Source : Incroyable : ce lac au Québec a disparu en quelques heures, 3 millions de mètres cubes d’eau envolés !

Un lac qui s’évanouit en quelques jours : au nord du Québec, le lac Rouge s’est vidé de ses millions de mètres cubes d’eau, laissant un paysage désolé derrière lui. Pour les Cris, ce peuple autochtone attaché à ces terres, c’est un choc, entre incompréhension, colère et inquiétude pour l’avenir.

C'est un paysage de désolation qu'ont découvert les membres de la Nation Crie, l'un des peuples autochtones vivant encore au Québec. Du jour au lendemain, le lac Rouge, sur lequel ils avaient l'habitude de pêcher, a en effet tout simplement... disparu !

Cet étrange phénomène s'est produit début mai, laissant les Cris totalement incrédules. De mémoire d'Homme, jamais cela n'avait été observé auparavant. À la place de la vaste étendue d'eau poissonneuse de 3 km2 ne reste désormais qu'un paysage raviné et à sec. Mais où donc sont passés les 3 000 000 mètres cube d'eau de ce lac ?

Un sol imperméabilisé par les incendies

Les images acquises par le satellite Landsat 9 révèlent que le lac Rouge se serait brutalement vidangé à la suite de la rupture de sa berge orientale. Le lac se serait alors écoulé principalement vers le lac Doda, situé à environ 10 kilomètres au nord-est. Reste à identifier la ou les causes.

Plusieurs hypothèses sont envisagées. Cette vidange soudaine pourrait être liée notamment aux feux de forêt qui ont ravagé la région entre 2019 et 2023. En détruisant la végétation autour du lac, ces incendies auraient en effet laissé le sol à nu, le rendant nettement plus sensible à l'érosion, mais également plus imperméable. Les racines des arbres stabilisent en effet les sols et préservent son humidité.

Autant de paramètres qui disparaissent lorsque la végétation se consume. Or, au printemps 2025, la couverture neigeuse a fondu très rapidement en raison de températures anormalement douces, produisant de grands volumes d'eau qui, au lieu de s'infiltrer dans le sol, ont ruisselé en surface pour venir remplir le lac Rouge. Le niveau inhabituel du lac aurait pu ainsi entraîner la rupture de sa berge.

Les pratiques forestières également dénoncées

Mais, pour les Cris, ces feux ne seraient pas les seuls responsables de cette catastrophe. À la suite des incendies, la région a en effet été « nettoyée » par des engins forestiers qui ont récupéré l'ensemble du bois, puis scarifié le sol. Une pratique qui vise à pouvoir replanter de jeunes pousses, mais que les Cris contestent depuis longtemps.

« Je ne sais pas si vous avez déjà vu des coupes de récupération [après un feu]. Ce ne sont pas les pratiques les plus subtiles. Il n'y a absolument rien qui est laissé sur place. Ensuite, on fait du scarifiage, on va carrément labourer les sols pour pouvoir replanter », explique Nicolas Mainville, directeur Conservation et climat de la SNAP Québec, dans le journal La Presse.

« En temps normal, on avait trois pieds de mousse dans le sol, mais après le scarifiage, il ne restait plus qu'un pied », déplore-t-il. Un élément de plus qui aurait réduit la capacité d'absorption du sol.

Pour les experts qui se sont déplacés sur le site, l'origine de la vidange du lac Rouge est donc certainement multifactorielle, incendie, climat et travaux forestiers ayant tous pu jouer un rôle.

Une terre de chasse ancestrale ravagée

Pour le peuple Cris, cet événement est un désastre. Les environs du lac sont en effet utilisés depuis plusieurs centaines d'années comme zone de trappe, ou de nombreuses familles viennent chasser et pêcher. La disparition brutale du lac remet donc en question ces pratiques ancestrales. L'importante quantité de sédiments en suspension dans le lac Doda pourrait de plus impacter les écosystèmes de ce dernier.

« Je ne peux pas dire que c'est une mauvaise chose. Je ne peux pas dire que c'est une bonne chose pour l'instant. Mais il faudra du temps pour que la terre cicatrise », assure Manoel Dixon, membre de la Nation Crie à radio-canada.

