Source : Démission d’Anglade: «la bonne décision», selon d’ex-élus

NICOLAS LACHANCE , MARC-ANDRÉ GAGNON et PATRICK BELLEROSE
Lundi, 7 novembre 2022 12:28
MISE À JOUR Lundi, 7 novembre 2022 14:17

Dominique Anglade a posé le bon geste en démissionnant de son poste de cheffe du Parti libéral du Québec, à la suite de la pire défaite électorale de l’histoire de la formation. D’autres sont toutefois très déçus de son départ.

«Elle a fait la bonne chose», a déclaré l’ex-élu Pierre Arcand sur les ondes de LCN.

Ce matin, Dominique Anglade a remis sa démission à titre de cheffe du Parti libéral du Québec (PLQ).

Elle quittera également son poste de député de Saint-Henri–Sainte-Anne le 1er décembre prochain.

«Elle l’a fait avec grâce», a indiqué l’un des anciens ténors des rouges.

Il estime que «chacun a sa part de responsabilité» dans l’échec électoral du 3 octobre dernier.

En démissionnant, la cheffe a réaffirmé que le PLQ devait mener un renouvellement au parti.

Or, M. Arcand semble en désaccord avec cette idée qui est martelée par plusieurs.

«Moi, avec cette phrase-là, j’ai toujours de la difficulté parce que ça veut dire qu’on efface une grande partie de ce qui a été fait avant. Alors, j’aime mieux que l’on dise qu’on fait évoluer le parti avec des valeurs plus modernes», a-t-il expliqué, ajoutant que durant le règne de Mme Anglade des militants libéraux ont eu de la difficulté à se reconnaître.

L’ex-ministre Yves Bolduc estime également que Mme Anglade a pris la bonne décision.

«C’est la décision raisonnable dans le contexte actuel», a-t-il déclaré. «Par contre, je trouve qu’elle a fait un excellent travail dans les circonstances. C’est une femme intelligente. Elle a su que c’était peut-être le temps de passer à autre chose.»

L’ex-ministre de la Santé soutient «qu’avec les résultats de l’élection» et «le fractionnement de l’électorat», Mme Anglade était prise dans un contexte trop difficile pour rester.

«Le prochain chef doit revenir à nos bases qui sont très solides. Et, il faut voir que l’électorat est très changeant sur la scène politique québécoise.»

Leitão «profondément déçu»

L’ancien ministre des Finances, Carlos Leitão, qui a présidé la campagne nationale du Parti libéral du Québec aux dernières élections, s’est dit «profondément déçu» de voir Dominique Anglade quitter de la sorte.

«Je pense toujours que Dominique était la personne indiquée pour mener le parti à cette refondation qui est nécessaire», a-t-il indiqué à notre Bureau parlementaire.

M. Leitão est aussi déçu «de tout ce qui s’est passé» dans les dernières semaines au sein du parti.

«Laver son linge sale en public, ce n’est quand même pas rien», a-t-il déploré.

«À la fin, humainement, je pense que Dominique a pris la décision rationnelle (qui s’imposait)», a-t-il commenté. Et «petit message à ceux qui voulaient qu’elle parte [...] sans réfléchir vraiment à la suite [...] : stratégiquement, c'est désastreux», a insisté M. Leitão, qui espère maintenant qu’un libéral de «la nouvelle génération» prendra la relève aux commandes du parti.

Une crise devenue une distraction

Nouveau venu dans la députation libérale, Frédéric Beauchemin affirme avoir été surpris lorsque Mme Anglade a appelé le caucus lundi matin pour annoncer sa décision.

«J’avais l’impression que la tempête se calmait. Mais pour elle, c’était difficile. Ça a été difficile aussi, j’imagine, pour son mari, pour ses enfants. C’est sa décision et je la comprends», confie-t-il.

Le nouveau député de Marguerite-Bourgeoys a tenu à remercier sa cheffe pour son implication en politique, incluant ses années à la CAQ.

«C’était un don de soi», fait-il valoir.

Mais M. Beauchemin reconnaît que la situation était devenue une distraction pour le travail de l’opposition officielle.

La semaine dernière, sa conférence de presse en compagnie de la députée Madwa-Nika Cadet a été monopolisée par les questions sur le leadership de Mme Anglade.

Maintenant, le PLQ doit travailler à renouveler son offre politique, dit-il, pour aller chercher les libéraux qui n’ont pas voté pour la formation le 3 octobre dernier.

«Il faut comprendre ce que notre segment libéral, au Québec, veut entendre du parti. Il y a des choses qu’on a dites qui étaient bonnes, il y a des choses qu’on a dites qui n’étaient pas bonnes, pas juste dans la dernière campagne, mais on peut remonter dans les années précédentes aussi», dit M. Beauchemin.

De son côté, le député Franz Benjamin a affirmé que «Dominique Anglade a été une grande cheffe pour le Parti libéral».

«Elle était à l’écoute des militants. Je tiens à la remercier pour ce qu’elle a fait», a-t-il déclaré.

Tellement pourri ce parti que les pourris ont réussi à le pourrir davantage. C'est ça le PLQ, un parti de crosseurs de poule morte !

Tant qu'à moi, ce parti devrait fermer les livres et partir sur un autre nom, quitte à mettre un.e unilingue anglais au poste de chef, pour être certain de mourir de leur belle mort !

Dédé

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NICOLAS LACHANCE , MARC-ANDRÉ GAGNON et PATRICK BELLEROSE
Lundi, 7 novembre 2022 12:28
MISE À JOUR Lundi, 7 novembre 2022 14:17

Dominique Anglade a posé le bon geste en démissionnant de son poste de cheffe du Parti libéral du Québec, à la suite de la pire défaite électorale de l’histoire de la formation. D’autres sont toutefois très déçus de son départ.

«Elle a fait la bonne chose», a déclaré l’ex-élu Pierre Arcand sur les ondes de LCN.

Ce matin, Dominique Anglade a remis sa démission à titre de cheffe du Parti libéral du Québec (PLQ).

Elle quittera également son poste de député de Saint-Henri–Sainte-Anne le 1er décembre prochain.

«Elle l’a fait avec grâce», a indiqué l’un des anciens ténors des rouges.

Il estime que «chacun a sa part de responsabilité» dans l’échec électoral du 3 octobre dernier.

En démissionnant, la cheffe a réaffirmé que le PLQ devait mener un renouvellement au parti.

Or, M. Arcand semble en désaccord avec cette idée qui est martelée par plusieurs.

«Moi, avec cette phrase-là, j’ai toujours de la difficulté parce que ça veut dire qu’on efface une grande partie de ce qui a été fait avant. Alors, j’aime mieux que l’on dise qu’on fait évoluer le parti avec des valeurs plus modernes», a-t-il expliqué, ajoutant que durant le règne de Mme Anglade des militants libéraux ont eu de la difficulté à se reconnaître.

L’ex-ministre Yves Bolduc estime également que Mme Anglade a pris la bonne décision.

«C’est la décision raisonnable dans le contexte actuel», a-t-il déclaré. «Par contre, je trouve qu’elle a fait un excellent travail dans les circonstances. C’est une femme intelligente. Elle a su que c’était peut-être le temps de passer à autre chose.»

