ukrainiens auraient subi de grosses pertes en ressource militaire.

Tout cas, je vais suivre ça de près parce que Progojine semble avoir le contrôle de ses troupes à Rostov, le QG de l'armée russe pour l'invasion en Ukraine, et il ne semble pas vouloir laisser tomber.

Dédé

Quel beau bordel.

:D

Avatar

Poutine a peur à ses fesses !

par Dédé, samedi 24 juin 2023, 18:05 (il y a 747 jours) @ Blake

Finalement, la troupe de Wagner ont quitté pour se rendre à la Biélorussie, en entente avec Moscou qui a laissé tomber les charges...mais ce n'est pas un gage de survie pour Prigojine ! :D

Avatar

Poutine a peur à ses fesses !

par Blake, samedi 24 juin 2023, 18:52 (il y a 747 jours) @ Dédé

Finalement, la troupe de Wagner ont quitté pour se rendre à la Biélorussie, en entente avec Moscou qui a laissé tomber les charges...mais ce n'est pas un gage de survie pour Prigojine ! :D

:D

Avatar

Poutine a peur à ses fesses !

par Dédé, samedi 24 juin 2023, 19:43 (il y a 747 jours) @ Blake

Finalement, la troupe de Wagner ont quitté pour se rendre à la Biélorussie, en entente avec Moscou qui a laissé tomber les charges...mais ce n'est pas un gage de survie pour Prigojine ! :D


:D

_____________

Il va finir en chair de saucisses ! :mdr:

Avatar

Poutine a peur à ses fesses !

par Blake, samedi 24 juin 2023, 20:39 (il y a 747 jours) @ Dédé

Finalement, la troupe de Wagner ont quitté pour se rendre à la Biélorussie, en entente avec Moscou qui a laissé tomber les charges...mais ce n'est pas un gage de survie pour Prigojine ! :D


:D

_____________

Il va finir en chair de saucisses ! :mdr:

:mdr:

Guerre Nucléaire...?

par Jéromec, samedi 24 juin 2023, 20:17 (il y a 747 jours) @ Dédé

Vous pensez que ça va être quoi la suite...?


This Is What a Nuclear War Would Actually Look Like (HBO)

https://www.youtube.com/watch?v=VUBY6bMZn8w

Quand tu n'as plus rien à perdre, tu fais quoi...?

par Jéromec, samedi 24 juin 2023, 20:59 (il y a 747 jours) @ Jéromec

Quand tu n'as plus rien à perdre, tu fais quoi...?

kaboom?

Poutine réfléchit à frapper l'OTAN

par Jéromec, samedi 24 juin 2023, 21:10 (il y a 747 jours) @ Dédé

si on apprend du jour au lendemain que telle ou telle ville XYZ est rasée de la carte... ça m'étonnerait tellement pas....

Poutine réfléchit à frapper l'OTAN

https://www.youtube.com/watch?v=j_8BS9ifEo8&t=12s

La Russie a quand même plusieurs alliés dont l'Iran... la Corée du Nord etc...

Bref on étais-tu bien dans le début de la pandémie...

les urgences vides, les routes désertes, peu de pollution... etc, depuis que c'est finit c'est la folie.... les humains en gang ils deviennent cons...

bref la troisième guerre mondiale est commencée... ?

par Jéromec, samedi 24 juin 2023, 21:36 (il y a 747 jours) @ Dédé

bref la troisième guerre mondiale est commencée... ?

surréel comme scènes...

par Jéromec, samedi 24 juin 2023, 21:44 (il y a 747 jours) @ Dédé

c'est quand même assez surréel comme scènes...

https://www.cbc.ca/news/world/russia-putin-wagner-1.6887873

Putin's iron grip severely weakened after Wagner mercenaries march on Moscow

Yevgeny Prigozhin reportedly heading to Belarus — but not before igniting chaos

Briar Stewart · CBC News · Posted: Jun 24, 2023 7:56 PM EDT | Last Updated: 1 hour ago
A man smiles as he shakes a hand through a car window.
Wagner Group mercenary leader Yevgeny Prigozhin leaves the headquarters of Russia's Southern Military District during the group's withdrawal from Rostov-on-Don on Saturday night. (Anton Vaganov/Reuters)
When Yevgeny Prigozhin angrily vowed Friday evening that he and thousands of his Wagner fighters were going to march into Russia to take aim at what he sees as the country's incompetent and corrupt military leadership, the Kremlin called the act mutiny and threatened to imprison him for 20 years.

But 24 hours later, when a Wagner convoy was just 200 kilometres from the capital, there was an abrupt about-face.

It appeared that the country had avoided a potential coup — and Prigozhin, a Russian prison.

He waved to a small crowd of supporters as he was driven in a black van in Rostov-on-Don, a city near Ukraine's border.