Lorsque nous regardons ceci de proche, les scientifiques de la faune et de la flore, sont poches en tabarnack !

Ils font des choses et après, ils analysent ce qui a causé avec l'erreur qu'ils ont fait. Ça ne les a pas tenté d'analyser avant leur intention de faire ?

C'est plus poche qu'un jeu de poche simonac !

N'empêche que le dérèglement climatique et le changement que ça occasionne, y est pour quelque chose de cette disparition d'un lac. Les forêts sont au prise de l'assèchement précoce aux printemps depuis plus de 10 ans. La zone boréale n'est plus ce qu'elle était, elle est rendue pratiquement une zone tempérée et la zone tempérée est proche de la zone équatoriale, à quelques dix années près !

Ça ne peux pas faire autrement lorsque les premiers orages frappent ces régions forestiers, d'allumer un feu par la foudre. Un simple effet de lentille par un fond de bouteille de vitre laisser sur place, peut aussi allumer un feu par la négligence humaine. Il est prouvé que la mousse lorsqu'elle s'assèche, produit une huile inflammable par leurs racines. Elle n'a pas le temps de bien verdir qu'elle est sèche pratiquement en fin de mai.

Quant à perdre un lac, tout aussi bien vider le lac en arrosant la forêt en prévention d'incendie !

En fait, ça aiderait à sauver le lac de sa disparition.

Autre exemple que plus nous avançons dans le temps, plus notre emprunte laisse des traces qui sont plus qu'indéfectibles, elles nous seront notre extinction, comme des cerveaux reptiliens !

Dédé

Source : Incroyable : ce lac au Québec a disparu en quelques heures, 3 millions de mètres cubes d’eau envolés !

Un lac qui s’évanouit en quelques jours : au nord du Québec, le lac Rouge s’est vidé de ses millions de mètres cubes d’eau, laissant un paysage désolé derrière lui. Pour les Cris, ce peuple autochtone attaché à ces terres, c’est un choc, entre incompréhension, colère et inquiétude pour l’avenir.

C'est un paysage de désolation qu'ont découvert les membres de la Nation Crie, l'un des peuples autochtones vivant encore au Québec. Du jour au lendemain, le lac Rouge, sur lequel ils avaient l'habitude de pêcher, a en effet tout simplement... disparu !

Cet étrange phénomène s'est produit début mai, laissant les Cris totalement incrédules. De mémoire d'Homme, jamais cela n'avait été observé auparavant. À la place de la vaste étendue d'eau poissonneuse de 3 km2 ne reste désormais qu'un paysage raviné et à sec. Mais où donc sont passés les 3 000 000 mètres cube d'eau de ce lac ?

Un sol imperméabilisé par les incendies

Les images acquises par le satellite Landsat 9 révèlent que le lac Rouge se serait brutalement vidangé à la suite de la rupture de sa berge orientale. Le lac se serait alors écoulé principalement vers le lac Doda, situé à environ 10 kilomètres au nord-est. Reste à identifier la ou les causes.

Plusieurs hypothèses sont envisagées. Cette vidange soudaine pourrait être liée notamment aux feux de forêt qui ont ravagé la région entre 2019 et 2023. En détruisant la végétation autour du lac, ces incendies auraient en effet laissé le sol à nu, le rendant nettement plus sensible à l'érosion, mais également plus imperméable. Les racines des arbres stabilisent en effet les sols et préservent son humidité.

Autant de paramètres qui disparaissent lorsque la végétation se consume. Or, au printemps 2025, la couverture neigeuse a fondu très rapidement en raison de températures anormalement douces, produisant de grands volumes d'eau qui, au lieu de s'infiltrer dans le sol, ont ruisselé en surface pour venir remplir le lac Rouge. Le niveau inhabituel du lac aurait pu ainsi entraîner la rupture de sa berge.

Les pratiques forestières également dénoncées

Mais, pour les Cris, ces feux ne seraient pas les seuls responsables de cette catastrophe. À la suite des incendies, la région a en effet été « nettoyée » par des engins forestiers qui ont récupéré l'ensemble du bois, puis scarifié le sol. Une pratique qui vise à pouvoir replanter de jeunes pousses, mais que les Cris contestent depuis longtemps.