L’ex-ministre de la Santé soutient «qu’avec les résultats de l’élection» et «le fractionnement de l’électorat», Mme Anglade était prise dans un contexte trop difficile pour rester.

«Le prochain chef doit revenir à nos bases qui sont très solides. Et, il faut voir que l’électorat est très changeant sur la scène politique québécoise.»

Leitão «profondément déçu»

L’ancien ministre des Finances, Carlos Leitão, qui a présidé la campagne nationale du Parti libéral du Québec aux dernières élections, s’est dit «profondément déçu» de voir Dominique Anglade quitter de la sorte.

«Je pense toujours que Dominique était la personne indiquée pour mener le parti à cette refondation qui est nécessaire», a-t-il indiqué à notre Bureau parlementaire.

M. Leitão est aussi déçu «de tout ce qui s’est passé» dans les dernières semaines au sein du parti.

«Laver son linge sale en public, ce n’est quand même pas rien», a-t-il déploré.

«À la fin, humainement, je pense que Dominique a pris la décision rationnelle (qui s’imposait)», a-t-il commenté. Et «petit message à ceux qui voulaient qu’elle parte [...] sans réfléchir vraiment à la suite [...] : stratégiquement, c'est désastreux», a insisté M. Leitão, qui espère maintenant qu’un libéral de «la nouvelle génération» prendra la relève aux commandes du parti.

Une crise devenue une distraction

Nouveau venu dans la députation libérale, Frédéric Beauchemin affirme avoir été surpris lorsque Mme Anglade a appelé le caucus lundi matin pour annoncer sa décision.

«J’avais l’impression que la tempête se calmait. Mais pour elle, c’était difficile. Ça a été difficile aussi, j’imagine, pour son mari, pour ses enfants. C’est sa décision et je la comprends», confie-t-il.

Le nouveau député de Marguerite-Bourgeoys a tenu à remercier sa cheffe pour son implication en politique, incluant ses années à la CAQ.

«C’était un don de soi», fait-il valoir.

Mais M. Beauchemin reconnaît que la situation était devenue une distraction pour le travail de l’opposition officielle.

La semaine dernière, sa conférence de presse en compagnie de la députée Madwa-Nika Cadet a été monopolisée par les questions sur le leadership de Mme Anglade.

Maintenant, le PLQ doit travailler à renouveler son offre politique, dit-il, pour aller chercher les libéraux qui n’ont pas voté pour la formation le 3 octobre dernier.

«Il faut comprendre ce que notre segment libéral, au Québec, veut entendre du parti. Il y a des choses qu’on a dites qui étaient bonnes, il y a des choses qu’on a dites qui n’étaient pas bonnes, pas juste dans la dernière campagne, mais on peut remonter dans les années précédentes aussi», dit M. Beauchemin.

De son côté, le député Franz Benjamin a affirmé que «Dominique Anglade a été une grande cheffe pour le Parti libéral».

«Elle était à l’écoute des militants. Je tiens à la remercier pour ce qu’elle a fait», a-t-il déclaré.

Tellement pourri ce parti que les pourris ont réussi à le pourrir davantage. C'est ça le PLQ, un parti de crosseurs de poule morte !

Tant qu'à moi, ce parti devrait fermer les livres et partir sur un autre nom, quitte à mettre un.e unilingue anglais au poste de chef, pour être certain de mourir de leur belle mort !

Dédé

Si j'étais chef du parti Libéral.... je ferais uniquement campagne en ANGLAIS pour s'assurer de consolider la base anglophone et de faire le pleins de nouveaux arrivants...

à coups de 50 000 et plus par année...

Et tu passes tes journées à CJAD (AM ) pour blaster non stop la KAQ... les anglos aiment ça... et en redemandent...

Make Quebec Great Again.

Et je promets d'abolir la loi 101...

Et v'lan...

Source : Démission d’Anglade: «la bonne décision», selon d’ex-élus

NICOLAS LACHANCE , MARC-ANDRÉ GAGNON et PATRICK BELLEROSE
Lundi, 7 novembre 2022 12:28
MISE À JOUR Lundi, 7 novembre 2022 14:17

Dominique Anglade a posé le bon geste en démissionnant de son poste de cheffe du Parti libéral du Québec, à la suite de la pire défaite électorale de l’histoire de la formation. D’autres sont toutefois très déçus de son départ.

«Elle a fait la bonne chose», a déclaré l’ex-élu Pierre Arcand sur les ondes de LCN.

Ce matin, Dominique Anglade a remis sa démission à titre de cheffe du Parti libéral du Québec (PLQ).

Elle quittera également son poste de député de Saint-Henri–Sainte-Anne le 1er décembre prochain.

«Elle l’a fait avec grâce», a indiqué l’un des anciens ténors des rouges.

Il estime que «chacun a sa part de responsabilité» dans l’échec électoral du 3 octobre dernier.

En démissionnant, la cheffe a réaffirmé que le PLQ devait mener un renouvellement au parti.

Or, M. Arcand semble en désaccord avec cette idée qui est martelée par plusieurs.

«Moi, avec cette phrase-là, j’ai toujours de la difficulté parce que ça veut dire qu’on efface une grande partie de ce qui a été fait avant. Alors, j’aime mieux que l’on dise qu’on fait évoluer le parti avec des valeurs plus modernes», a-t-il expliqué, ajoutant que durant le règne de Mme Anglade des militants libéraux ont eu de la difficulté à se reconnaître.

L’ex-ministre Yves Bolduc estime également que Mme Anglade a pris la bonne décision.

«C’est la décision raisonnable dans le contexte actuel», a-t-il déclaré. «Par contre, je trouve qu’elle a fait un excellent travail dans les circonstances. C’est une femme intelligente. Elle a su que c’était peut-être le temps de passer à autre chose.»

L’ex-ministre de la Santé soutient «qu’avec les résultats de l’élection» et «le fractionnement de l’électorat», Mme Anglade était prise dans un contexte trop difficile pour rester.

«Le prochain chef doit revenir à nos bases qui sont très solides. Et, il faut voir que l’électorat est très changeant sur la scène politique québécoise.»

Leitão «profondément déçu»

L’ancien ministre des Finances, Carlos Leitão, qui a présidé la campagne nationale du Parti libéral du Québec aux dernières élections, s’est dit «profondément déçu» de voir Dominique Anglade quitter de la sorte.

«Je pense toujours que Dominique était la personne indiquée pour mener le parti à cette refondation qui est nécessaire», a-t-il indiqué à notre Bureau parlementaire.

M. Leitão est aussi déçu «de tout ce qui s’est passé» dans les dernières semaines au sein du parti.

«Laver son linge sale en public, ce n’est quand même pas rien», a-t-il déploré.

«À la fin, humainement, je pense que Dominique a pris la décision rationnelle (qui s’imposait)», a-t-il commenté. Et «petit message à ceux qui voulaient qu’elle parte [...] sans réfléchir vraiment à la suite [...] : stratégiquement, c'est désastreux», a insisté M. Leitão, qui espère maintenant qu’un libéral de «la nouvelle génération» prendra la relève aux commandes du parti.

Une crise devenue une distraction

Nouveau venu dans la députation libérale, Frédéric Beauchemin affirme avoir été surpris lorsque Mme Anglade a appelé le caucus lundi matin pour annoncer sa décision.

