Comment réagir lorsque nos enfants sont malades ? (Forum)

par Jéromec, lundi 14 novembre 2022, 22:45 (il y a 534 jours)

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Comment réagir lorsque nos enfants sont malades ? Je vous propose cette nuit une discussion ouverte sur la crise dans les urgences pédiatriques, la pénurie de médicaments pour enfants et la suggestion du CMQ par rapport au retour du masque ????

https://www.985fm.ca/

Ce soir sur les lignes ouvertes.... minuit à 3h00

Chose sûr... les gouvernements dorment au gaz...

Dans le Drain Malade?

par Jéromec, lundi 14 novembre 2022, 23:10 (il y a 534 jours) @ Jéromec

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pas un kâlisse de mot au lendemain d'une fusillade et d'un état de siège à St-Jean sur Richelieu

Est-il apte à être ministre?

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Dans le Drain Malade?

par Dédé ⌂ @, lundi 14 novembre 2022, 23:12 (il y a 534 jours) @ Jéromec

La machine roule dans marde tabarnack ! :enrage:

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Comment réagir lorsque nos enfants sont malades ?

par Dédé ⌂ @, lundi 14 novembre 2022, 23:11 (il y a 534 jours) @ Jéromec

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Comment réagir lorsque nos enfants sont malades ? Je vous propose cette nuit une discussion ouverte sur la crise dans les urgences pédiatriques, la pénurie de médicaments pour enfants et la suggestion du CMQ par rapport au retour du masque ????

https://www.985fm.ca/

Ce soir sur les lignes ouvertes.... minuit à 3h00

Chose sûr... les gouvernements dorment au gaz...

______________________

J'ai une suggestion que j'ai reçu dans le temps par les urgentologues du CH Ste-Justine, lorsque ma première fille était au prise de bronchiolite ( elle faisait du faux croupe ). C'était de bien emmitouflé l'enfant pour ne pas prendre froid et le promener en carrosse pendant au moins 30 minutes. L'humidité extérieure agit comme un bucco-dilatateur ( Ventolin ) tout en empêchant l'accumulation de mucus dans la trachée. Évidemment, il faut prendre les posologies prescrites pour calmer la toux et de diminuer l'hyperthermie ( hausse de la température corporelle )

Si l'enfant représente de nouveau quelques heures plus tard, refaire une autre promenade. Personnellement, ça avait fonctionné pour ma fille lorsqu'elle avait 2 ans.

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C'Est mieux que la gang de criss de mongol

par Jéromec, lundi 14 novembre 2022, 23:17 (il y a 534 jours) @ Dédé

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Comment réagir lorsque nos enfants sont malades ? Je vous propose cette nuit une discussion ouverte sur la crise dans les urgences pédiatriques, la pénurie de médicaments pour enfants et la suggestion du CMQ par rapport au retour du masque ????

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Ce soir sur les lignes ouvertes.... minuit à 3h00

Chose sûr... les gouvernements dorment au gaz...

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J'ai une suggestion que j'ai reçu dans le temps par les urgentologues du CH Ste-Justine, lorsque ma première fille était au prise de bronchiolite ( elle faisait du faux croupe ). C'était de bien emmitouflé l'enfant pour ne pas prendre froid et le promener en carrosse pendant au moins 30 minutes. L'humidité extérieure agit comme un bucco-dilatateur ( Ventolin ) tout en empêchant l'accumulation de mucus dans la trachée. Évidemment, il faut prendre les posologies prescrites pour calmer la toux et de diminuer l'hyperthermie ( hausse de la température corporelle )

Si l'enfant représente de nouveau quelques heures plus tard, refaire une autre promenade. Personnellement, ça avait fonctionné pour ma fille lorsqu'elle avait 2 ans.

https://twitter.com/JamesL1927/status/1591731182479228930
Bernard Drainville a retweeté
James Leighton
@JamesL1927
If you ever met your hero you’d hope they’d be as cool as this!

BRUCE SPRINGSTEEN tells GRAHAM NORTON about the time he made a fans’ dreams come true.
Traduire le Tweet

Décourageant Esti!

:coupiedaucul:
Drainville OUT!

Des écoles du Québec visées 13 fois par des menaces

par Jéromec, mardi 15 novembre 2022, 07:23 (il y a 534 jours) @ Jéromec

M'a essayé de faire comme si dans le Drain N'existait pas... on ne sera pas déçu ainsi!
faut pas s'attendre à grand chose... non faut pas s'attendre à rien du tout... d'eux...

https://www.journaldemontreal.com/2022/11/14/13-ecoles-du-quebec-visees-par-des-menaces...

Des écoles du Québec visées 13 fois par des menaces depuis la rentrée
Les menaces envers les établissements scolaires se multiplient depuis septembre

PHOTO AGENCE QMI / MAXIME DELAND
Le Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu a été confiné parce qu'un étudiant de 19 ans aurait proféré des menaces.

