David Reinbacher, le premier choix des Canadiens (Forum)

par Jéromec, mercredi 28 juin 2023, 21:45 (il y a 325 jours)

[image]
:bravo:
https://www.985fm.ca/audio/566409/c-est-le-moment-de-me-diriger-a-montreal-et-de-mettre...
Excellent choix, mieux que DUbois, bon c'est pas dur à battre vous allez dire, mais quand même...

David Reinbacher, le premier choix des Canadiens
«C’est le moment de me diriger à Montréal et de mettre mes bottes de travail!»

Publié le 28 juin 2023 par Maxime Sarrasin | 98.5

À l’occasion de leur première sélection lors du repêchage amateur annuel de la Ligue nationale de hockey, les Canadiens de Montréal ont jeté leur dévolu sur le défenseur David Reinbacher, mercredi, en direct de Nashville.

En entretien avec Martin McGuire et Dany Dubé, le jeune homme a souligné d’entrée de jeu que les couleurs du Tricolore lui vont très bien.

Reinbacher explique qu’il a été surpris d’être sélectionné par les Canadiens, malgré le fait qu’il avait rencontré au préalable l’ensemble de la direction, de même que le propriétaire Geoff Molson.

Le défenseur, qui s'inspire beaucoup du défenseur Roman Josi, se décrit comme un joueur capable d’évoluer dans les deux sens de la patinoire, ayant un bon bâton et étant en mesure d’effectuer de bonnes premières passes. Il souligne que son père et son frère ont été des inspirations sur le plan du hockey au cours de sa jeunesse.

Il espère d’ailleurs être en mesure de joindre rapidement la LNH étant donné qu’il joue déjà contre des hommes et qu'il a déjà pu évoluer sur des petites patinoires dans le junior et à l’occasion de camps d’entraînement en Amérique du Nord.

«Je suis vraiment fier de moi. C’est maintenant le moment de me diriger à Montréal, de mettre mes bottes de travail et de démontrer ce dont je suis capable et que c'était la bonne décision!»

David Reinbacher

Celui qui a encore beaucoup à apprendre sur l’histoire des Canadiens de Montréal, selon ses propres dires, adore l’idée de se joindre à une organisation passionnée et est confiant de pouvoir contribuer aux succès de l’équipe dans le futur.''

Du coeur au ventre comme on l'aime bien
:cheuf:

#fuckdubois!

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David Reinbacher, le premier choix des Canadiens

par Dédé ⌂ @, mercredi 28 juin 2023, 22:17 (il y a 325 jours) @ Jéromec

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:bravo:
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Excellent choix, mieux que DUbois, bon c'est pas dur à battre vous allez dire, mais quand même...

David Reinbacher, le premier choix des Canadiens
«C’est le moment de me diriger à Montréal et de mettre mes bottes de travail!»

Publié le 28 juin 2023 par Maxime Sarrasin | 98.5

À l’occasion de leur première sélection lors du repêchage amateur annuel de la Ligue nationale de hockey, les Canadiens de Montréal ont jeté leur dévolu sur le défenseur David Reinbacher, mercredi, en direct de Nashville.

En entretien avec Martin McGuire et Dany Dubé, le jeune homme a souligné d’entrée de jeu que les couleurs du Tricolore lui vont très bien.

Reinbacher explique qu’il a été surpris d’être sélectionné par les Canadiens, malgré le fait qu’il avait rencontré au préalable l’ensemble de la direction, de même que le propriétaire Geoff Molson.

Le défenseur, qui s'inspire beaucoup du défenseur Roman Josi, se décrit comme un joueur capable d’évoluer dans les deux sens de la patinoire, ayant un bon bâton et étant en mesure d’effectuer de bonnes premières passes. Il souligne que son père et son frère ont été des inspirations sur le plan du hockey au cours de sa jeunesse.

Il espère d’ailleurs être en mesure de joindre rapidement la LNH étant donné qu’il joue déjà contre des hommes et qu'il a déjà pu évoluer sur des petites patinoires dans le junior et à l’occasion de camps d’entraînement en Amérique du Nord.