«J’avais l’impression que la tempête se calmait. Mais pour elle, c’était difficile. Ça a été difficile aussi, j’imagine, pour son mari, pour ses enfants. C’est sa décision et je la comprends», confie-t-il.

Le nouveau député de Marguerite-Bourgeoys a tenu à remercier sa cheffe pour son implication en politique, incluant ses années à la CAQ.

«C’était un don de soi», fait-il valoir.

Mais M. Beauchemin reconnaît que la situation était devenue une distraction pour le travail de l’opposition officielle.

La semaine dernière, sa conférence de presse en compagnie de la députée Madwa-Nika Cadet a été monopolisée par les questions sur le leadership de Mme Anglade.

Maintenant, le PLQ doit travailler à renouveler son offre politique, dit-il, pour aller chercher les libéraux qui n’ont pas voté pour la formation le 3 octobre dernier.

«Il faut comprendre ce que notre segment libéral, au Québec, veut entendre du parti. Il y a des choses qu’on a dites qui étaient bonnes, il y a des choses qu’on a dites qui n’étaient pas bonnes, pas juste dans la dernière campagne, mais on peut remonter dans les années précédentes aussi», dit M. Beauchemin.

De son côté, le député Franz Benjamin a affirmé que «Dominique Anglade a été une grande cheffe pour le Parti libéral».

«Elle était à l’écoute des militants. Je tiens à la remercier pour ce qu’elle a fait», a-t-il déclaré.

Tellement pourri ce parti que les pourris ont réussi à le pourrir davantage. C'est ça le PLQ, un parti de crosseurs de poule morte !

Tant qu'à moi, ce parti devrait fermer les livres et partir sur un autre nom, quitte à mettre un.e unilingue anglais au poste de chef, pour être certain de mourir de leur belle mort !

Dédé

Si j'étais chef du parti Libéral.... je ferais uniquement campagne en ANGLAIS pour s'assurer de consolider la base anglophone et de faire le pleins de nouveaux arrivants...

à coups de 50 000 et plus par année...

Et tu passes tes journées à CJAD (AM ) pour blaster non stop la KAQ... les anglos aiment ça... et en redemandent...

Make Quebec Great Again.

Et je promets d'abolir la loi 101...

Et v'lan...

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C'est pour cette raison que j'ai écrit qu'un.e chef.fe unilingue anglais ferait un gain pour ce parti.

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Il y a une vieille blague que le PQ a fait de Toronto une Grande Ville (Exode des sièges sociaux vers Toronto avec le PQ)

Retour de l'ascenseur...

Sérieux depuis 10-12 le virage AngloFun de Montréal est assez accentué...

En plus avec Les Maples Looses de Toronto les Canadiens ont l'air d'un club décent...

https://www.journaldemontreal.com/2022/11/04/montreal-leldorado-des-torontois-grace-aux...

Montréal, l’eldorado des Torontois grâce aux prix plus bas des maisons et au télétravail

CLARA LOISEAU
Vendredi, 4 novembre 2022 16:00
MISE À JOUR Dimanche, 6 novembre 2022 17:43
Les prix exorbitants des loyers et propriétés dans plusieurs grandes villes canadiennes, comme Toronto, poussent plusieurs de leurs habitants à venir s’établir à Montréal ou au Québec, grâce à l’arrivée du télétravail et aux prix plus accessibles.

«Si nous avons déménagé ici, c’est en grande partie parce que les prix des propriétés sont abordables à un taux d’intérêt de 5%. [...] Pour la première fois de notre vie, nous avons l’impression que nous pouvons vraiment nous permettre d’avoir une famille», confie Nathaniel Smith, un Torontois qui a emménagé à Montréal cette année.

Séduit par une meilleure qualité de vie, un meilleur environnement, il a décidé de venir s’installer dans la Belle Province avec sa conjointe, même s’il attend encore de réussir à vendre sa maison à Toronto.

«Nous sommes allés jusqu’à mettre notre maison en vente [à Toronto] à un prix inférieur à celui que nous avons payé, simplement parce que le marché de Montréal est tellement inférieur à celui de Toronto que nous serions en mesure d’acheter ici même après avoir perdu près de 80 000 $ sur la vente», affirme l’homme de 29 ans.

Un rêve qui devient réalité

De son côté, Audrey Bourassa, originaire de Vancouver, caresse aussi le rêve de devenir propriétaire depuis qu’elle est venue s’installer à Montréal.

Des résidences du Plateau-Mont-Royal, à Montréal
THIERRY LAFORCE / AGENCE QMI
«Même si les prix de l’immobilier grimpent à Montréal, je vois que je vais avoir les moyens de m’offrir une maison ici, alors qu’à Vancouver, je sais que jamais je ne pourrais même imaginer devenir propriétaire un jour», explique la jeune femme de 25 ans.

Grâce au télétravail, elle a eu l’accord de ses employeurs pour déménager à plus de 4500 km et garder son emploi.

«C’est le meilleur des deux mondes», clame celle qui vit dans Rosemont depuis 2020.

Abordable

Originaire de l’Ontario, Jack Murphy a aussi décidé de quitter la municipalité de Grimsby, dans la région de Niagara, en juin 2022.

«Je voulais vivre dans un endroit où j’étais capable de subvenir à mes besoins et en Ontario, ce n’était juste plus possible, même dans les endroits historiquement abordables», soutient le jeune homme qui travaille comme cuisinier.

Comme Audrey Bourassa, le jeune homme de 28 ans estime que son arrivée au Québec lui permet de rêver au jour où il deviendra propriétaire de sa propre maison.

«C’est impossible de devenir propriétaire en Ontario. Je suis privilégié, car mes parents sont prêts à m’aider pour la mise de fonds, mais même avec leur aide, je ne pourrais jamais devenir propriétaire. Je devais partir», affirme celui qui vit dans Hochelaga-Maisonneuve.

<
Extrait du film Elvis Gratton pour manipuler l'opinion publique faut faire PEUR...

Elvis Gratton II - Sur le Canada

https://www.youtube.com/watch?v=5ssXUzJMDIg

Comment aller chercher le vote des personnes âgées.. .leur faire peur comme en 1980... La KAQ veut faire la SÉPARATION du Canada.... vous allez perdre Vos Chèque$$$ de pension$ et vivre dans l'insécurité...

Votez Libéral c'est voter pour un Québec FORT dans un Canada UNI$
Si on a des chèques de pension à vous offrir, c'est à cause du pétrole de l'Alberta$

Un Kébec Indépendant serait un Kébec plus pauvre et de vivre qu'avec UN seul chèque de pension... la RRQ... vous allez vous privez de la MOITIÉE et plus de vos revenus à la retraite...

On fait peur, pis on présente la solution, Rester dans le Kanada.. pis TVA va rester en Français en prime...

Demain c'est les Mid Terms...

y commence à être un peu vieux pour le poste...
Obama et Cie sont venus en renfort parce que lui... y est bon pour le CHSLD...

https://www.leparisien.fr/international/midterms-aux-etats-unis-comment-la-sante-de-joe...

