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Le Duhaimagogue tire la politique vers le bas (Forum)

par Blake, lundi 15 septembre 2025, 12:22 (il y a 28 jours)

Duhaime, l’homme qui tire la politique québécoise vers le bas
Ainsi donc, Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec (PCQ), n’a pas su tirer de leçons de sa défaite dans Arthabaska.
De retour après quelques semaines de vacances, Éric Duhaime a tenu récemment une conférence de presse au cours de laquelle il a affirmé qu’il n’avait l’intention de changer ou d’adoucir ni son discours ni son programme.
En entrevue avec Mario Dumont à LCN, qui lui demandait quelles leçons il tirait de sa défaite, Duhaime a plutôt passé de longues minutes à se victimiser.
Victime des supposées manigances des vieux partis, il se présente comme l’option du changement.
Sauf que les Québécois n’ont pas besoin de changer pour changer. Ils ont plutôt besoin d’un leader aux idées inspirantes. Pas d’un individu ambitieux qui, s’il accède à l’Assemblée nationale, tirera la politique québécoise vers le bas comme il le fait depuis qu’il est devenu chef du PCQ.
Bien des raccourcis
Lors du scrutin fédéral, ce printemps, j’exprimais ma fierté de constater que les Canadiens, et les Québécois en particulier, n’étaient pas tombés dans le panneau du populisme.
Selon le principe d’alternance des pouvoirs, Pierre Poilievre aurait dû remporter cette élection. Mais son discours et sa personnalité n’inspiraient pas suffisamment confiance.
On est dans le même registre en ce qui concerne Éric Duhaime, polémiste et ancien animateur de radio privée à Québec. Il faut le faire: le chef du PCQ n’est même pas parvenu à l’emporter dans un terreau fertile comme Arthabaska.
Mais comment susciter la confiance quand on exagère autant et qu’on a recours à des raccourcis intellectuels, comme il l’a fait avec la taxe carbone au Québec? Dans les faits, le Québec a plutôt implanté un système de marché du carbone qui livre ses promesses, mais dont certains aspects pourraient être revus.
Et ce n’est là qu’un exemple. Celui qui proposait, comme animateur de radio, de fermer la Gaspésie n’a pas beaucoup changé depuis qu’il s’est lancé en politique.
Pour en avoir entendu parler énormément sur le terrain, à Victoriaville, les citoyens ne lui ont pas pardonné son comportement lorsqu’Alex Boissonneault s’est présenté comme candidat pour le PQ.
Boissonneault, c’était un petit gars du coin, il avait fait une erreur de jeunesse, et il s’était parfaitement repris depuis. La charge à fond de train de Duhaime contre lui a déplu.
Duhaime devrait apprendre à faire la différence entre ses interventions à Radio X ou sur les réseaux sociaux, où il parle à des convertis, et un bassin d’électeurs. Ces derniers ont soif de propositions et d’un candidat inspiré et inspirant.
Stratégies critiquées
Dans une lettre ouverte publiée en 2023 dans Le Devoir, l’ancien directeur général du PCQ Raffael Cavaliere a prédit un horizon limité à Duhaime, critiquant ses stratégies. Il serait, selon lui, incapable de s’engager pour une cause dépassant sa propre existence, un élément essentiel pour quiconque aspire à diriger le Québec.
Les sorties de Cavaliere sur X cet été, où il a critiqué Duhaime et soutenu le PQ, lui ont valu une mise en demeure du PCQ, qui l’accuse de propos diffamatoires.
C’est quand même ironique de voir à quel point le soi-disant apôtre de la «libarté» parvient à piler sur ses soi-disant principes lorsqu’il s’agit de critiques envers lui.

- Karine Gagnon

https://www.journaldequebec.com/2025/09/13/duhaime-lhomme-qui-tire-la-politique-quebeco...

