John Fogerty - The Old Man Down The Road

Hier après-midi, je suis allé prendre une petite marche jusqu'à la rivière et je suis descendu en-bas pour la voir de près. En traversant le cimetière, deux corbeaux étaient sur le terrain. L'un m'a vu et a pris l'essor mais l'autre, moins peureux m'observait. Je lui fait un petit cri d'imitation et j'ai comme entendu qu'il riait de moi. Mauvais signe que je me dis. Plus je m'approchais du sentier, plus je ressentais une forte négativité, parce que ce n'est plus ce que c'était auparavant avec cet ajout de parking qui a pris place. Il faut passer par ce parking pour aller à la sente qui nous conduit à la rivière. La sente pour la descente a été aussi améliorée mais c'est à pic pour descendre, il faut bien se concentrer à la descente afin d'éviter la chute.

Dès que j'ai atteint la zone forestière du lieu, j'avais l'impression que j'entrais dans l'antre du Mal. Je n'ai pas prolongé la sensation en allant de go à la rivière. À mon arrivée, je vois des arbres couchés dans rivière, pas de nettoyage comme laissé à l'abandon, tellement que je ne reconnaissais plus mon lieu de contemplation. Je n'ai pas osé m'approcher davantage, j'avais trop peur de trébucher et me retrouver à l'eau. Il y a tellement de grosses roches je m'aurais fait mal en joual vert.

Ne restant pas une minute de plus, je sacre mon camp mais en prime, un dégoût du mauvais traitement de la nature parce que c'était évident que ces arbres ont été poussés dans la rivière. Après avoir remonté la pente, je me suis assis sur un bloc de béton afin de voir si je pouvais entendre des oiseaux. Rien, niet, nada. Silence total. Je quitte alors l'endroit immédiatement, comme en furie en-dedans de moi.

Pour moi, ce fut un choc sensitif et ça m'a rendu aigre le restant de la journée et encore ce soir, j'ai encore cette sensation de dépit. En plus, je suis dans ma période de douleur névralgique, ce qui m'empêche à faire quoi que ce soit et ça me décourage. Je voulais faire une capsule ce soir, mon état physique est exécrable, tout aussi bien que je n'insiste pas.

C'est là que j'ai compris qu'un lieu environnemental peut facilement se détruire en peu de temps. C'était un endroit que j'aimais beaucoup m'y retrouver mais là, c'est fini, c'est devenu un lieu mort pour moi.

Le corbeau pouvait bien rire de moi !

Dédé

T'inquiète, toute est saoûl Con$trôle.. y a des experts pis leurs ca$tellier$ qui dirigent... fake... sa va ben aller... mettons.... c'était pas l'année pour arrêter la colle...

John Fogerty - The Old Man Down The Road

Hier après-midi, je suis allé prendre une petite marche jusqu'à la rivière et je suis descendu en-bas pour la voir de près. En traversant le cimetière, deux corbeaux étaient sur le terrain. L'un m'a vu et a pris l'essor mais l'autre, moins peureux m'observait. Je lui fait un petit cri d'imitation et j'ai comme entendu qu'il riait de moi. Mauvais signe que je me dis. Plus je m'approchais du sentier, plus je ressentais une forte négativité, parce que ce n'est plus ce que c'était auparavant avec cet ajout de parking qui a pris place. Il faut passer par ce parking pour aller à la sente qui nous conduit à la rivière. La sente pour la descente a été aussi améliorée mais c'est à pic pour descendre, il faut bien se concentrer à la descente afin d'éviter la chute.

Dès que j'ai atteint la zone forestière du lieu, j'avais l'impression que j'entrais dans l'antre du Mal. Je n'ai pas prolongé la sensation en allant de go à la rivière. À mon arrivée, je vois des arbres couchés dans rivière, pas de nettoyage comme laissé à l'abandon, tellement que je ne reconnaissais plus mon lieu de contemplation. Je n'ai pas osé m'approcher davantage, j'avais trop peur de trébucher et me retrouver à l'eau. Il y a tellement de grosses roches je m'aurais fait mal en joual vert.

Ne restant pas une minute de plus, je sacre mon camp mais en prime, un dégoût du mauvais traitement de la nature parce que c'était évident que ces arbres ont été poussés dans la rivière. Après avoir remonté la pente, je me suis assis sur un bloc de béton afin de voir si je pouvais entendre des oiseaux. Rien, niet, nada. Silence total. Je quitte alors l'endroit immédiatement, comme en furie en-dedans de moi.