Par Marc Chalamet, correspondant à New York (Etats-Unis)
Le 7 novembre 2022 à 13h28
Les midterms sont toujours une épreuve difficile pour les présidents en place. Celles-ci ne devraient pas déroger à la règle. En plus de l’inflation et de l’augmentation de la criminalité, Joe Biden est fragilisé par son état de santé, qui inquiète de plus en plus d’Américains. Alors que le plus vieux président des États-Unis se prépare à fêter, le 20 novembre, son 80e anniversaire, une nette majorité des électeurs du pays, (plus de 60 %) estime que le 46e président est trop âgé pour son poste, d’après le dernier sondage I&I TIPP. Une opinion que partage même une courte majorité de Démocrates.''

Une idée libérale qui pourrait même plaire aux francofuns...

Baisser les quotas francophones obligatoires à la radio...

Les radios commerciales sont obligés de jouer de la musique poche en français juste parce qu'elle est en français!(

Puis CHOM a le feu Vert pour jouer presque 100% d'anglofun.... c'est quasiment injuste...

Mettons un peu de FUN à la radio... Fuck les Quotas!

A part les artistes qui va s'en plaindre.. et eux-autres aussi doivent être tannés de les entendre les mêmes kâlisses de tounes de 3 et demi frette en hiver qui jouent en boucle..


les quotas franco ça n'aide Pas la musique franco, ça me donne juste le goût de changer de poste!

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1781556/adisq-mesures-musique-francophone-radios-c...

Les idées de l’ADISQ pour augmenter la présence de la musique francophone sur les ondes
Une personne a son pied posé sur un poste de radio.
La radio reste un moyen puissant de faire découvrir des artistes francophones au public.

Radio-Canada
Publié le 31 mars 2021
Devant le constat d’échec du quota de 65 % de musique francophone à la radio, l’ADISQ a proposé au Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) de nouvelles mesures pour faire entendre davantage la musique francophone dans toute sa diversité sur les ondes radiophoniques.

La réglementation actuelle oblige les radios à diffuser 65 % de musique francophone en semaine de 6 h à 20 h et 55 % lors des heures de grande écoute, soit de 6 h à 18 h en semaine.

Toutefois, selon l’ADISQ, les radios commerciales contournent cette règle, notamment en diffusant des montages d’extraits de chansons anglophones, qui ne comptent alors que pour une seule chanson malgré le fait que ces pots-pourris peuvent durer 15 minutes.

Et la musique francophone est surtout jouée après 20 h ou tôt le matin alors que moins de gens écoutent la radio à ces moments-là, constate Solange Drouin, vice-présidente aux affaires publiques et directrice générale de l'ADISQ.

Résultat, les artistes francophones trouvent trop peu leur place sur les ondes, d’après l’ADISQ, qui estime que le pourcentage de musique francophone diffusée aux heures de grande écoute est plus proche de 35 % que de 55 %.

Étendre les heures de grande écoute
Depuis 15 ans, l’ADISQ presse le CRTC d’agir pour faire respecter la règle des 65 %. Désormais, l’organisation, qui représente notamment l’industrie du disque, plaide pour un changement de règles et l’abandon du mirage du 65 % .

Renoncer au symbolique 65 % pour augmenter la découvrabilité de notre musique? C’est le pari que nous faisons. Plutôt que de plaider pour le maintien d’un statu quo qui nous sert mal depuis trop longtemps, nous avons cherché à mettre en place des règles efficaces, pragmatiques, et dont l’impact sera significatif pour la musique d’ici, a expliqué, par communiqué, Solange Drouin.

Concrètement, l’ADISQ propose l’élargissement des heures de grande écoute de 6 h à 20 h et l’instauration d’heures de grande écoute la fin de semaine de 8 h à 19 h, mais que la règle de 55 % de contenu musical francophone soit un vrai 55 %, sans montages, dit-elle.

Plus de musique actuelle dans les oreilles du public
L’organisation prône également que la moitié de la musique francophone jouée soit des nouveautés ou des chansons interprétées par des artistes en émergence.

Des radios se cantonnent à des oldies par nostalgie, mais il faut créer les oldies de demain, met en avant Solange Drouin.

En effet, malgré la popularité croissante de l’écoute de musique en ligne, notamment sur Spotify, la radio reste un outil de découvrabilité de la musique, selon ce que martèle l’ADISQ.

« Il est temps de cesser de prétendre que notre musique est un obstacle au succès commercial des radios. »

— Une citation de Philippe Archambault, président de l’ADISQ
Les radios commerciales ne sont pas capables de faire la démonstration qu’elles ne sont pas profitables à cause des quotas de musique francophone, ajoute-t-elle, précisant que cela fait près de 30 ans qu’elle entend cet argument.

Pour un contrôle accru du CRTC
La directrice des affaires institutionnelles et de la recherche à l'ADISQ, Marie-Julie Desrochers, demande aussi que le CRTC améliore non seulement son processus de vérification, mais qu'il augmente également la fréquence des vérifications pour s'assurer du respect des quotas.

En ce moment, à peu près une semaine de radiodiffusion sur sept ans fait l'objet de vérifications par le Conseil, a-t-elle précisé. C'est très peu.

Les revendications de l’ADISQ sont-elles légitimes? Oui, selon Danick Trottier, professeur et directeur du Département de musique de l'Université du Québec à Montréal. On se retrouve avec des radios aujourd'hui où la chanson anglophone domine de façon générale et, surtout, domine durant les heures de grande écoute, [lorsque] les gens se déplacent en voiture, pour aller au travail par exemple, explique le musicologue.

Il y a même certaines radios qui vont relayer tout le contenu francophone en soirée alors que ce n'est pas le pic en radio.

Au chapitre des changements à proposer... plus de liberté...
La fermeture des bars à 3h00 ça fait des congestions MONSTRES sur les réseaux de taxis, nez rouges et toutes le kit...

Pourquoi pas un peu plus de liberté...

https://www.info-bars.com/articles-bars-evenements-promotions-concours/prolongation-des...

prolongation1Un consensus à portée de main !
Depuis quelques années, la Corporation des propriétaires de bars, brasseries et tavernes du Québec recommande au gouvernement du Québec de prolonger l’heure d’ouverture des bars au-delà de trois heures du matin. Plusieurs motifs justifient cette démarche. L’ouverture jusqu’à six heures du matin serait beaucoup plus attrayante pour les touristes dans des villes comme Québec et Montréal; elle augmenterait aussi le niveau de sécurité pour les clients.

Montréal, projet pilote?
Motivé par l’expérience de la Nuit blanche du Festival Montréal en lumière, le maire de Montréal, Denis Coderre, est prêt à réfléchir au prolongement de l’ouverture des bars de 3 h à 6 h du matin.''

il faudrait peut-être que le Parti Libéral reviennent sur ce qu'il a fait pour la province, notamment la création de l'Assurance Maladie universelle.. (Ben oui)

Et le Crédit de TVQ... c'est Libérale...

Faudrait peut-être le bonifier au lieu de dilapider des chèques de 500$ à notamment du mond qui n'en n'ont pas besoin et que... au final ça créé de l'inflation... les pétrolières et les épiceries vont booster les prix en décembre...

https://www.journaldemontreal.com/2011/06/21/le-gouvernement-du-quebec-embauche-pour-me...