Rebel mercenary convoy halts move toward Moscow, begins turning back
Russia suffering from 'full-scale weakness,' Ukraine's Zelenskyy says of Wagner mutiny
The Kremlin says he was destined for Belarus. Officials say a deal was brokered by Belarusian President Alexander Lukashenko to de-escalate the situation and avoid bloodshed.

WATCH | Uprising could become 'a weakness that will be exploited,' professor says

How mercenaries' brief uprising could expose weakness in Putin's rule
7 hours ago
Duration1:31
If Russian President Vladimir Putin isn't able to reassert strength after Wagner private army fighters briefly undertook a march on Moscow, it could become 'a weakness that will be exploited, one way or another, by factions within Russia that have feared him in the past,' according to University of Toronto political science professor Aurel Braun.
While a lot remains unclear about the agreement and the tumultuous period that lead up to it, political observers believe the attempted rebellion has left President Vladimir Putin more vulnerable.

"I don't see how Putin survives this because Putin would be so weakened by having to make a deal with a guy who openly challenged him," said Sergey Radchenko, a professor at Johns Hopkins Advanced School for International Studies, who is currently teaching at Cardiff University in Wales.

The Kremlin maintains that Putin never left Moscow even though there were reports that government planes left the capital.

It was more than 12 hours after Prigozhin announced his rebellion that Putin made an address on state television where he spoke about treason and betrayal and said the "internal turmoil is a mortal threat" to Russia's statehood.

Anti-terror measures were put in place in the city of Moscow, and roadblocks were set up as well as positions manned by police officers with machine guns.

Members of the Wagner mercenary group are seen leaving Rostov-on-Don, Russia.
Wagner mercenaries are seen leaving Rostov-on-Don, Russia on Saturday, to return to base. The mercenaries halted their drive to Moscow after a Belarus-brokered deal to avoid bloodshed. (Reuters)
Show next image (2 of 10)
Hide caption
Toggle Fullscreen1 of 10
Scenarios averted after deal reached
When it looked like Wagner was going to enter the capital Radchenko told CBC News that he saw three possible scenarios: he thought it could lead to Putin being ousted, to Prigozhin's demise, or to a violent civil war.

Instead, Prigozhin has reportedly left the country, and Kremlin officials say they dropped criminal charges against him.

WATCH | 'I don't think it's over yet' between Putin and Prigozhin, expert says

'Gloves are off' between Putin and Wagner leader, former British officer says
6 hours ago
Duration1:10
The brief revolt by mercenary fighters who surged most of the way to Moscow and the war of words between Russian President Vladimir Putin and Wagner Group leader Yevgeny Prigozhin represent a clear split between the two, according to defence industry analyst and former British army officer Nicholas Drummond.
Putin's spokesperson, Dmitry Peskov, says Russia won't be prosecuting the Wagner fighters that advanced toward the capital.

Radchenko is highly skeptical of the apparent agreement for de-escalation, as he says that history has shown Putin, Prigozhin and Lukashenko can't be trusted.

"It is a shadowboxing match and we will have to see who comes out on top."

How did the Wagner Group leader come to be in conflict with the Russian state?
ANALYSISIs the first use of nuclear weapons ever justified? A top adviser to Vladimir Putin now says yes
Sergey Markov, a Moscow based political scientist who has previously advised Putin, told CBC News that he thought there would be some kind of compromise.

Markov predicted Putin might fire Defence Minister Sergei Shoigu and top general Valery Gerasimov in order to appease Prigozhin, who had once been quite close to Russia's president.

Shoigu and Gerasimov were not publicly seen or heard from while the attempted rebellion unfolded.

A tank with red paint is seen on a road
Earlier on Saturday, a tank with a Wagner Group flag with the word 'Siberia' written on the front in Russian was stationed outside the headquarters of the Southern Military District in Rostov-on-Don. (The Associated Press)
Prigozhin, who was previously convicted of robbery, ended up in Putin's circle after rising through the ranks after being released from prison.

He started off running a hotdog stand, but then morphed into government caterer, and eventually a militia leader.

WATCH | Who is Yevgeny Prigozhin, the leader of the Wagner Group?

'He's a vicious, brutal man': Russia's Wagner Group led by Putin-connected ex-con
5 months ago
Duration7:53
Who is Yevgeny Prigozhin? CBC's David Common investigates what's known about the man leading the Wagner Group — Russia's private mercenaries waging a bloody battle in Bakhmut, Ukraine.
Uprising may be a 'harbinger,' retired general says
In recent months Prigozhin unleashed increasingly angry tirades at Russia's top military brass whom he accused of incompetence and lying to Putin about the battlefield realities in Ukraine.

On May 5, in a video published by his press service, Prigozhin stood in front of a row of bloody bodies screaming in an expletive laced rant about how the Russian defence ministry was depriving his fighters of ammunition, and they were dying in huge numbers as they fought to control Bakhmut.