«Je suis vraiment fier de moi. C’est maintenant le moment de me diriger à Montréal, de mettre mes bottes de travail et de démontrer ce dont je suis capable et que c'était la bonne décision!»

David Reinbacher

Celui qui a encore beaucoup à apprendre sur l’histoire des Canadiens de Montréal, selon ses propres dires, adore l’idée de se joindre à une organisation passionnée et est confiant de pouvoir contribuer aux succès de l’équipe dans le futur.''

Du coeur au ventre comme on l'aime bien
:cheuf:

#fuckdubois!

________________

Il semble avoir du chien malgré son baby face mais en voyant des séquences de son jeu, il se sert très bien de son gabarit en défense et il bouge bien la rondelle en territoire adverse.

Comme tu dis, c'est mieux que P-L D. :D

--
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Défenseurs...

par Jéromec, mercredi 28 juin 2023, 22:45 (il y a 325 jours) @ Dédé

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Excellent choix, mieux que DUbois, bon c'est pas dur à battre vous allez dire, mais quand même...

David Reinbacher, le premier choix des Canadiens
«C’est le moment de me diriger à Montréal et de mettre mes bottes de travail!»

Publié le 28 juin 2023 par Maxime Sarrasin | 98.5

À l’occasion de leur première sélection lors du repêchage amateur annuel de la Ligue nationale de hockey, les Canadiens de Montréal ont jeté leur dévolu sur le défenseur David Reinbacher, mercredi, en direct de Nashville.

En entretien avec Martin McGuire et Dany Dubé, le jeune homme a souligné d’entrée de jeu que les couleurs du Tricolore lui vont très bien.

Reinbacher explique qu’il a été surpris d’être sélectionné par les Canadiens, malgré le fait qu’il avait rencontré au préalable l’ensemble de la direction, de même que le propriétaire Geoff Molson.

Le défenseur, qui s'inspire beaucoup du défenseur Roman Josi, se décrit comme un joueur capable d’évoluer dans les deux sens de la patinoire, ayant un bon bâton et étant en mesure d’effectuer de bonnes premières passes. Il souligne que son père et son frère ont été des inspirations sur le plan du hockey au cours de sa jeunesse.

Il espère d’ailleurs être en mesure de joindre rapidement la LNH étant donné qu’il joue déjà contre des hommes et qu'il a déjà pu évoluer sur des petites patinoires dans le junior et à l’occasion de camps d’entraînement en Amérique du Nord.

«Je suis vraiment fier de moi. C’est maintenant le moment de me diriger à Montréal, de mettre mes bottes de travail et de démontrer ce dont je suis capable et que c'était la bonne décision!»

David Reinbacher

Celui qui a encore beaucoup à apprendre sur l’histoire des Canadiens de Montréal, selon ses propres dires, adore l’idée de se joindre à une organisation passionnée et est confiant de pouvoir contribuer aux succès de l’équipe dans le futur.''

Du coeur au ventre comme on l'aime bien
:cheuf:

#fuckdubois!

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Il semble avoir du chien malgré son baby face mais en voyant des séquences de son jeu, il se sert très bien de son gabarit en défense et il bouge bien la rondelle en territoire adverse.

Comme tu dis, c'est mieux que P-L D. :D

Mieux vaut un bon Défenseur qu'un Défenseur$$$ de se$ intérêts...

Hommage à Serge Savard un défenseur de qualité et de DG de qualité..
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https://www.journaldemontreal.com/2022/08/21/cest-quoi-le-probleme
CH et Serge Savard: c’est quoi le problème?
Beaudry
Michel
Beaudry
Michel Beaudry


Dimanche, 21 août 2022 05:00

MISE À JOUR Dimanche, 21 août 2022 05:00

Le dernier homme à avoir architecturé une équipe pour gagner la coupe Stanley à Montréal s’appelle Serge Savard. Il l’a fait deux fois et il était sur le point de réussir une troisième conquête potentielle quand il a été congédié. Il a d’ailleurs très mal digéré cette éviction, et, 27 ans plus tard, ses proches vous le diront, il en porte encore des cicatrices.