Le gouvernement du Québec embauche pour mettre en place un nouveau crédit d'impôt

AUTRES
Le ministre des Finances, Raymond Bachand, a précisé mardi que ce sont 510 millions $ de plus qui seront retournés à 2,5 millions de familles québécoises avec le crédit d'impôt à la solidarité.

Le ministre des Finances, Raymond Bachand, a précisé mardi que ce sont 510 millions $ de plus qui seront retournés à 2,5 millions de familles québécoises avec le crédit d'impôt à la solidarité.
auteur_annie-saint-pierre
ANNIE ST-PIERRE
Mardi, 21 juin 2011 20:37
MISE À JOUR Mardi, 21 juin 2011 20:37
QUÉBEC - L'instauration d'un nouveau crédit d'impôt pour la solidarité pousse le gouvernement du Québec à embaucher 200 agents qui travailleront dans les nouveaux locaux de l'Agence de revenu à Lévis.
Ce nouveau crédit d'impôt regroupe trois anciennes mesures fiscales: le crédit pour la TVQ, le remboursement d'impôts fonciers et le crédit pour les habitants d'un village nordique.

Annoncée dans le budget 2009, cette initiative gouvernementale entrera officiellement en vigueur le 1er juillet. Elle vise à compenser 2,5 millions de familles pour les sommes supplémentaires qu'elles versent avec la hausse de la TVQ et de la taxe sur l'essence.

Le ministre des Finances, Raymond Bachand, a précisé mardi que ce sont 510 millions $ de plus qui seront retournés à 2,5 millions de familles québécoises avec le crédit d'impôt à la solidarité.

En moyenne, ce sont donc 510 $ par mois qui seront envoyés à ceux qui ont droit à ce crédit d'impôt, donc 1,4 milliard de dollars par année. «Mais je n'aime pas les moyennes», a mentionné M. Bachand, précisant que certains ménages québécois qui bénéficiaient d'un crédit d'impôt à la TVQ n'auront maintenant plus droit à la nouvelle mesure, selon leurs revenus et les nouveaux critères d'admissibilité.

200 emplois

Selon le ministre Bachand, la moitié des postes restent à combler alors que le premier versement du crédit d'impôt doit se faire le 6 juillet.

Les agents sont généralement embauchés de manière permanente. Ils viennent s'ajouter à la masse salariale des employés du gouvernement, qui n'a pas été quantifié par le ministre.

M. Bachand s'est dit conscient du fait que cette décision représente une «dépense additionnelle» pour le gouvernement du Québec, car en plus des 200 emplois nécessaires à son implantation, il a fallu injecter plus de 30 millions de dollars en services informatiques.

Précisément, Revenu Québec dit que les technologies du nouveau centre destiné à l'administration du crédit d'impôt à la solidarité permettent de répondre à plus de 700 appels téléphoniques simultanément.

Source : Démission d’Anglade: «la bonne décision», selon d’ex-élus

NICOLAS LACHANCE , MARC-ANDRÉ GAGNON et PATRICK BELLEROSE
Lundi, 7 novembre 2022 12:28
MISE À JOUR Lundi, 7 novembre 2022 14:17

Dominique Anglade a posé le bon geste en démissionnant de son poste de cheffe du Parti libéral du Québec, à la suite de la pire défaite électorale de l’histoire de la formation. D’autres sont toutefois très déçus de son départ.

«Elle a fait la bonne chose», a déclaré l’ex-élu Pierre Arcand sur les ondes de LCN.

Ce matin, Dominique Anglade a remis sa démission à titre de cheffe du Parti libéral du Québec (PLQ).

Elle quittera également son poste de député de Saint-Henri–Sainte-Anne le 1er décembre prochain.

«Elle l’a fait avec grâce», a indiqué l’un des anciens ténors des rouges.

Il estime que «chacun a sa part de responsabilité» dans l’échec électoral du 3 octobre dernier.

En démissionnant, la cheffe a réaffirmé que le PLQ devait mener un renouvellement au parti.

Or, M. Arcand semble en désaccord avec cette idée qui est martelée par plusieurs.

«Moi, avec cette phrase-là, j’ai toujours de la difficulté parce que ça veut dire qu’on efface une grande partie de ce qui a été fait avant. Alors, j’aime mieux que l’on dise qu’on fait évoluer le parti avec des valeurs plus modernes», a-t-il expliqué, ajoutant que durant le règne de Mme Anglade des militants libéraux ont eu de la difficulté à se reconnaître.

L’ex-ministre Yves Bolduc estime également que Mme Anglade a pris la bonne décision.

«C’est la décision raisonnable dans le contexte actuel», a-t-il déclaré. «Par contre, je trouve qu’elle a fait un excellent travail dans les circonstances. C’est une femme intelligente. Elle a su que c’était peut-être le temps de passer à autre chose.»

L’ex-ministre de la Santé soutient «qu’avec les résultats de l’élection» et «le fractionnement de l’électorat», Mme Anglade était prise dans un contexte trop difficile pour rester.

«Le prochain chef doit revenir à nos bases qui sont très solides. Et, il faut voir que l’électorat est très changeant sur la scène politique québécoise.»

Leitão «profondément déçu»

L’ancien ministre des Finances, Carlos Leitão, qui a présidé la campagne nationale du Parti libéral du Québec aux dernières élections, s’est dit «profondément déçu» de voir Dominique Anglade quitter de la sorte.

«Je pense toujours que Dominique était la personne indiquée pour mener le parti à cette refondation qui est nécessaire», a-t-il indiqué à notre Bureau parlementaire.

M. Leitão est aussi déçu «de tout ce qui s’est passé» dans les dernières semaines au sein du parti.

«Laver son linge sale en public, ce n’est quand même pas rien», a-t-il déploré.

«À la fin, humainement, je pense que Dominique a pris la décision rationnelle (qui s’imposait)», a-t-il commenté. Et «petit message à ceux qui voulaient qu’elle parte [...] sans réfléchir vraiment à la suite [...] : stratégiquement, c'est désastreux», a insisté M. Leitão, qui espère maintenant qu’un libéral de «la nouvelle génération» prendra la relève aux commandes du parti.

Une crise devenue une distraction

Nouveau venu dans la députation libérale, Frédéric Beauchemin affirme avoir été surpris lorsque Mme Anglade a appelé le caucus lundi matin pour annoncer sa décision.

«J’avais l’impression que la tempête se calmait. Mais pour elle, c’était difficile. Ça a été difficile aussi, j’imagine, pour son mari, pour ses enfants. C’est sa décision et je la comprends», confie-t-il.

Le nouveau député de Marguerite-Bourgeoys a tenu à remercier sa cheffe pour son implication en politique, incluant ses années à la CAQ.

«C’était un don de soi», fait-il valoir.

Mais M. Beauchemin reconnaît que la situation était devenue une distraction pour le travail de l’opposition officielle.

La semaine dernière, sa conférence de presse en compagnie de la députée Madwa-Nika Cadet a été monopolisée par les questions sur le leadership de Mme Anglade.

Maintenant, le PLQ doit travailler à renouveler son offre politique, dit-il, pour aller chercher les libéraux qui n’ont pas voté pour la formation le 3 octobre dernier.