"Those responsible would go to hell," Prigozhin shouted.

Who is Yevgeny Prigozhin?
The U.S. says the Wagner Group is a transnational criminal organization. Here's why
Two weeks later Wagner declared it controlled Bakhmut, but Prigozhin revealed online that the mercenary group had lost 20,000 fighters, half of which were convicts recruited from Russia's prisons.

When Russia's Defence Ministry announced that mercenary fighters in Ukraine had to sign contracts with the military by July 1, Prigozhin refused.

d his "march for justice" Prigozhin said that Russia's Defence Minister Sergei Shoigu lied about the justification for the invasion of Ukraine.

"What was the war for? The war needed for Shoigu to receive a hero star," he said in a video he posted on his social media channel.

"The Ministry of Defence is trying to deceive the public, deceive the president and tell a story that there was some crazy aggression by Ukraine, that — together with the whole NATO bloc — Ukraine was planning to attack us," he said.

While Prigozhin mostly avoided any direct criticism of Putin, launching a rebellion against the military's top brass is an attack on his regime, according to retired British army general Richard Barrons.

"It may be a harbinger," Barrons said in an interview with Reuters. "The fracturing of the regime that sits around President Putin ... is very real."

Le groupe Wagner fait volte-face après un appel à la révolte

par Jéromec, dimanche 25 juin 2023, 00:05 (il y a 747 jours) @ Dédé

Le groupe Wagner fait volte-face après un appel à la révolte en Russie

Moins de 24 heures après avoir lancé une révolte contre le commandement militaire russe, le chef du groupe paramilitaire Wagner, Evgueni Prigojine, change son fusil d'épaule.

Vendredi (23 juin 2023), il disait être « prêt à mourir » avec ses 25 000 hommes pour « libérer le peuple russe ».

Le lendemain, il a appelé ses hommes à faire demi-tour à 200 kilomètres de Moscou.

Retour sur les événements avec Marie-Josée Paquette-Comeau

https://www.youtube.com/watch?v=y_6YS2z3Ynw


tout un télé roman

Onze morts dans des frappes russes sur une zone rebelle de S

par Jéromec, dimanche 25 juin 2023, 16:35 (il y a 746 jours) @ Jéromec

ça va bien aller, ça va bien aller...


https://www.tvanouvelles.ca/2023/06/25/sept-morts-dans-des-frappes-russes-sur-une-zone-...

Onze morts dans des frappes russes sur une zone rebelle de Syrie, selon une ONG

Onze personnes, dont sept civils, ont été tuées dimanche dans des frappes aériennes russes sur une région du nord-ouest de la Syrie aux mains des rebelles, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).

Les forces russes, alliées du régime syrien, ont mené ces frappes dans la province d'Idleb en riposte à des attaques de drones rebelles qui ont tué quatre civils dont deux enfants la semaine dernière, a déclaré à l'AFP Rami Abdel Rahmane, le directeur de l'OSDH.

Dimanche, «six civils ont été tués à Jisr Al-Choghour et trois combattants rebelles ont été tués à proximité par des frappes aériennes russes», selon le directeur de cette ONG basée au Royaume-Uni, qui s'appuie sur un large réseau de sources en Syrie.

Ahmed Yezidi, un membre de la défense civile à Jisr Al-Choghour, une ville contrôlée par les rebelles, a fait état de neuf personnes tuées, sans préciser si des combattants se trouvaient parmi elles.

Un marché aux fruits et légumes de cette ville a été touché, selon l'OSDH et un correspondant de l'AFP sur place.

Ahmed Yezidi a dénoncé «une attaque directe contre un marché populaire, source de revenus essentielle pour les agriculteurs».


Un civil et un combattant rebelle ont aussi été tués par une frappe près de la ville d'Idleb, a indiqué Rami Abdel Rahmane.

Au moins 30 civils ont été blessés dans ces frappes, a-t-il ajouté, précisant que ce bilan était probablement provisoire.

La Russie est le principal soutien du régime de Bachar al-Assad et intervient militairement en Syrie depuis 2015.

Avec le soutien de la Russie et de l'Iran, le régime syrien a reconquis la plupart des territoires perdus au début de la guerre, déclenchée en 2011 par la répression de manifestations pro-démocratie.

La dernière poche d'opposition armée au régime comprend de vastes régions de la province d'Idleb (ouest) ainsi que des territoires limitrophes des provinces d'Alep, Hama et Lattaquié.

Le groupe jihadiste Hayat Tahrir al-Cham (HTS), dominé par l'ex-branche locale d'Al-Qaïda, est le principal groupe actif dans cette région, où sont aussi présentes d'autres factions rebelles moins influentes, soutenues à des degrés divers par la Turquie.

La guerre en Syrie a fait plus d'un demi-million de morts selon l'OSDH, et a déplacé plusieurs millions de personnes.

Fil RSS du sujet
powered by my little forum