Pour moi, ce fut un choc sensitif et ça m'a rendu aigre le restant de la journée et encore ce soir, j'ai encore cette sensation de dépit. En plus, je suis dans ma période de douleur névralgique, ce qui m'empêche à faire quoi que ce soit et ça me décourage. Je voulais faire une capsule ce soir, mon état physique est exécrable, tout aussi bien que je n'insiste pas.

C'est là que j'ai compris qu'un lieu environnemental peut facilement se détruire en peu de temps. C'était un endroit que j'aimais beaucoup m'y retrouver mais là, c'est fini, c'est devenu un lieu mort pour moi.

Le corbeau pouvait bien rire de moi !

Dédé

.........................

Ça , c'est encore pire que de ne pas faire de recyclage !!!

Tellement triste...

Quand on prend une photo , sans le savoir , c'est peut-être la dernière fois que l'on voit cet endroit comme il est parce que dans ce monde fou tout est détruit par des inconscients !!!
Sauf que la senteur et les bruits qui venaient avec la photo on ne les entendras plus sauf dans notre souvenir.... tellement dommage !!!

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John Fogerty - The Old Man Down The Road

Hier après-midi, je suis allé prendre une petite marche jusqu'à la rivière et je suis descendu en-bas pour la voir de près. En traversant le cimetière, deux corbeaux étaient sur le terrain. L'un m'a vu et a pris l'essor mais l'autre, moins peureux m'observait. Je lui fait un petit cri d'imitation et j'ai comme entendu qu'il riait de moi. Mauvais signe que je me dis. Plus je m'approchais du sentier, plus je ressentais une forte négativité, parce que ce n'est plus ce que c'était auparavant avec cet ajout de parking qui a pris place. Il faut passer par ce parking pour aller à la sente qui nous conduit à la rivière. La sente pour la descente a été aussi améliorée mais c'est à pic pour descendre, il faut bien se concentrer à la descente afin d'éviter la chute.

Dès que j'ai atteint la zone forestière du lieu, j'avais l'impression que j'entrais dans l'antre du Mal. Je n'ai pas prolongé la sensation en allant de go à la rivière. À mon arrivée, je vois des arbres couchés dans rivière, pas de nettoyage comme laissé à l'abandon, tellement que je ne reconnaissais plus mon lieu de contemplation. Je n'ai pas osé m'approcher davantage, j'avais trop peur de trébucher et me retrouver à l'eau. Il y a tellement de grosses roches je m'aurais fait mal en joual vert.

Ne restant pas une minute de plus, je sacre mon camp mais en prime, un dégoût du mauvais traitement de la nature parce que c'était évident que ces arbres ont été poussés dans la rivière. Après avoir remonté la pente, je me suis assis sur un bloc de béton afin de voir si je pouvais entendre des oiseaux. Rien, niet, nada. Silence total. Je quitte alors l'endroit immédiatement, comme en furie en-dedans de moi.

Pour moi, ce fut un choc sensitif et ça m'a rendu aigre le restant de la journée et encore ce soir, j'ai encore cette sensation de dépit. En plus, je suis dans ma période de douleur névralgique, ce qui m'empêche à faire quoi que ce soit et ça me décourage. Je voulais faire une capsule ce soir, mon état physique est exécrable, tout aussi bien que je n'insiste pas.

C'est là que j'ai compris qu'un lieu environnemental peut facilement se détruire en peu de temps. C'était un endroit que j'aimais beaucoup m'y retrouver mais là, c'est fini, c'est devenu un lieu mort pour moi.

Le corbeau pouvait bien rire de moi !

Dédé

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Ça , c'est encore pire que de ne pas faire de recyclage !!!

Tellement triste...

Quand on prend une photo , sans le savoir , c'est peut-être la dernière fois que l'on voit cet endroit comme il est parce que dans ce monde fou tout est détruit par des inconscients !!!
Sauf que la senteur et les bruits qui venaient avec la photo on ne les entendras plus sauf dans notre souvenir.... tellement dommage !!!

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C'est certain que je n'y retourne plus, ça fait trop mal de voir ce lieu si délabré. C'est triste parce que c'était pour moi un lieu pour contempler et m'ouvrir avec Mère !

on va finir par la scrapper la dernière rivière, avec l'aide de la Kaq le pire est possible...

une tonne de déchêt à la fois voté sous baillon$