Lundi, 14 novembre 2022 20:00
MISE À JOUR Lundi, 14 novembre 2022 20:00
Alerte à la bombe, arme à feu dans un casier, rôdeur armé: plus d’un établissement scolaire par semaine en moyenne a été confiné ou évacué au Québec en lien avec de potentielles menaces depuis la rentrée, créant un sentiment d’insécurité chez élèves et parents.

«Il y a une inquiétude qui me reste en tête et que je n’avais pas la semaine d’avant. J’ai perdu ce sentiment de sécurité que mon fils est parti s’éduquer à l’école et qu’il est entre bonnes mains», laisse tomber Sonia Lepage.

L’école Monseigneur-A.-M.-Parent que son garçon de troisième secondaire fréquente à Longueuil a été évacuée il y a une semaine, en raison d’une alerte à la bombe.

Depuis le début de l’année scolaire seulement, au moins 13 écoles ont dû être confinées ou évacuées en raison de menaces en tous genres, selon une recension faite par Le Journal. En moyenne, il s’agit de plus d’un déploiement policier par semaine dans des établissements scolaires.

Les deux plus récents événements ont d’ailleurs fait les manchettes vendredi dernier. Le Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu a été confiné parce qu'un étudiant de 19 ans aurait proféré des menaces, tandis que le Collège Montmorency de Laval a été barricadé durant des heures après une fusillade qui a éclaté dans un parc à proximité.

Imiter les autres

Tant au Canada que dans d’autres pays, les menaces faites envers les écoles sont en augmentation, rapporte Tracy Vaillancourt, professeure de psychologie à l’Université d’Ottawa.

«On ne sait pas encore si c’est une réponse à un plus grand stress chez les jeunes pendant la pandémie ou le fait qu'il y a beaucoup de copycats [imitations]», explique la titulaire de la Chaire de recherche du Canada en santé mentale et en prévention de la violence en milieu scolaire.


«Les jeunes imitent les phénomènes très visibles, comme celui de faire des menaces de fusillade à son école. Depuis toujours, les enfants copient les autres», précise Mme Vaillancourt.

Les risques qu’un élève s’en prenne réellement à son école et ses confrères sont plutôt bas au Canada, selon la psychologue, entre autres parce que l’accès aux armes à feu est plus difficile qu’aux États-Unis.

FD-CONFINEMENT-CEGEP
PHOTO AGENCE QMI / MAXIME DELAND
«Le problème est que c’est déjà arrivé, même au Canada. Il faut donc prendre chaque menace au sérieux. Le risque que des gens soient blessés ou tués est trop élevé», ajoute-t-elle.

C’est d’ailleurs pour cette raison que la direction de Monseigneur-A.-M.-Parent a tout de suite évacué l’école lorsqu’un élève a appelé la réceptionniste pour avertir «que quelque chose se passait», a fait savoir Marc-André Petit, directeur général adjoint au Centre de services scolaire Marie-Victorin.

«Dans l’urgence, on évacue en premier pour assurer la sécurité de tous. Après cela, on peut faire l’enquête», explique le responsable des mesures d’urgence.

Un mineur fait d’ailleurs face à des accusations de méfait public, selon le Service de police de l’agglomération de Longueuil.

Reyen, une élève de deuxième secondaire, explique que ce n’est pas la première fois que des jeunes de son école font des blagues semblables. Elle juge cela «vraiment pas drôle». Et même si elle se sent toujours en sécurité, sa sœur et ses parents sont pris d’inquiétudes depuis l’évacuation.

Pour sa part, Geneviève Pagé, mère d’un élève de 13 ans, tente de ne pas céder à la panique: «J’essaie, mais je ne me sens pas 100% sécurisée. Pour l’instant, les menaces n’ont jamais été fondées, jusqu’au jour où elles seront vraies. C’est toujours dans mes pensées», dit-elle.


Comptes piratés

Depuis septembre, plusieurs déploiements policiers dans des écoles sont survenus après des menaces proférées sur les réseaux sociaux. Un phénomène qui prend de l’ampleur, notamment parce que les gens ont tendance à se comporter encore plus mal lorsqu’ils croient être anonymes, explique la psychologue Tracy Vaillancourt.

En début d’année scolaire, des pirates informatiques se sont d’ailleurs servis de l’application de messagerie Teams pour envoyer des menaces de fusillade et des images d’une violence sans nom à environ une centaine d’élèves de l’école Monseigneur-A.-M.-Parent.

Geneviève Pagé est elle-même tombée sur ces images «d’horreur» en ouvrant le compte de son fils, quelques jours avant le début des classes.

«C’était extrêmement violent, je ne veux même pas décrire les photos que j’ai vues. J’en ai encore des flashs-back en tête. Une chance que mon fils n’est pas tombé là-dessus», confie-t-elle.