Il a d’ailleurs gardé le silence pendant plusieurs années. Il limitait ses sorties publiques et, au fil du temps, voyant l’équipe de sa vie péricliter, il a rongé son frein. Serge Savard, on le sait, est aussi un homme d’affaires prolifique.

Si vous avez lu son livre, vous savez qu’il est politisé et qu’il a des opinions réfléchies. Si vous n’êtes pas de son avis, il respectera votre point de vue. Il adore discuter.

À Montréal, Serge Savard, 76 ans, est une éminence grise du hockey après avoir été un véritable leader sur la glace et dans les bureaux des étages supérieurs. Il faut voir la réponse à son invitation de golf comme ce tournoi annuel à son nom dont les profits sont destinés aux athlètes étudiants de l’Université de Sherbrooke, une cause qu’il a choisie parce qu’il aurait aimé étudier longtemps à l’époque où, lui, il a dû choisir entre ses patins et les livres d’école.

Anciens coéquipiers, anciens joueurs qu’il a dirigés, anciens rivaux se font un devoir de répondre à cet homme qui a gagné dix coupes Stanley, Coupe Canada en 1972 et qui a bâti un empire en affaires. Cet omnium est devenu un incontournable et 536 000 $ ont été amassés mardi dernier au club de golf Mirage, dont Serge est devenu un copropriétaire.

UN SAGE DANS LA COUR

Serge Savard, c’est le succès bien pensé, planifié, et, après un long moment, il a commencé à parler davantage publiquement pour aider cette équipe à laquelle il a été attaché dès ses quinze ans.

Pas comme une belle-mère, mais comme un membre de la famille qui en avait assez de voir son club se chercher sans se trouver. Serge Savard a bel et bien démontré qu’il avait une recette pour construire et il a discrètement offert son aide, ses conseils... au pire, son accompagnement.

Jamais Marc Bergevin ne lui a donné un coup de fil, ne serait-ce que pour un lunch sur un coin de table. Savard n’a plus eu de nouvelles de Geoff Molson et le Canadien est resté au plancher. Pensez-vous que Serge Savard se cherche une job ? Non. Il voulait aider.

À Boston, quand vient le temps des grandes décisions, de grands leaders historiques sont consultés parce que l’équipe a une âme qui ressemble à Cam Neely, à Harry Sinden. À Pittsburgh, Gilles Meloche et Pierre Larouche ne sont jamais loin de Mario Lemieux. À Tampa, on voit Dave Andreychuck, Phil Esposito. À Philadelphie, les Barber, Clark et Holmgren sont autour, tout comme les Sittler, Wendel Clark et Gilmour à Toronto. Ils sont là par respect et parce qu’ils ont été des maillons de première qualité.

À Montréal, Serge Savard a encore des outils dans son coffre, mais on ne lui a même jamais donné le titre d’ambassadeur de son équipe. Quand, au dernier repêchage, Jeff Gorton, arrivant de New York et de Boston, ainsi que Kent Hugues, originaire de l’ouest de l’île de Montréal, ont choisi un seul Québécois et à la toute dernière ronde, il fallait comprendre que Geoff Molson n’avait rien compris... ou du moins rien entendu, et dans sa propre cour.
De l’enclave