« Je ne sais pas si vous avez déjà vu des coupes de récupération [après un feu]. Ce ne sont pas les pratiques les plus subtiles. Il n'y a absolument rien qui est laissé sur place. Ensuite, on fait du scarifiage, on va carrément labourer les sols pour pouvoir replanter », explique Nicolas Mainville, directeur Conservation et climat de la SNAP Québec, dans le journal La Presse.

« En temps normal, on avait trois pieds de mousse dans le sol, mais après le scarifiage, il ne restait plus qu'un pied », déplore-t-il. Un élément de plus qui aurait réduit la capacité d'absorption du sol.

Pour les experts qui se sont déplacés sur le site, l'origine de la vidange du lac Rouge est donc certainement multifactorielle, incendie, climat et travaux forestiers ayant tous pu jouer un rôle.

Une terre de chasse ancestrale ravagée

Pour le peuple Cris, cet événement est un désastre. Les environs du lac sont en effet utilisés depuis plusieurs centaines d'années comme zone de trappe, ou de nombreuses familles viennent chasser et pêcher. La disparition brutale du lac remet donc en question ces pratiques ancestrales. L'importante quantité de sédiments en suspension dans le lac Doda pourrait de plus impacter les écosystèmes de ce dernier.

« Je ne peux pas dire que c'est une mauvaise chose. Je ne peux pas dire que c'est une bonne chose pour l'instant. Mais il faudra du temps pour que la terre cicatrise », assure Manoel Dixon, membre de la Nation Crie à radio-canada.

Lorsque nous regardons ceci de proche, les scientifiques de la faune et de la flore, sont poches en tabarnack !

Ils font des choses et après, ils analysent ce qui a causé avec l'erreur qu'ils ont fait. Ça ne les a pas tenté d'analyser avant leur intention de faire ?

C'est plus poche qu'un jeu de poche simonac !

N'empêche que le dérèglement climatique et le changement que ça occasionne, y est pour quelque chose de cette disparition d'un lac. Les forêts sont au prise de l'assèchement précoce aux printemps depuis plus de 10 ans. La zone boréale n'est plus ce qu'elle était, elle est rendue pratiquement une zone tempérée et la zone tempérée est proche de la zone équatoriale, à quelques dix années près !

Ça ne peux pas faire autrement lorsque les premiers orages frappent ces régions forestiers, d'allumer un feu par la foudre. Un simple effet de lentille par un fond de bouteille de vitre laisser sur place, peut aussi allumer un feu par la négligence humaine. Il est prouvé que la mousse lorsqu'elle s'assèche, produit une huile inflammable par leurs racines. Elle n'a pas le temps de bien verdir qu'elle est sèche pratiquement en fin de mai.

Quant à perdre un lac, tout aussi bien vider le lac en arrosant la forêt en prévention d'incendie !

En fait, ça aiderait à sauver le lac de sa disparition.

Autre exemple que plus nous avançons dans le temps, plus notre emprunte laisse des traces qui sont plus qu'indéfectibles, elles nous seront notre extinction, comme des cerveaux reptiliens !

Dédé

Pas de crisse d'allure.

en autorisant davantage de coupes, notamment en zone fragilisant l'environnement la Kaq prouve que les Piles poils avaient raisons.... ''L'environnement pas d'Argent à faire là dedans, on en parlera dans 10 ans, la Kaq c'est chouette...

Un Parti de Girouettes, qui se laisse traîner dans la bouette

La Caq c'est hot

PARODIE - RAMONES (HEY HO LEGAULT) - ÉLECTIONS 2018

https://www.youtube.com/watch?v=T40L6sB4xqs&list=RDT40L6sB4xqs&start_radio=1

en autorisant davantage de coupes, notamment en zone fragilisant l'environnement la Kaq prouve que les Piles poils avaient raisons.... ''L'environnement pas d'Argent à faire là dedans, on en parlera dans 10 ans, la Kaq c'est chouette...

Un Parti de Girouettes, qui se laisse traîner dans la bouette

La Caq c'est hot

PARODIE - RAMONES (HEY HO LEGAULT) - ÉLECTIONS 2018

https://www.youtube.com/watch?v=T40L6sB4xqs&list=RDT40L6sB4xqs&start_radio=1

L'environnement, c'est vraiment pas leur priorité.