Aussitôt averti, le soutien informatique du centre scolaire a bloqué l’accès à l’application le temps de régler la situation, a fait savoir Marc-André Petit, du centre scolaire. Une enquête du Service de police de l’agglomération de Longueuil est en cours, précise-t-il.

Une peur inoubliable pour les élèves de la Magdeleine
Léa Rose Moreau
PHOTO COURTOISIE
Léa Rose Moreau
Des adolescents d’une école secondaire de La Prairie, qui a été perturbée quatre fois plutôt qu’une par des menaces depuis juin, conservent des séquelles d’un long confinement barricadé vécu à peine un mois après la rentrée.

«Chaque fois qu’il y a un message à l’intercom, j’ai toujours une crainte que ça arrive encore. Je me demande ce qui se passe. Est-ce une simple annonce ou l’on doit encore se faire confiner? Ça m’a laissé des séquelles», avoue Léa Rose Moreau, âgée de 16 ans.


En juin dernier, l’école de la Magdeleine a été fermée à deux reprises la même semaine, une fois en raison d’une personne possiblement armée à l’intérieur, puis d’une alerte à la bombe. Mais c’est le confinement barricadé du 29 septembre dernier après des menaces sur les réseaux sociaux qui a été un tournant pour elle.

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PHOTO AGENCE QMI / MAXIME DELAND
Ce matin-là, un message à l’interphone a ordonné aux élèves de rester en classe pendant la pause. «Une surveillante est venue fermer et barrer la porte de notre classe. Une petite porte de bois que n’importe qui aurait pu défoncer», décrit l’élève de cinquième secondaire.

«Sachant ce qui se passe avec les fusillades aux États-Unis, je me suis mise à capoter en pensant que ça pourrait finir comme ça», laisse-t-elle tomber.

Six longues heures

Elle est restée confinée pendant six heures dans le local: «On ne pouvait pas aller à la salle de bain, il n’y avait pas de nourriture ni d’eau. J’étais très anxieuse. On n’avait aucune information», précise-t-elle.

La mère d’une autre élève a également raconté au Journal que sa fille ne s’en est jamais vraiment remise. Elle a demandé l’anonymat afin de ne pas causer davantage de stress à son ado.

«Tard le soir même, on a reçu un email pour dire que l’école allait être ouverte le lendemain, sans plus d’information sur la situation. C’est à ce moment qu’on l’a complètement perdue. Elle s’est mise à trembler et elle a fait une énorme crise d’anxiété. Je ne sais même pas si elle a dormi cette nuit-là», explique-t-elle au bout du fil.


À peine quelques jours plus tard, l’école secondaire a été fermée à nouveau pour la journée, encore une fois à cause d’une potentielle menace. Des policiers postés aux entrées empêchaient les élèves d’entrer.

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PHOTO AGENCE QMI / MAXIME DELAND
Le lendemain, des enseignants ont refusé de retourner au travail, demandant plus de transparence sur la situation de la part de la direction.

«Avec quatre événements en peu de temps, le sentiment de peur était là [chez certains enseignants]», explique Martine Provost, présidente de l'Association des enseignants de Lignery.

«Sachant que des professeurs, des adultes qui sont tes points de repère à cet âge, ne se sentaient pas bien, ma fille n'arrive plus du tout à se sentir en sécurité. Depuis ce jour, la crainte est toujours là», raconte pour sa part la mère.

Séquelles

Le fait d’être barricadé pendant des heures va assurément laisser des séquelles chez un jeune, à différents degrés selon son tempérament, selon la psychologue Sylvie Royer. Et ce, même si la menace n’était finalement pas fondée, insiste-t-elle.

«L’effet psychologique d’être coincé dans un lieu fermé, c’est anxiogène au plus haut point. Et plus le temps passe, plus le cerveau va se mettre à imaginer des choses. Ça ébranle réellement ta sécurité», soutient Mme Royer.

CONFINEMENTS ET ÉVACUATIONS
11 novembre

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PHOTO D'ARCHIVES
FD-CONFINEMENT-CEGEP
PHOTO MARTIN ALARIE
Les étudiants ont été confinés à l’intérieur du Cégep Montmorency de Laval jusqu’à tard le soir, après qu’un tireur eut ouvert le feu en faisant quatre blessés dans un parc à proximité.

11 novembre

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PHOTO AGENCE QMI / MAXIME DELAND
Un vaste confinement a eu lieu pendant de longues heures au Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu, jusqu’à l’arrestation d’un étudiant âgé de 19 ans arborant un semblant de gilet pare-balles qui aurait proféré des menaces.


7 novembre 2022

Tous les élèves de l’école secondaire Monseigneur-A.-M.-Parent, à Longueuil, ont été évacués sur l’heure du dîner après une alerte à la bombe, qui s’est finalement révélée non fondée. Un jeune mineur fait face à des accusations de méfait public.