Ken Dryden est prolifique et s’amène avec un huitième livre qui sera publié sous peu. Cette fois, la série du siècle de 1972 au cours de laquelle le grand gardien de but a disputé quatre des huit matches contre les Russes, dont le dernier fut une victoire de 6 à 5 du Canada.
Rappel. Il est interdit d’appâter les chevreuils (cerfs de Virginie) avant le premier septembre. Toutefois, le bloc de sel est autorisé à l’année.
Gilbert Delorme est content de changer de case horaire au 91,9. Il quitte l’émission du matin et il s’en va dans le segment entre 9 h et 11 h en matinée. Gilbert conduit une magnifique Mustang 1973 décapotable.
Brendan Morrow, ex-ailier gauche des Stars de Dallas et qui est toujours marié avec Anne-Marie Carbonneau (la fille de Guy) a maintenant 43 ans et le couple a un fils, Gabriel qui, à 20 ans, fait son entrée à l’université. Tempus fugit en tabarnouche !
Lisez Protégez-Vous si vous avez l’intention d’acheter un vélo à assistance électrique. Le magazine en a testé 14 différents.
Michel Bergeron joue-t-il trop au golf ? Le Tigre a perdu 20 livres. Arrête de maigrir, Michel. L’hiver prochain, tu ne feras plus de traces dans la neige.
Dans certains grands tournois de tennis, je ne savais pas que les balles pour homme et femmes étaient différentes, notamment à Montréal. Le saviez-vous ?
Il faut entendre la chanson que Jérôme Charlebois (fils de Robert) a restructurée à la mémoire de Guy Lafleur. Jérôme va sûrement la chanter à son spectacle de Saint-Jovite le 27 août. Vibrant.
L’attaque des Russes en Ukraine complique les choses à l’orée des célébrations des 50 ans de la Série du siècle. Des joueurs de Russie ne pourront venir ici et il est hors de question que les nôtres traversent.
Si Carey Price cesse de tenir les partisans du Canadien en otage avec ses 10,5 millions par année, c’est pas moi qui vais pleurer.
Bon anniversaire à l’ex-formidable patineuse artistique qu’a été Josée Chouinard. Jamais je ne dévoilerais qu’elle est née en...

#fuckdubois

criss chus passé vite en ondes...

par Jéromec, mercredi 28 juin 2023, 23:16 (il y a 325 jours) @ Jéromec

criss chus passé vite en ondes... au 985fm!
pour commenter...

https://www.985fm.ca/audio/566409/c-est-le-moment-de-me-diriger-a-montreal-et-de-mettre...

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Un cri du cœur d'un coéquipier !

par Dédé ⌂ @, jeudi 29 juin 2023, 08:24 (il y a 325 jours) @ Jéromec

Source : Un coéquipier québécois de Reinbacher lance un cri du cœur aux partisans montréalais

NICOLAS CLOUTIER
Mercredi, 28 juin 2023 21:31

MISE À JOUR Mercredi, 28 juin 2023 21:31

Le Québécois Éric Faille évolue depuis deux ans en Suisse avec David Reinbacher dans l’organisation de Kloten. Jusqu’ici, il avait refusé pratiquement toutes les demandes des médias qui voulaient sonder son avis sur le potentiel défenseur.

Il s’est ravisé quand Reinbacher a été choisi au cinquième rang par les Canadiens de Montréal, mercredi. Il a été témoin d’une vague de réactions négatives de partisans déçus, qui n’étaient pas prêts à laisser la chance au coureur, trop débinés d’avoir vu Kent Hughes lever le nez sur Matvei Michkov.

«J’espère que le monde à Montréal va se calmer un peu et va apprécier un peu David pour le joueur qu’il est, a souhaité Faille en entrevue avec le TVASports.ca. J’espère que les partisans vont voir le big picture, le joueur qu’il peut devenir. C’est juste plate de voir un jeune de même se faire repêcher à Montréal et recevoir ce genre de réactions...»

Reinbacher n’est pas Michkov. Deux joueurs ne pourraient être plus différents. Mais à sa façon, il est un espoir avec un très haut potentiel, a rappelé Faille.

Cet Autrichien n’était à peu près pas sur le radar des équipes de la Ligue nationale l’année dernière. Son ascension a été fulgurante et rien n’indique qu’elle est sur le point de s’interrompre.

«C’est un joueur tellement sous-estimé, a souligné Faille, ancien porte-couleurs du Titan d'Acadie-Bathurst et des Marlies de Toronto, notamment. Il vient de loin : on parle d’un gars que les gens voyaient sortir autour du troisième tour l’an passé. Le voilà cinquième au total. Je l’ai côtoyé dans les deux dernières années et j’ai vu une progression incroyable. À 17-18 ans, il jouait contre des hommes et c’était notre meilleur défenseur. Dans mon livre à moi, les Canadiens ne se sont pas trompés avec leur choix.»

