Le Terminator à nos portes ! (Sciences & Paranormal)
par Dédé 
, vendredi 21 juillet 2023, 15:44 (il y a 283 jours)
Source : Vers une intelligence artificielle semi-biologique pour les futurs robots de combats
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PAR SYLVAIN BIGET
JOURNALISTE
LE 21 JUILLET 2023
En Australie, le développement de la puce biologique Dishbrain intéresse beaucoup les militaires. Mixée aux IA, cette puce animée par des cellules cérébrales humaines pourrait bien révolutionner l’apprentissage automatique et créer de véritables robots tueurs autonomes, réfléchissant comme les humains.
L'intelligence artificielle et les robots seront au cœur des conflits du futur. Plus que des cyborgs, on verra sans doute des robots-tueurs autonomes dotés d'une intelligence artificielle semi-biologique. Elle leur servira à mieux apprendre de leurs expériences du combat pour affiner leurs décisions face à de nouvelles situations. Et ce n'est plus vraiment de la science-fiction, puisqu'il existe déjà une puce informatique mélangeant des cellules cérébrales humaines et animales et des micro-électrodes. Créée par l'université de Monash en Australie, cette puce s'appelle le Dishbrain. Elle comporte 800 000 cellules cérébrales humaines et de souris cultivées en laboratoire dans un bain d'électrodes. L'an dernier, ce système a été capable d'apprendre de lui-même à jouer à Pong en cinq minutes. Si l'on est encore loin du robot tueur pensant comme un humain, l'activité de ces cellules cérébrales pouvait à la fois être lue et stimulée avec des signaux électriques. Pour renforcer leur apprentissage, les cellules étaient récompensées par un stimulus agréable lorsqu'elles parvenaient à frapper la balle.
Des puces biologiques pour améliorer la pensée des robots
En fusionnant ce système avec les IA, cette puce semi-biologique pourrait révolutionner l’apprentissage automatique. Les machines pourraient alors apprendre de nouvelles capacités en utilisant leurs expériences anciennes pour en tirer des leçons et optimiser leurs réactions sur de nouvelles situations. De même, avec cette capacité, ces puces pourraient rendre plus efficients les traitements, la gestion de la mémoire et l'énergie. Cette intelligence artificielle, capable d'apprendre comme les humains le font, pourrait être utilisée pour tout ce qui est véhicules autonomes, drones et robots. Une capacité qui intéresse fortement les militaires et notamment la défense australienne qui vient de financer ce programme de recherche conduit en partenariat avec la start-up de Melbourne Cortical Labs. Cet investissement va maintenant permettre au labo de redimensionner la puce, avec pour ambition finale de remplacer les puces au silicium contre leur équivalent biologique. Pour le pays, les résultats de ces travaux pourraient donner à l'Australie un avantage stratégique significatif dans de nombreux domaines, que ce soit pour les militaires ou pour les interfaces cerveau-machine, et même pour la recherche pharmaceutique.
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Y a pas à dire, l'humain est très intelligent pour créer des armes offensives, on dirait que cette tare est posée là pour notre propre extinction à venir. Une réalité qui dépasse la science-fiction.
Bientôt, nous parlerons plus de chair à canon parce qu'il ne restera plus de chair ! 
Touka, ça ne me surprendrait pas que notre monde devienne qu'un souvenir.
Dédé
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Le Terminator à nos portes !
Source : Vers une intelligence artificielle semi-biologique pour les futurs robots de combats
PAR SYLVAIN BIGET
JOURNALISTE
LE 21 JUILLET 2023En Australie, le développement de la puce biologique Dishbrain intéresse beaucoup les militaires. Mixée aux IA, cette puce animée par des cellules cérébrales humaines pourrait bien révolutionner l’apprentissage automatique et créer de véritables robots tueurs autonomes, réfléchissant comme les humains.
L'intelligence artificielle et les robots seront au cœur des conflits du futur. Plus que des cyborgs, on verra sans doute des robots-tueurs autonomes dotés d'une intelligence artificielle semi-biologique. Elle leur servira à mieux apprendre de leurs expériences du combat pour affiner leurs décisions face à de nouvelles situations. Et ce n'est plus vraiment de la science-fiction, puisqu'il existe déjà une puce informatique mélangeant des cellules cérébrales humaines et animales et des micro-électrodes. Créée par l'université de Monash en Australie, cette puce s'appelle le Dishbrain. Elle comporte 800 000 cellules cérébrales humaines et de souris cultivées en laboratoire dans un bain d'électrodes. L'an dernier, ce système a été capable d'apprendre de lui-même à jouer à Pong en cinq minutes. Si l'on est encore loin du robot tueur pensant comme un humain, l'activité de ces cellules cérébrales pouvait à la fois être lue et stimulée avec des signaux électriques. Pour renforcer leur apprentissage, les cellules étaient récompensées par un stimulus agréable lorsqu'elles parvenaient à frapper la balle.