«Il faut comprendre ce que notre segment libéral, au Québec, veut entendre du parti. Il y a des choses qu’on a dites qui étaient bonnes, il y a des choses qu’on a dites qui n’étaient pas bonnes, pas juste dans la dernière campagne, mais on peut remonter dans les années précédentes aussi», dit M. Beauchemin.

De son côté, le député Franz Benjamin a affirmé que «Dominique Anglade a été une grande cheffe pour le Parti libéral».

«Elle était à l’écoute des militants. Je tiens à la remercier pour ce qu’elle a fait», a-t-il déclaré.

Tellement pourri ce parti que les pourris ont réussi à le pourrir davantage. C'est ça le PLQ, un parti de crosseurs de poule morte !

Tant qu'à moi, ce parti devrait fermer les livres et partir sur un autre nom, quitte à mettre un.e unilingue anglais au poste de chef, pour être certain de mourir de leur belle mort !

Dédé

Plus besoin du PLQ, tu as le PLQ 2.0. La CAQ.

Source : Démission d’Anglade: «la bonne décision», selon d’ex-élus

NICOLAS LACHANCE , MARC-ANDRÉ GAGNON et PATRICK BELLEROSE
Lundi, 7 novembre 2022 12:28
MISE À JOUR Lundi, 7 novembre 2022 14:17

Dominique Anglade a posé le bon geste en démissionnant de son poste de cheffe du Parti libéral du Québec, à la suite de la pire défaite électorale de l’histoire de la formation. D’autres sont toutefois très déçus de son départ.

«Elle a fait la bonne chose», a déclaré l’ex-élu Pierre Arcand sur les ondes de LCN.

Ce matin, Dominique Anglade a remis sa démission à titre de cheffe du Parti libéral du Québec (PLQ).

Elle quittera également son poste de député de Saint-Henri–Sainte-Anne le 1er décembre prochain.

«Elle l’a fait avec grâce», a indiqué l’un des anciens ténors des rouges.

Il estime que «chacun a sa part de responsabilité» dans l’échec électoral du 3 octobre dernier.

En démissionnant, la cheffe a réaffirmé que le PLQ devait mener un renouvellement au parti.

Or, M. Arcand semble en désaccord avec cette idée qui est martelée par plusieurs.

«Moi, avec cette phrase-là, j’ai toujours de la difficulté parce que ça veut dire qu’on efface une grande partie de ce qui a été fait avant. Alors, j’aime mieux que l’on dise qu’on fait évoluer le parti avec des valeurs plus modernes», a-t-il expliqué, ajoutant que durant le règne de Mme Anglade des militants libéraux ont eu de la difficulté à se reconnaître.

L’ex-ministre Yves Bolduc estime également que Mme Anglade a pris la bonne décision.

«C’est la décision raisonnable dans le contexte actuel», a-t-il déclaré. «Par contre, je trouve qu’elle a fait un excellent travail dans les circonstances. C’est une femme intelligente. Elle a su que c’était peut-être le temps de passer à autre chose.»

L’ex-ministre de la Santé soutient «qu’avec les résultats de l’élection» et «le fractionnement de l’électorat», Mme Anglade était prise dans un contexte trop difficile pour rester.

«Le prochain chef doit revenir à nos bases qui sont très solides. Et, il faut voir que l’électorat est très changeant sur la scène politique québécoise.»

Leitão «profondément déçu»

L’ancien ministre des Finances, Carlos Leitão, qui a présidé la campagne nationale du Parti libéral du Québec aux dernières élections, s’est dit «profondément déçu» de voir Dominique Anglade quitter de la sorte.

«Je pense toujours que Dominique était la personne indiquée pour mener le parti à cette refondation qui est nécessaire», a-t-il indiqué à notre Bureau parlementaire.

M. Leitão est aussi déçu «de tout ce qui s’est passé» dans les dernières semaines au sein du parti.

«Laver son linge sale en public, ce n’est quand même pas rien», a-t-il déploré.

«À la fin, humainement, je pense que Dominique a pris la décision rationnelle (qui s’imposait)», a-t-il commenté. Et «petit message à ceux qui voulaient qu’elle parte [...] sans réfléchir vraiment à la suite [...] : stratégiquement, c'est désastreux», a insisté M. Leitão, qui espère maintenant qu’un libéral de «la nouvelle génération» prendra la relève aux commandes du parti.

Une crise devenue une distraction

Nouveau venu dans la députation libérale, Frédéric Beauchemin affirme avoir été surpris lorsque Mme Anglade a appelé le caucus lundi matin pour annoncer sa décision.

«J’avais l’impression que la tempête se calmait. Mais pour elle, c’était difficile. Ça a été difficile aussi, j’imagine, pour son mari, pour ses enfants. C’est sa décision et je la comprends», confie-t-il.

Le nouveau député de Marguerite-Bourgeoys a tenu à remercier sa cheffe pour son implication en politique, incluant ses années à la CAQ.

«C’était un don de soi», fait-il valoir.

Mais M. Beauchemin reconnaît que la situation était devenue une distraction pour le travail de l’opposition officielle.

La semaine dernière, sa conférence de presse en compagnie de la députée Madwa-Nika Cadet a été monopolisée par les questions sur le leadership de Mme Anglade.

Maintenant, le PLQ doit travailler à renouveler son offre politique, dit-il, pour aller chercher les libéraux qui n’ont pas voté pour la formation le 3 octobre dernier.

«Il faut comprendre ce que notre segment libéral, au Québec, veut entendre du parti. Il y a des choses qu’on a dites qui étaient bonnes, il y a des choses qu’on a dites qui n’étaient pas bonnes, pas juste dans la dernière campagne, mais on peut remonter dans les années précédentes aussi», dit M. Beauchemin.

De son côté, le député Franz Benjamin a affirmé que «Dominique Anglade a été une grande cheffe pour le Parti libéral».

«Elle était à l’écoute des militants. Je tiens à la remercier pour ce qu’elle a fait», a-t-il déclaré.

Tellement pourri ce parti que les pourris ont réussi à le pourrir davantage. C'est ça le PLQ, un parti de crosseurs de poule morte !

Tant qu'à moi, ce parti devrait fermer les livres et partir sur un autre nom, quitte à mettre un.e unilingue anglais au poste de chef, pour être certain de mourir de leur belle mort !

Dédé

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Dominique Anglade a posé le bon geste en démissionnant de son poste de cheffe du Parti libéral du Québec, à la suite de la pire défaite électorale de l’histoire de la formation. D’autres sont toutefois très déçus de son départ.

«Elle a fait la bonne chose», a déclaré l’ex-élu Pierre Arcand sur les ondes de LCN.

Ce matin, Dominique Anglade a remis sa démission à titre de cheffe du Parti libéral du Québec (PLQ).

Elle quittera également son poste de député de Saint-Henri–Sainte-Anne le 1er décembre prochain.

«Elle l’a fait avec grâce», a indiqué l’un des anciens ténors des rouges.

Il estime que «chacun a sa part de responsabilité» dans l’échec électoral du 3 octobre dernier.

En démissionnant, la cheffe a réaffirmé que le PLQ devait mener un renouvellement au parti.

Or, M. Arcand semble en désaccord avec cette idée qui est martelée par plusieurs.