Au fur et à mesure que Reinbacher relevait les défis lancés en sa direction, le personnel de Kloten augmentait ses responsabilités. Le manège s’est poursuivi toute l’année. Reinbacher en demandait toujours plus.

«Toute l’année, il prenait un step, il prenait un step, il prenait un step, a illustré Faille. On le feedait, on le feedait, on le feedait et il en voulait toujours plus.»

Les principales critiques dirigées à l’endroit de Reinbacher tournent autour de son potentiel; certains doutent de ses habiletés offensives.

«C’est lui qui pilotait notre avantage numérique à 18 ans, a répliqué Faille du tac au tac lorsque confronté à ces craintes. Contre des hommes, dans une des meilleures ligues en Europe. Son potentiel offensif, il est là. Il a quand même un flair.»

LA JUNGLE MONTRÉALAISE

Le mariage entre Reinbacher et les Canadiens est plutôt abrupt s’il n’en tient qu’à l’accueil mitigé que les partisans lui réservent.

Certains observateurs ont aussi exprimé des inquiétudes à l’égard de la personnalité timide du jeune homme, qui pourrait être malmené dans un marché aussi exigeant que Montréal.

Reinbacher a eu un avant-goût de ce que tout le cirque montréalais représentait lorsque l’excellent collègue Anthony Martineau a candidement avoué à Jean-Charles Lajoie sur les ondes de TVA Sports qu’il n’avait pas été impressionné par le jeune homme durant son entretien avec lui au «Combine».

Faille a eu une petite discussion avec son coéquipier à ce sujet.

«Je lui ai dit : "Le gros, c’est comme ça à Montréal. Il va falloir que tu mettes ça de côté. Travaille sur la glace et ils vont être de ton bord."»

Reinbacher est timide. Réservé. Soit. Mais il est un homme à ses affaires et il ne devrait pas se laisser distraire dans la grande métropole québécoise.

«Il est très, très humble, a mentionné Faille. C’est un gars terre-à-terre, il ne va pas se prendre pour un autre. Il met sa casquette et il travaille fort. Il est humble, mais il est confiant sur glace.»

Il y a en quelque sorte un parallèle à faire avec l’homme qui a annoncé la sélection de Reinbacher au cinquième rang.

«Carey Price, ce n’est pas le gars le plus flamboyant en dehors de la patinoire, mais sur la glace, il faisait la job et il n’y en a pas un qui a dit un mot», a fait valoir le coéquipier du défenseur autrichien.

Souvent, une simple anecdote peut vous donner une image très complète de la personnalité d’un joueur. Nous sommes allés à la pêche pour mieux connaître le tout nouveau membre de l’organisation du Tricolore. Hélas.

«La seule que j’ai, c’est quand on a gagné le championnat en deuxième division l’an passé... et je vais la garder pour moi (rires).»
___________________

Ça me fait rire de voir la réaction négative des fans des Canadiens lorsque qu'ils ont choisi ce défenseur. Les irréductibles voulaient le russe mais les Canadiens ont choisi un autrichien et lors de la sélection, les babounnes se sont fait aller les doigts sur les médias sociaux, comme quoi le CH a fait une sélection débile.

Franchement, ont-ils vu au moins comment ce grand défenseur joue ? Un gros gabarit, un joueur avec un excellent coup de patin et qui manie très bien la rondelle et des passes pour la contre-attaque magistrales et un général lors des attaques en supériorité numérique. Que demander de mieux, un popov qui se pogne le cul dès qu'il a un contrat lucratif ?

Les recruteurs ont fait un excellent boulot pour avoir fait cette sélection. De toute manière, un bon défenseur n'est jamais de trop pour un club, surtout s'il a les habiletés en attaques et rude en défensive.

Tout cas, je suis bien content de cette sélection du Canadien ! :like:

Dédé

--
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CH et Serge Savard: c’est quoi le problème?

par Jéromec, jeudi 29 juin 2023, 10:24 (il y a 325 jours) @ Dédé

la même gang de kâlisse qui critiquerait l'embauche de Serge Savard à la défense...

fake...

https://www.journaldemontreal.com/2022/08/21/cest-quoi-le-probleme

Dimanche, 21 août 2022 05:00

MISE À JOUR Dimanche, 21 août 2022 05:00

Le dernier homme à avoir architecturé une équipe pour gagner la coupe Stanley à Montréal s’appelle Serge Savard. Il l’a fait deux fois et il était sur le point de réussir une troisième conquête potentielle quand il a été congédié. Il a d’ailleurs très mal digéré cette éviction, et, 27 ans plus tard, ses proches vous le diront, il en porte encore des cicatrices.

