Virage Majeur pour toute l'équipe de nos glorieux, notre Sainte-Flanelle, Les Canadiens de Montréal, le CApitaine Ninja Suzuki à passé ses été à Montréal... bon, dans le registre du pourquoi..... t'as juste pas le goût de passer tes étés à Los Angelespoubelle, Fentanyl Vancouver, Fusillade Détroit, Meutres Washington, etc... quand on se compare on se console...
cé pas parfait Montréal, mais c'est mieux que ben des vides d'Amérique du Nord là ou c'est quand y a PAS de fusillades que C'est une nouvelle....

https://www.tvasports.ca/2025/09/11/je-veux-etre-ici-nick-suzuki-explique-pourquoi-il-p...

L’an dernier, Nick Suzuki avait été le seul à dire publiquement que l’objectif des Canadiens était de jouer en séries éliminatoires. Pendant que la haute direction souhaitait vouloir être dans le «mix», Suzuki avait mis la barre plus haute.

Je l’ai rencontré cette semaine à Las Vegas dans le cadre de la Tournée des médias de la Ligue nationale. Je lui ai rappelé sa déclaration de l’an dernier ce qui l’a fait sourire.

Cette année, Suzuki est pleinement conscient que les attentes sont plus élevées étant donné le parcours cendrillon de la formation montréalaise la saison dernière. Il souhaite voir son équipe passer à une autre étape.

«En tant que compétiteur, je ne vise rien d’autre qu’une participation en séries et me battre pour la Coupe Stanley. Comme groupe, nous sommes plus confiants que l’an passé. Je suis prêt pour des attentes plus élevées et des matchs plus importants et notre groupe l’est aussi», m’a-t-il confié.

Pour Suzuki, l’arrivée de Noah Dobson et Zachary Bolduc est aussi un signe important pour les Canadiens puisque l’époque où l’organisation échangeaient de bons joueurs est maintenant révolue.

«Avoir du renfort, c’est prometteur», a-t-il reconnu.

UN ÉTÉ À MONTRÉAL

Pendant très longtemps, les joueurs des Canadiens, à l’exception des Québécois, ne restaient pas à Montréal durant l’été. La saison de hockey prenait fin et ils retournaient chez eux pour la période estivale. On les revoyait seulement quelques jours avant le début du camp d’entraînement.

Cependant, Suzuki a changé cette habitude. Une fois la saison de hockey terminée, le capitaine du Tricolore s’est maintenant fait un devoir de demeurer à Montréal.

«C’est important pour moi d’en apprendre davantage sur la ville. Je veux être ici. J’aime passer du temps à Montréal», m’a dit-il dit.

«Je vais au restaurant avec ma femme, dans des cafés et nous allons dans des festivals. C’est une superbe ville où vivre. C’est important de démontrer aux amateurs à quel point on les apprécie», a-t-il dit avec beaucoup de sagesse.

Le comportement de Suzuki vis-à-vis sa ville d’adoption exerce maintenant une grande influence sur ses coéquipiers. Nous avons constaté via les réseaux sociaux que plusieurs joueurs du Tricolore ont passé beaucoup de temps à Montréal cet été.

«C’est spécial que les gars soient restés ici. Ils voulaient revenir à Montréal afin de passer du temps dans un contexte différent.»

Suzuki et ses coéquipiers grandissent ensemble au hockey comme dans la vie. Quelques-uns se sont mariés récemment alors que d’autres sont devenus des papas pour la première fois. Pour Suzuki, un sentiment d’appartenance prend forme de plus en plus.

«C’est formidable de grandir ensemble et de vivre ces expériences», a-t-il conclu.

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Excellent, un vrai capitaine !

https://ici.radio-canada.ca/sports/2185096/serge-savard-canadien-montreal-hockeyEn 2017, Serge Savard avait été nommé l'un des 100 meilleurs joueurs de l'histoire de la LNH.

La Presse canadienne
Publié le 12 août à 17 h 18 HAE

Aux yeux de plusieurs légendes du Canadien de Montréal, la formation actuelle est prête à passer à la prochaine étape d'une reconstruction amorcée en 2022.

Près d’une vingtaine de membres du Temple de la renommée du hockey étaient présents mardi au tournoi de golf de Serge Savard, une occasion pour des retrouvailles de membres de l’équipe canadienne qui a pris part à la Coupe Canada en 1976.

