Après l'Allemagne et le Canada, c'est au tour de l'Australie de rejeter les politiques populistes inspirées de Donald Trump.

Le chef du parti Conservateur australien, qui avait qualifié Donald Trump de « grand penseur », a non seulement perdu les élections, mais il a aussi perdu son siège, comme Pierre Poilièvre au Canada.

L’effet Trump en Australie a provoqué une baisse marquée du vote conservateur.

Les Conservateurs étaient pourtant largement en avance en janvier dernier.

Une impression de déjà-vu.

Source: Radio-Canada

Après l'Allemagne et le Canada, c'est au tour de l'Australie de rejeter les politiques populistes inspirées de Donald Trump.

Le chef du parti Conservateur australien, qui avait qualifié Donald Trump de « grand penseur », a non seulement perdu les élections, mais il a aussi perdu son siège, comme Pierre Poilièvre au Canada.

L’effet Trump en Australie a provoqué une baisse marquée du vote conservateur.

Les Conservateurs étaient pourtant largement en avance en janvier dernier.

Une impression de déjà-vu.

Source: Radio-Canada

_______________

Le progressisme devrait toujours faire parti d'un plan quelque soit le parti de gauche ou de droite, les gens n'aiment pas stagner. Le parti conservateur a trop de préceptes involutifs et même parfois, trop de modèles rigides pour le bien-être social, ce qui rend les gens mal à l'aise dans la liberté d'être. Lorsque ça devient trop arbitraire, voire même totalitaire, ça forme ce que nous connaissons partout sur cette planète, des coucous sti !

Après l'Allemagne et le Canada, c'est au tour de l'Australie de rejeter les politiques populistes inspirées de Donald Trump.

Le chef du parti Conservateur australien, qui avait qualifié Donald Trump de « grand penseur », a non seulement perdu les élections, mais il a aussi perdu son siège, comme Pierre Poilièvre au Canada.

L’effet Trump en Australie a provoqué une baisse marquée du vote conservateur.

Les Conservateurs étaient pourtant largement en avance en janvier dernier.

Une impression de déjà-vu.

Source: Radio-Canada

_______________

Le progressisme devrait toujours faire parti d'un plan quelque soit le parti de gauche ou de droite, les gens n'aiment pas stagner. Le parti conservateur a trop de préceptes involutifs et même parfois, trop de modèles rigides pour le bien-être social, ce qui rend les gens mal à l'aise dans la liberté d'être. Lorsque ça devient trop arbitraire, voire même totalitaire, ça forme ce que nous connaissons partout sur cette planète, des coucous sti !

Tout à fait car la priorité de progressisme est l'être humain. Mulroney avait compris ça en faisant un parti Progressiste-Conservateur. Par la suite, le Reform Party s'est joint aux Conservateurs et ils sont devenus plus radicaux à la Harper et Poildecul.