Il a d’ailleurs gardé le silence pendant plusieurs années. Il limitait ses sorties publiques et, au fil du temps, voyant l’équipe de sa vie péricliter, il a rongé son frein. Serge Savard, on le sait, est aussi un homme d’affaires prolifique.


Si vous avez lu son livre, vous savez qu’il est politisé et qu’il a des opinions réfléchies. Si vous n’êtes pas de son avis, il respectera votre point de vue. Il adore discuter.


À Montréal, Serge Savard, 76 ans, est une éminence grise du hockey après avoir été un véritable leader sur la glace et dans les bureaux des étages supérieurs. Il faut voir la réponse à son invitation de golf comme ce tournoi annuel à son nom dont les profits sont destinés aux athlètes étudiants de l’Université de Sherbrooke, une cause qu’il a choisie parce qu’il aurait aimé étudier longtemps à l’époque où, lui, il a dû choisir entre ses patins et les livres d’école.

Anciens coéquipiers, anciens joueurs qu’il a dirigés, anciens rivaux se font un devoir de répondre à cet homme qui a gagné dix coupes Stanley, Coupe Canada en 1972 et qui a bâti un empire en affaires. Cet omnium est devenu un incontournable et 536 000 $ ont été amassés mardi dernier au club de golf Mirage, dont Serge est devenu un copropriétaire.

UN SAGE DANS LA COUR

Serge Savard, c’est le succès bien pensé, planifié, et, après un long moment, il a commencé à parler davantage publiquement pour aider cette équipe à laquelle il a été attaché dès ses quinze ans.


Pas comme une belle-mère, mais comme un membre de la famille qui en avait assez de voir son club se chercher sans se trouver. Serge Savard a bel et bien démontré qu’il avait une recette pour construire et il a discrètement offert son aide, ses conseils... au pire, son accompagnement.

Jamais Marc Bergevin ne lui a donné un coup de fil, ne serait-ce que pour un lunch sur un coin de table. Savard n’a plus eu de nouvelles de Geoff Molson et le Canadien est resté au plancher. Pensez-vous que Serge Savard se cherche une job ? Non. Il voulait aider.

À Boston, quand vient le temps des grandes décisions, de grands leaders historiques sont consultés parce que l’équipe a une âme qui ressemble à Cam Neely, à Harry Sinden. À Pittsburgh, Gilles Meloche et Pierre Larouche ne sont jamais loin de Mario Lemieux. À Tampa, on voit Dave Andreychuck, Phil Esposito. À Philadelphie, les Barber, Clark et Holmgren sont autour, tout comme les Sittler, Wendel Clark et Gilmour à Toronto. Ils sont là par respect et parce qu’ils ont été des maillons de première qualité.

À Montréal, Serge Savard a encore des outils dans son coffre, mais on ne lui a même jamais donné le titre d’ambassadeur de son équipe. Quand, au dernier repêchage, Jeff Gorton, arrivant de New York et de Boston, ainsi que Kent Hugues, originaire de l’ouest de l’île de Montréal, ont choisi un seul Québécois et à la toute dernière ronde, il fallait comprendre que Geoff Molson n’avait rien compris... ou du moins rien entendu, et dans sa propre cour.