D’anciens directeurs généraux et entraîneurs-chefs du CH en ont profité pour commenter les dernières décisions de l’état-major.
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Le directeur général Kent Hughes a orchestré la reconstruction qui a privé les amateurs montréalais des séries éliminatoires pendant trois saisons. Or, la troupe de Martin St-Louis s’est finalement qualifiée in extremis, au printemps dernier, avant d’être éliminée en cinq parties par les Capitals de Washington.
AILLEURS SUR INFO : Le lien de confiance « ébranlé » entre Maïté Blanchette Vézina et Legault

Visiblement encouragé, Hughes a cédé ses deux sélections de premier tour pour le repêchage de cette année afin d'obtenir l’excellent défenseur Noah Dobson, en plus d’acquérir le jeune attaquant québécois Zachary Bolduc.
Le joueur manie la rondelle pendant un match.

Le Canadien a fait l'acquisition de Noah Dobson dans un échange avec les Islanders cet été.

Photo : Associated Press / Adam Hunger

Avec le développement des jeunes joueurs et les nouveaux venus, Savard croit que le Tricolore s’est donné les moyens pour viser plus haut.

Je pense qu'ils vont dans la bonne direction.
Une citation de Serge Savard, défenseur du Canadien de 1966 à 1981

"Lorsqu'on a gagné la Coupe Stanley en 1993, on avait quand même quatre gars qui avaient inscrit entre 80 et 100 points", a déclaré Savard. "Le Canadien n'avait pas ça (au cours des dernières années). Et là, on semble avoir deux, trois gars qui peuvent se diriger vers ce nombre de points là. Alors, je pense qu'offensivement, avec quelques changements, on peut peut-être espérer."
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La défaite aux mains des Capitals a toutefois mis en lumière un problème récurrent du Bleu-blanc-rouge depuis le tournant du siècle : le manque de robustesse pour appuyer les joueurs talentueux, généralement plus petits.

"Lorsqu'on est arrivés contre Washington, on a vu que la force physique naturelle était réellement l'élément qui manque au Canadien, a avancé Savard, qui a été DG du club de 1983 à 1995. On s'est fait un peu intimider par Washington. Actuellement, les joueurs qui vont marquer de 80 à 100 points, ils ne sont pas de grande taille. C'est une lacune qu'il va falloir prendre en considération dans les années à venir."

Selon Bob Gainey, qui a remporté cinq Coupes Stanley avec le CH au cours de sa carrière de joueur qui s’est échelonnée de 1973 à 1989, puis une autre comme DG des Stars de Dallas en 1999, la clé sera l’esprit de corps.

"Deux ou trois fois par année, au cours des deux ou trois dernières saisons, on a pu voir des flashs de tout un groupe qui joue comme une équipe, qui est fier et qui joue les uns pour les autres. J’ai l'impression que les dirigeants et les entraîneurs sont sur la même longueur d'onde. Et ça, c'est une bonne situation pour commencer à faire une équipe avec un groupe de joueurs talentueux", a-t-il dit.

Ils vont dans la bonne direction, croient des anciens du Canadien

Gainey s’est bien gardé de commenter directement le travail de Hughes, soulignant que les règles avaient bien changé depuis qu’il a occupé le poste de DG, de 2003 à 2010. Il n’a toutefois pas caché son optimisme pour la suite.

"Le talent s’est beaucoup amélioré au cours des dernières années, et c’est une bonne base, a-t-il fait valoir. (St-Louis) a toujours été un joueur très compétitif et très intelligent. C'est le temps pour les joueurs de former une équipe qui peut pousser pour une place dans les éliminatoires et peut-être se rendre plus loin."

Guy Carbonneau, qui a joué pour le Tricolore de 1982 à 1994 et qui a été l’entraîneur-chef du club de 2006 à 2009, espère quant à lui que les éliminatoires seront l’objectif de l’organisation. Mais pour s’établir comme une force en présence, il estime que l’équipe devra mieux amorcer la prochaine campagne que les deux dernières.

Au 1er décembre 2023, le Canadien figurait au 14e rang des 16 équipes de l’Association de l’Est. À la même date au cours de la dernière saison, le constat était encore plus décevant, avec une avant-dernière place au classement général.

"On est rendu à une étape où le début de saison va être très important", a fait valoir Carbonneau. "L’équipe s’est améliorée et a pris beaucoup d’expérience l’année passée. Le noyau, même s’il est encore assez jeune, a plus d’expérience."

"On sent qu’ils veulent gagner. Ce n’est pas de mettre de la pression. C’est sûr que, dans leur tête à eux, ils sont prêts à faire les séries. Il faut juste mettre tout ça ensemble et commencer sur une bonne note", a-t-il conclu.

Le rassemblement de mardi n’était pas seulement l’occasion de faire des retrouvailles pour Savard. Toujours aussi engagé dans la communauté, celui que l’on surnomme le Sénateur a annoncé la création d'une équipe masculine et d'une équipe féminine à l'Université de Sherbrooke.