«Moi, avec cette phrase-là, j’ai toujours de la difficulté parce que ça veut dire qu’on efface une grande partie de ce qui a été fait avant. Alors, j’aime mieux que l’on dise qu’on fait évoluer le parti avec des valeurs plus modernes», a-t-il expliqué, ajoutant que durant le règne de Mme Anglade des militants libéraux ont eu de la difficulté à se reconnaître.

L’ex-ministre Yves Bolduc estime également que Mme Anglade a pris la bonne décision.

«C’est la décision raisonnable dans le contexte actuel», a-t-il déclaré. «Par contre, je trouve qu’elle a fait un excellent travail dans les circonstances. C’est une femme intelligente. Elle a su que c’était peut-être le temps de passer à autre chose.»

L’ex-ministre de la Santé soutient «qu’avec les résultats de l’élection» et «le fractionnement de l’électorat», Mme Anglade était prise dans un contexte trop difficile pour rester.

«Le prochain chef doit revenir à nos bases qui sont très solides. Et, il faut voir que l’électorat est très changeant sur la scène politique québécoise.»

Leitão «profondément déçu»

L’ancien ministre des Finances, Carlos Leitão, qui a présidé la campagne nationale du Parti libéral du Québec aux dernières élections, s’est dit «profondément déçu» de voir Dominique Anglade quitter de la sorte.

«Je pense toujours que Dominique était la personne indiquée pour mener le parti à cette refondation qui est nécessaire», a-t-il indiqué à notre Bureau parlementaire.

M. Leitão est aussi déçu «de tout ce qui s’est passé» dans les dernières semaines au sein du parti.

«Laver son linge sale en public, ce n’est quand même pas rien», a-t-il déploré.

«À la fin, humainement, je pense que Dominique a pris la décision rationnelle (qui s’imposait)», a-t-il commenté. Et «petit message à ceux qui voulaient qu’elle parte [...] sans réfléchir vraiment à la suite [...] : stratégiquement, c'est désastreux», a insisté M. Leitão, qui espère maintenant qu’un libéral de «la nouvelle génération» prendra la relève aux commandes du parti.

Une crise devenue une distraction

Nouveau venu dans la députation libérale, Frédéric Beauchemin affirme avoir été surpris lorsque Mme Anglade a appelé le caucus lundi matin pour annoncer sa décision.

«J’avais l’impression que la tempête se calmait. Mais pour elle, c’était difficile. Ça a été difficile aussi, j’imagine, pour son mari, pour ses enfants. C’est sa décision et je la comprends», confie-t-il.

Le nouveau député de Marguerite-Bourgeoys a tenu à remercier sa cheffe pour son implication en politique, incluant ses années à la CAQ.

«C’était un don de soi», fait-il valoir.

Mais M. Beauchemin reconnaît que la situation était devenue une distraction pour le travail de l’opposition officielle.

La semaine dernière, sa conférence de presse en compagnie de la députée Madwa-Nika Cadet a été monopolisée par les questions sur le leadership de Mme Anglade.

Maintenant, le PLQ doit travailler à renouveler son offre politique, dit-il, pour aller chercher les libéraux qui n’ont pas voté pour la formation le 3 octobre dernier.

«Il faut comprendre ce que notre segment libéral, au Québec, veut entendre du parti. Il y a des choses qu’on a dites qui étaient bonnes, il y a des choses qu’on a dites qui n’étaient pas bonnes, pas juste dans la dernière campagne, mais on peut remonter dans les années précédentes aussi», dit M. Beauchemin.

De son côté, le député Franz Benjamin a affirmé que «Dominique Anglade a été une grande cheffe pour le Parti libéral».

«Elle était à l’écoute des militants. Je tiens à la remercier pour ce qu’elle a fait», a-t-il déclaré.

Tellement pourri ce parti que les pourris ont réussi à le pourrir davantage. C'est ça le PLQ, un parti de crosseurs de poule morte !

Tant qu'à moi, ce parti devrait fermer les livres et partir sur un autre nom, quitte à mettre un.e unilingue anglais au poste de chef, pour être certain de mourir de leur belle mort !

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Ygreck est le critique en chef...

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Dominique Anglade a posé le bon geste en démissionnant de son poste de cheffe du Parti libéral du Québec, à la suite de la pire défaite électorale de l’histoire de la formation. D’autres sont toutefois très déçus de son départ.

«Elle a fait la bonne chose», a déclaré l’ex-élu Pierre Arcand sur les ondes de LCN.

Ce matin, Dominique Anglade a remis sa démission à titre de cheffe du Parti libéral du Québec (PLQ).

Elle quittera également son poste de député de Saint-Henri–Sainte-Anne le 1er décembre prochain.

«Elle l’a fait avec grâce», a indiqué l’un des anciens ténors des rouges.

Il estime que «chacun a sa part de responsabilité» dans l’échec électoral du 3 octobre dernier.

En démissionnant, la cheffe a réaffirmé que le PLQ devait mener un renouvellement au parti.

Or, M. Arcand semble en désaccord avec cette idée qui est martelée par plusieurs.

«Moi, avec cette phrase-là, j’ai toujours de la difficulté parce que ça veut dire qu’on efface une grande partie de ce qui a été fait avant. Alors, j’aime mieux que l’on dise qu’on fait évoluer le parti avec des valeurs plus modernes», a-t-il expliqué, ajoutant que durant le règne de Mme Anglade des militants libéraux ont eu de la difficulté à se reconnaître.

L’ex-ministre Yves Bolduc estime également que Mme Anglade a pris la bonne décision.

«C’est la décision raisonnable dans le contexte actuel», a-t-il déclaré. «Par contre, je trouve qu’elle a fait un excellent travail dans les circonstances. C’est une femme intelligente. Elle a su que c’était peut-être le temps de passer à autre chose.»

L’ex-ministre de la Santé soutient «qu’avec les résultats de l’élection» et «le fractionnement de l’électorat», Mme Anglade était prise dans un contexte trop difficile pour rester.

«Le prochain chef doit revenir à nos bases qui sont très solides. Et, il faut voir que l’électorat est très changeant sur la scène politique québécoise.»

Leitão «profondément déçu»

L’ancien ministre des Finances, Carlos Leitão, qui a présidé la campagne nationale du Parti libéral du Québec aux dernières élections, s’est dit «profondément déçu» de voir Dominique Anglade quitter de la sorte.

«Je pense toujours que Dominique était la personne indiquée pour mener le parti à cette refondation qui est nécessaire», a-t-il indiqué à notre Bureau parlementaire.

M. Leitão est aussi déçu «de tout ce qui s’est passé» dans les dernières semaines au sein du parti.

«Laver son linge sale en public, ce n’est quand même pas rien», a-t-il déploré.

«À la fin, humainement, je pense que Dominique a pris la décision rationnelle (qui s’imposait)», a-t-il commenté. Et «petit message à ceux qui voulaient qu’elle parte [...] sans réfléchir vraiment à la suite [...] : stratégiquement, c'est désastreux», a insisté M. Leitão, qui espère maintenant qu’un libéral de «la nouvelle génération» prendra la relève aux commandes du parti.

Une crise devenue une distraction

Nouveau venu dans la députation libérale, Frédéric Beauchemin affirme avoir été surpris lorsque Mme Anglade a appelé le caucus lundi matin pour annoncer sa décision.