DE L’ENCLAVE
Ken Dryden est prolifique et s’amène avec un huitième livre qui sera publié sous peu. Cette fois, la série du siècle de 1972 au cours de laquelle le grand gardien de but a disputé quatre des huit matches contre les Russes, dont le dernier fut une victoire de 6 à 5 du Canada.
Rappel. Il est interdit d’appâter les chevreuils (cerfs de Virginie) avant le premier septembre. Toutefois, le bloc de sel est autorisé à l’année.
Gilbert Delorme est content de changer de case horaire au 91,9. Il quitte l’émission du matin et il s’en va dans le segment entre 9 h et 11 h en matinée. Gilbert conduit une magnifique Mustang 1973 décapotable.
Brendan Morrow, ex-ailier gauche des Stars de Dallas et qui est toujours marié avec Anne-Marie Carbonneau (la fille de Guy) a maintenant 43 ans et le couple a un fils, Gabriel qui, à 20 ans, fait son entrée à l’université. Tempus fugit en tabarnouche !
Lisez Protégez-Vous si vous avez l’intention d’acheter un vélo à assistance électrique. Le magazine en a testé 14 différents.
Michel Bergeron joue-t-il trop au golf ? Le Tigre a perdu 20 livres. Arrête de maigrir, Michel. L’hiver prochain, tu ne feras plus de traces dans la neige.
Dans certains grands tournois de tennis, je ne savais pas que les balles pour homme et femmes étaient différentes, notamment à Montréal. Le saviez-vous ?
Il faut entendre la chanson que Jérôme Charlebois (fils de Robert) a restructurée à la mémoire de Guy Lafleur. Jérôme va sûrement la chanter à son spectacle de Saint-Jovite le 27 août. Vibrant.
L’attaque des Russes en Ukraine complique les choses à l’orée des célébrations des 50 ans de la Série du siècle. Des joueurs de Russie ne pourront venir ici et il est hors de question que les nôtres traversent.
Si Carey Price cesse de tenir les partisans du Canadien en otage avec ses 10,5 millions par année, c’est pas moi qui vais pleurer.
Bon anniversaire à l’ex-formidable patineuse artistique qu’a été Josée Chouinard. Jamais je ne dévoilerais qu’elle est née en...

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Un cri du cœur d'un coéquipier !

par Blake, jeudi 29 juin 2023, 12:09 (il y a 324 jours) @ Dédé

Source : Un coéquipier québécois de Reinbacher lance un cri du cœur aux partisans montréalais

NICOLAS CLOUTIER
Mercredi, 28 juin 2023 21:31

MISE À JOUR Mercredi, 28 juin 2023 21:31

Le Québécois Éric Faille évolue depuis deux ans en Suisse avec David Reinbacher dans l’organisation de Kloten. Jusqu’ici, il avait refusé pratiquement toutes les demandes des médias qui voulaient sonder son avis sur le potentiel défenseur.

Il s’est ravisé quand Reinbacher a été choisi au cinquième rang par les Canadiens de Montréal, mercredi. Il a été témoin d’une vague de réactions négatives de partisans déçus, qui n’étaient pas prêts à laisser la chance au coureur, trop débinés d’avoir vu Kent Hughes lever le nez sur Matvei Michkov.

«J’espère que le monde à Montréal va se calmer un peu et va apprécier un peu David pour le joueur qu’il est, a souhaité Faille en entrevue avec le TVASports.ca. J’espère que les partisans vont voir le big picture, le joueur qu’il peut devenir. C’est juste plate de voir un jeune de même se faire repêcher à Montréal et recevoir ce genre de réactions...»

Reinbacher n’est pas Michkov. Deux joueurs ne pourraient être plus différents. Mais à sa façon, il est un espoir avec un très haut potentiel, a rappelé Faille.

Cet Autrichien n’était à peu près pas sur le radar des équipes de la Ligue nationale l’année dernière. Son ascension a été fulgurante et rien n’indique qu’elle est sur le point de s’interrompre.

«C’est un joueur tellement sous-estimé, a souligné Faille, ancien porte-couleurs du Titan d'Acadie-Bathurst et des Marlies de Toronto, notamment. Il vient de loin : on parle d’un gars que les gens voyaient sortir autour du troisième tour l’an passé. Le voilà cinquième au total. Je l’ai côtoyé dans les deux dernières années et j’ai vu une progression incroyable. À 17-18 ans, il jouait contre des hommes et c’était notre meilleur défenseur. Dans mon livre à moi, les Canadiens ne se sont pas trompés avec leur choix.»