Des puces biologiques pour améliorer la pensée des robots
En fusionnant ce système avec les IA, cette puce semi-biologique pourrait révolutionner l’apprentissage automatique. Les machines pourraient alors apprendre de nouvelles capacités en utilisant leurs expériences anciennes pour en tirer des leçons et optimiser leurs réactions sur de nouvelles situations. De même, avec cette capacité, ces puces pourraient rendre plus efficients les traitements, la gestion de la mémoire et l'énergie. Cette intelligence artificielle, capable d'apprendre comme les humains le font, pourrait être utilisée pour tout ce qui est véhicules autonomes, drones et robots. Une capacité qui intéresse fortement les militaires et notamment la défense australienne qui vient de financer ce programme de recherche conduit en partenariat avec la start-up de Melbourne Cortical Labs. Cet investissement va maintenant permettre au labo de redimensionner la puce, avec pour ambition finale de remplacer les puces au silicium contre leur équivalent biologique. Pour le pays, les résultats de ces travaux pourraient donner à l'Australie un avantage stratégique significatif dans de nombreux domaines, que ce soit pour les militaires ou pour les interfaces cerveau-machine, et même pour la recherche pharmaceutique.
_________________Y a pas à dire, l'humain est très intelligent pour créer des armes offensives, on dirait que cette tare est posée là pour notre propre extinction à venir. Une réalité qui dépasse la science-fiction.
Bientôt, nous parlerons plus de chair à canon parce qu'il ne restera plus de chair !
Touka, ça ne me surprendrait pas que notre monde devienne qu'un souvenir.
Dédé
L'humain est surtout intelligent pour s'auto-détruire. Et concernant l'IA, regarde bien ça quand les ordinateurs quantiques vont arriver. Ça va être le début de la fin pour l'humain.
Les menaces de l'IA.
Un segment à QUB Radio très intéressant sur les folies de l'IA.
https://www.qub.ca/radio/balado/jean-francois-baril?audio=1098043198
Les menaces de l'IA. encore pire..
![[image]](images/uploaded/2023072200452564bb26a5bdcc0.jpg)
elle la crisse de folle veut ouvrir les valves encore davantage...
bon ceci étant dit, au moins l'intelligence artificielle y a un peu d'intelligence, du côté de Érik y en n'a pas...
![[image]](images/uploaded/2023072200471864bb271626510.jpg)
ET du côté de I Don't caire... y a commme pas grand chose.....
https://www.journaldemontreal.com/2023/04/11/un-sommet-sur-lintelligence-artificielle-i...
Un sommet crucial sur l’intelligence artificielle «in english only» à Montréal
L’organisation n’a aucunement l’intention d’offrir la traduction simultanée
Un sommet crucial sur l’intelligence artificielle «in english only» à Montréal
Capture d'écran, World Summit
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Francis Halin
Mardi, 11 avril 2023 15:30
MISE À JOUR Mardi, 11 avril 2023 15:30
Alors que le gouvernement Legault s’inquiète du déclin du français au Québec, un important sommet portant sur l’intelligence artificielle «in english only», financé par la Ville de Montréal et Tourisme Montréal, se prépare au cœur de la métropole, a constaté Le Journal.
«Ce sommet rassemble la communauté internationale de l’intelligence artificielle de plus de 50 pays dans le monde, donc le programme est en anglais», a confirmé au Journal Céline Gonthier, de la firme anglaise Inspired Minds, qui produit l’événement.
«Il n’y a pas de traduction simultanée», a-t-elle ajouté à propos du sommet mondial, qui se tiendra à Montréal les 19 et 20 avril prochains, avec des billets allant de 399$ pour les jeunes entreprises à 1299$ pour le forfait «VIP».
Début décembre, Le Journal avait rapporté que la majorité de l’affichage à la COP15 sur la biodiversité était en anglais.
Depuis, le gouvernement caquiste a lancé une publicité truffée d’anglicismes avec un faucon pour sensibiliser la population à l’avenir précaire du français chez nous.
Silence du cabinet
Mais au-delà des offensives publicitaires, des événements unilingues d’envergure dans des secteurs cruciaux continuent de s’organiser à Montréal avec l’appui de partenaires publics.
Interrogé à ce sujet par Le Journal, le cabinet du ministre de la Langue française, Jean-François Roberge, a renvoyé la balle à l’Office québécois de la langue française (OQLF).
L'organisation a rappelé que les publications de natures commerciales, l’affichage public et la publicité d’un congrès ou d’un colloque destiné à un public spécialisé ou restreint «peuvent être rédigés uniquement dans une autre langue que le français».
Écoutez l'entrevue avec Maxime Laporte à l’émission de Richard Martineau via QUB radio :
Ville de Montréal partenaire
Questionnée par Le Journal ces derniers jours, la Ville de Montréal, qui est commanditaire du sommet, a indiqué avoir mis plus de 144 260$ dans l'événement ces cinq dernières année.
Montréal a souligné qu'«il est important que les événements soient accessibles en français».
«Néanmoins, il est important de mentionner que la Ville ne participe pas à l’organisation de cet événement», a répondu son relationniste, Gonzalo Nunez.
Invitée à réagir, Tourisme Montréal, qui commandite également la rencontre, a refusé de chiffrer sa participation financière, et a rétorqué que «l’industrie des congrès et des événements d’affaires n’est pas touchée par la loi 96».
De son côté, AWS (Amazon), qui est parmi les commanditaires importants, a également préféré ne pas dévoiler sa participation financière.
«Éléments de français»
Pour sa part, l’Institut québécois d’intelligence artificielle (Mila) a précisé au Journal que le chercheur-vedette Yoshua Bengio fera «l’allocution d’ouverture en français et en anglais».
Quant aux autres professeurs affiliés au Mila présents, ils devront inclure la langue française dans leur présentation, mentionne le laboratoire de recherche.
«Nous nous assurerons que ceux et celles qui le peuvent intègrent des éléments de français dans leurs présentations», a conclu le porte-parole du Mila, Ludovic Soucisse.