27 octobre

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PHOTO LAURENT LAVOIE
Les élèves et employés de l’école Jean-De La Fontaine, à Terrebonne, sont demeurés enfermés dans des locaux verrouillés le temps qu’une éducatrice au service de garde soit maîtrisée par les policiers. Celle-ci s’était présentée armée d’un couteau dans le but avoué de tuer une consœur.

20 octobre 2022

L’école secondaire Louis-Jobin, à Saint-Raymond, a été évacuée après une potentielle alerte à la bombe ou à la présence d’un colis suspect.

6 octobre

Les policiers, avec l’aide d’un maître-chien, se sont déplacés en urgence pour procéder à des fouilles à l’école secondaire De Rochebelle, à Québec, après des menaces envoyées par courriel à l’établissement.

5 octobre

L’école secondaire Fernand-Seguin, à Candiac, est le théâtre d’un important déploiement policier après une menace transmise sur les réseaux sociaux.

4 octobre

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PHOTO AGENCE QMI / MAXIME DELAND
La possibilité qu’une arme à feu soit dissimulée dans un casier entraîne la fermeture pour la journée de l’école de la Magdeleine, à La Prairie. Finalement, aucune arme n’a été trouvée.

29 septembre 2022

Les élèves et employés de l’école de la Magdeleine, à La Prairie, ont dû être confinés à l’intérieur, certains pendant près de six heures, à la suite de menaces proférées sur les réseaux sociaux. L’établissement a ensuite été évacué.

23 septembre

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PHOTO AGENCE QMI / MAXIME DELAND
Près de 2000 élèves de la polyvalente Hyacinthe-Delorme ont été confinés à l’intérieur de leur école en raison de la présence d’un individu potentiellement armé à proximité.


20 septembre

Vers midi, les élèves de la polyvalente La Frontalière, à Coaticook, ont été placés en confinement barricadé pendant environ une heure en raison de menaces d’un individu possiblement armé, selon La Tribune.

15 septembre

Les élèves de la polyvalente Montignac, à Lac-Mégantic, ont dû rester en classe une quinzaine de minutes à la fin de la journée en raison d’un jeune possiblement armé qui se déplaçait près de l’école, selon La Tribune. L’homme de 16 ans a été arrêté avec deux fusils à plomb en sa possession.

1er septembre

Des menaces proférées envers quelqu’un à l’intérieur de la polyvalente Chanoine-Armand-Racicot, à Saint-Jean-sur-Richelieu, ont mené à un confinement des élèves.

Pénurie de médicaments: «Je n’ai pas vu ça depuis mon stage

par Jéromec, mardi 15 novembre 2022, 07:41 (il y a 534 jours) @ Jéromec

https://www.journaldemontreal.com/2022/11/10/penurie-de-medicaments-je-nai-pas-vu-ca-de...

Pénurie de médicaments: «Je n’ai pas vu ça depuis mon stage à Haïti», dit un médecin

AGENCE QMI
Jeudi, 10 novembre 2022 14:24
MISE À JOUR Jeudi, 10 novembre 2022 14:24
Malgré une augmentation de la production des médicaments pour enfants, les étagères en pharmacies sont encore vides, a dénoncé jeudi un médecin de famille sur les ondes de QUB Radio.

«Je n’ai pas vécu ça depuis 20 ans, quand j’ai fait mon stage à Haïti, d'avoir à aller chercher des médicaments de base», a raconté le Dr Antoine Boivin au micro de Philip-Vincent Foisy.


Le médecin de famille s’explique mal ce manque de médicaments pourtant nécessaires pour plusieurs enfants qui entrent dans son bureau chaque jour.


«C’est triste de ne pas pouvoir soulager des choses tellement simples avec des traitements qui devraient être disponibles en tout temps. Ce qu’on vit présentement, c’est une vague qu’on a vue venir, a déclaré le médecin de famille et titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur le partenariat avec les patients et les communautés.

Avec les urgences qui débordent, Dr Boivin aimerait bien être en mesure de fournir aux enfants des acétaminophènes de type Tylenol, pour éviter aux familles d’attendre de longues heures à l’hôpital, mais il peine à répondre à la demande.

«J’ai reçu une famille avec un bébé de deux ans, brûlant de fièvre, et je ne pouvais rien lui donner en raison du manque de Tylenol. La situation oblige, je me suis retrouvé à aller chercher des comprimés dans la petite salle de chirurgie pour leur en donner», a-t-il raconté.

Selon les informations de Dr Antoine Boivin, la plupart des comprimés restants seraient réservés pour les hôpitaux.

«C’est un peu cette mentalité médiévale de château fort. On va garder les soins dans le château et on va laisser le village brûler. C’est frustrant.»

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