Au fur et à mesure que Reinbacher relevait les défis lancés en sa direction, le personnel de Kloten augmentait ses responsabilités. Le manège s’est poursuivi toute l’année. Reinbacher en demandait toujours plus.

«Toute l’année, il prenait un step, il prenait un step, il prenait un step, a illustré Faille. On le feedait, on le feedait, on le feedait et il en voulait toujours plus.»

Les principales critiques dirigées à l’endroit de Reinbacher tournent autour de son potentiel; certains doutent de ses habiletés offensives.

«C’est lui qui pilotait notre avantage numérique à 18 ans, a répliqué Faille du tac au tac lorsque confronté à ces craintes. Contre des hommes, dans une des meilleures ligues en Europe. Son potentiel offensif, il est là. Il a quand même un flair.»

LA JUNGLE MONTRÉALAISE

Le mariage entre Reinbacher et les Canadiens est plutôt abrupt s’il n’en tient qu’à l’accueil mitigé que les partisans lui réservent.

Certains observateurs ont aussi exprimé des inquiétudes à l’égard de la personnalité timide du jeune homme, qui pourrait être malmené dans un marché aussi exigeant que Montréal.

Reinbacher a eu un avant-goût de ce que tout le cirque montréalais représentait lorsque l’excellent collègue Anthony Martineau a candidement avoué à Jean-Charles Lajoie sur les ondes de TVA Sports qu’il n’avait pas été impressionné par le jeune homme durant son entretien avec lui au «Combine».

Faille a eu une petite discussion avec son coéquipier à ce sujet.

«Je lui ai dit : "Le gros, c’est comme ça à Montréal. Il va falloir que tu mettes ça de côté. Travaille sur la glace et ils vont être de ton bord."»

Reinbacher est timide. Réservé. Soit. Mais il est un homme à ses affaires et il ne devrait pas se laisser distraire dans la grande métropole québécoise.

«Il est très, très humble, a mentionné Faille. C’est un gars terre-à-terre, il ne va pas se prendre pour un autre. Il met sa casquette et il travaille fort. Il est humble, mais il est confiant sur glace.»

Il y a en quelque sorte un parallèle à faire avec l’homme qui a annoncé la sélection de Reinbacher au cinquième rang.

«Carey Price, ce n’est pas le gars le plus flamboyant en dehors de la patinoire, mais sur la glace, il faisait la job et il n’y en a pas un qui a dit un mot», a fait valoir le coéquipier du défenseur autrichien.

Souvent, une simple anecdote peut vous donner une image très complète de la personnalité d’un joueur. Nous sommes allés à la pêche pour mieux connaître le tout nouveau membre de l’organisation du Tricolore. Hélas.

«La seule que j’ai, c’est quand on a gagné le championnat en deuxième division l’an passé... et je vais la garder pour moi (rires).»
___________________

Ça me fait rire de voir la réaction négative des fans des Canadiens lorsque qu'ils ont choisi ce défenseur. Les irréductibles voulaient le russe mais les Canadiens ont choisi un autrichien et lors de la sélection, les babounnes se sont fait aller les doigts sur les médias sociaux, comme quoi le CH a fait une sélection débile.

Franchement, ont-ils vu au moins comment ce grand défenseur joue ? Un gros gabarit, un joueur avec un excellent coup de patin et qui manie très bien la rondelle et des passes pour la contre-attaque magistrales et un général lors des attaques en supériorité numérique. Que demander de mieux, un popov qui se pogne le cul dès qu'il a un contrat lucratif ?

Les recruteurs ont fait un excellent boulot pour avoir fait cette sélection. De toute manière, un bon défenseur n'est jamais de trop pour un club, surtout s'il a les habiletés en attaques et rude en défensive.

Tout cas, je suis bien content de cette sélection du Canadien ! :like:

Dédé

Michkov, ça aurait été plus spectaculaire car c'est tout un joueur mais trop nébuleux comme situation. Donc, on verra au camp de quoi l'Autrichien aura l'air. Que les excités se calment un peu avant de fustiger ce jeune qui arrive et heureux d'arriver chez le CH.

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