«J’avais l’impression que la tempête se calmait. Mais pour elle, c’était difficile. Ça a été difficile aussi, j’imagine, pour son mari, pour ses enfants. C’est sa décision et je la comprends», confie-t-il.

Le nouveau député de Marguerite-Bourgeoys a tenu à remercier sa cheffe pour son implication en politique, incluant ses années à la CAQ.

«C’était un don de soi», fait-il valoir.

Mais M. Beauchemin reconnaît que la situation était devenue une distraction pour le travail de l’opposition officielle.

La semaine dernière, sa conférence de presse en compagnie de la députée Madwa-Nika Cadet a été monopolisée par les questions sur le leadership de Mme Anglade.

Maintenant, le PLQ doit travailler à renouveler son offre politique, dit-il, pour aller chercher les libéraux qui n’ont pas voté pour la formation le 3 octobre dernier.

«Il faut comprendre ce que notre segment libéral, au Québec, veut entendre du parti. Il y a des choses qu’on a dites qui étaient bonnes, il y a des choses qu’on a dites qui n’étaient pas bonnes, pas juste dans la dernière campagne, mais on peut remonter dans les années précédentes aussi», dit M. Beauchemin.

De son côté, le député Franz Benjamin a affirmé que «Dominique Anglade a été une grande cheffe pour le Parti libéral».

«Elle était à l’écoute des militants. Je tiens à la remercier pour ce qu’elle a fait», a-t-il déclaré.

Tellement pourri ce parti que les pourris ont réussi à le pourrir davantage. C'est ça le PLQ, un parti de crosseurs de poule morte !

Tant qu'à moi, ce parti devrait fermer les livres et partir sur un autre nom, quitte à mettre un.e unilingue anglais au poste de chef, pour être certain de mourir de leur belle mort !

Dédé

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Source : Démission d’Anglade: «la bonne décision», selon d’ex-élus

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Lundi, 7 novembre 2022 12:28
MISE À JOUR Lundi, 7 novembre 2022 14:17

Dominique Anglade a posé le bon geste en démissionnant de son poste de cheffe du Parti libéral du Québec, à la suite de la pire défaite électorale de l’histoire de la formation. D’autres sont toutefois très déçus de son départ.

«Elle a fait la bonne chose», a déclaré l’ex-élu Pierre Arcand sur les ondes de LCN.

Ce matin, Dominique Anglade a remis sa démission à titre de cheffe du Parti libéral du Québec (PLQ).

Elle quittera également son poste de député de Saint-Henri–Sainte-Anne le 1er décembre prochain.

«Elle l’a fait avec grâce», a indiqué l’un des anciens ténors des rouges.

Il estime que «chacun a sa part de responsabilité» dans l’échec électoral du 3 octobre dernier.

En démissionnant, la cheffe a réaffirmé que le PLQ devait mener un renouvellement au parti.

Or, M. Arcand semble en désaccord avec cette idée qui est martelée par plusieurs.

«Moi, avec cette phrase-là, j’ai toujours de la difficulté parce que ça veut dire qu’on efface une grande partie de ce qui a été fait avant. Alors, j’aime mieux que l’on dise qu’on fait évoluer le parti avec des valeurs plus modernes», a-t-il expliqué, ajoutant que durant le règne de Mme Anglade des militants libéraux ont eu de la difficulté à se reconnaître.

L’ex-ministre Yves Bolduc estime également que Mme Anglade a pris la bonne décision.

«C’est la décision raisonnable dans le contexte actuel», a-t-il déclaré. «Par contre, je trouve qu’elle a fait un excellent travail dans les circonstances. C’est une femme intelligente. Elle a su que c’était peut-être le temps de passer à autre chose.»

L’ex-ministre de la Santé soutient «qu’avec les résultats de l’élection» et «le fractionnement de l’électorat», Mme Anglade était prise dans un contexte trop difficile pour rester.

«Le prochain chef doit revenir à nos bases qui sont très solides. Et, il faut voir que l’électorat est très changeant sur la scène politique québécoise.»

Leitão «profondément déçu»

L’ancien ministre des Finances, Carlos Leitão, qui a présidé la campagne nationale du Parti libéral du Québec aux dernières élections, s’est dit «profondément déçu» de voir Dominique Anglade quitter de la sorte.

«Je pense toujours que Dominique était la personne indiquée pour mener le parti à cette refondation qui est nécessaire», a-t-il indiqué à notre Bureau parlementaire.

M. Leitão est aussi déçu «de tout ce qui s’est passé» dans les dernières semaines au sein du parti.

«Laver son linge sale en public, ce n’est quand même pas rien», a-t-il déploré.

«À la fin, humainement, je pense que Dominique a pris la décision rationnelle (qui s’imposait)», a-t-il commenté. Et «petit message à ceux qui voulaient qu’elle parte [...] sans réfléchir vraiment à la suite [...] : stratégiquement, c'est désastreux», a insisté M. Leitão, qui espère maintenant qu’un libéral de «la nouvelle génération» prendra la relève aux commandes du parti.

Une crise devenue une distraction

Nouveau venu dans la députation libérale, Frédéric Beauchemin affirme avoir été surpris lorsque Mme Anglade a appelé le caucus lundi matin pour annoncer sa décision.

«J’avais l’impression que la tempête se calmait. Mais pour elle, c’était difficile. Ça a été difficile aussi, j’imagine, pour son mari, pour ses enfants. C’est sa décision et je la comprends», confie-t-il.

Le nouveau député de Marguerite-Bourgeoys a tenu à remercier sa cheffe pour son implication en politique, incluant ses années à la CAQ.

«C’était un don de soi», fait-il valoir.

Mais M. Beauchemin reconnaît que la situation était devenue une distraction pour le travail de l’opposition officielle.

La semaine dernière, sa conférence de presse en compagnie de la députée Madwa-Nika Cadet a été monopolisée par les questions sur le leadership de Mme Anglade.

Maintenant, le PLQ doit travailler à renouveler son offre politique, dit-il, pour aller chercher les libéraux qui n’ont pas voté pour la formation le 3 octobre dernier.

«Il faut comprendre ce que notre segment libéral, au Québec, veut entendre du parti. Il y a des choses qu’on a dites qui étaient bonnes, il y a des choses qu’on a dites qui n’étaient pas bonnes, pas juste dans la dernière campagne, mais on peut remonter dans les années précédentes aussi», dit M. Beauchemin.

De son côté, le député Franz Benjamin a affirmé que «Dominique Anglade a été une grande cheffe pour le Parti libéral».

«Elle était à l’écoute des militants. Je tiens à la remercier pour ce qu’elle a fait», a-t-il déclaré.

Tellement pourri ce parti que les pourris ont réussi à le pourrir davantage. C'est ça le PLQ, un parti de crosseurs de poule morte !

Tant qu'à moi, ce parti devrait fermer les livres et partir sur un autre nom, quitte à mettre un.e unilingue anglais au poste de chef, pour être certain de mourir de leur belle mort !

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C'est aussi mon préféré Ygreck, il exprime magnifiquement ses caricatures, surtout si nous prenons le temps d'analyser son contenu.

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