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Le Duhaimagogue tire la politique vers le bas

par Dédé, lundi 15 septembre 2025, 14:10 (il y a 28 jours) @ Blake

Duhaime, l’homme qui tire la politique québécoise vers le bas
Ainsi donc, Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec (PCQ), n’a pas su tirer de leçons de sa défaite dans Arthabaska.
De retour après quelques semaines de vacances, Éric Duhaime a tenu récemment une conférence de presse au cours de laquelle il a affirmé qu’il n’avait l’intention de changer ou d’adoucir ni son discours ni son programme.
En entrevue avec Mario Dumont à LCN, qui lui demandait quelles leçons il tirait de sa défaite, Duhaime a plutôt passé de longues minutes à se victimiser.
Victime des supposées manigances des vieux partis, il se présente comme l’option du changement.
Sauf que les Québécois n’ont pas besoin de changer pour changer. Ils ont plutôt besoin d’un leader aux idées inspirantes. Pas d’un individu ambitieux qui, s’il accède à l’Assemblée nationale, tirera la politique québécoise vers le bas comme il le fait depuis qu’il est devenu chef du PCQ.
Bien des raccourcis
Lors du scrutin fédéral, ce printemps, j’exprimais ma fierté de constater que les Canadiens, et les Québécois en particulier, n’étaient pas tombés dans le panneau du populisme.
Selon le principe d’alternance des pouvoirs, Pierre Poilievre aurait dû remporter cette élection. Mais son discours et sa personnalité n’inspiraient pas suffisamment confiance.
On est dans le même registre en ce qui concerne Éric Duhaime, polémiste et ancien animateur de radio privée à Québec. Il faut le faire: le chef du PCQ n’est même pas parvenu à l’emporter dans un terreau fertile comme Arthabaska.
Mais comment susciter la confiance quand on exagère autant et qu’on a recours à des raccourcis intellectuels, comme il l’a fait avec la taxe carbone au Québec? Dans les faits, le Québec a plutôt implanté un système de marché du carbone qui livre ses promesses, mais dont certains aspects pourraient être revus.
Et ce n’est là qu’un exemple. Celui qui proposait, comme animateur de radio, de fermer la Gaspésie n’a pas beaucoup changé depuis qu’il s’est lancé en politique.
Pour en avoir entendu parler énormément sur le terrain, à Victoriaville, les citoyens ne lui ont pas pardonné son comportement lorsqu’Alex Boissonneault s’est présenté comme candidat pour le PQ.
Boissonneault, c’était un petit gars du coin, il avait fait une erreur de jeunesse, et il s’était parfaitement repris depuis. La charge à fond de train de Duhaime contre lui a déplu.
Duhaime devrait apprendre à faire la différence entre ses interventions à Radio X ou sur les réseaux sociaux, où il parle à des convertis, et un bassin d’électeurs. Ces derniers ont soif de propositions et d’un candidat inspiré et inspirant.
Stratégies critiquées
Dans une lettre ouverte publiée en 2023 dans Le Devoir, l’ancien directeur général du PCQ Raffael Cavaliere a prédit un horizon limité à Duhaime, critiquant ses stratégies. Il serait, selon lui, incapable de s’engager pour une cause dépassant sa propre existence, un élément essentiel pour quiconque aspire à diriger le Québec.
Les sorties de Cavaliere sur X cet été, où il a critiqué Duhaime et soutenu le PQ, lui ont valu une mise en demeure du PCQ, qui l’accuse de propos diffamatoires.
C’est quand même ironique de voir à quel point le soi-disant apôtre de la «libarté» parvient à piler sur ses soi-disant principes lorsqu’il s’agit de critiques envers lui.

- Karine Gagnon

https://www.journaldequebec.com/2025/09/13/duhaime-lhomme-qui-tire-la-politique-quebeco...

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Rien de nouveau avec ce Ti-Coune Parent pour les crétins sociopathes. :D

La description de cette éditorialiste est faite sur mesure pour décrire ce mangeux de marde.

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Le Duhaimagogue tire la politique vers le bas

par Blake, lundi 15 septembre 2025, 19:00 (il y a 28 jours) @ Dédé

Duhaime, l’homme qui tire la politique québécoise vers le bas
Ainsi donc, Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec (PCQ), n’a pas su tirer de leçons de sa défaite dans Arthabaska.
De retour après quelques semaines de vacances, Éric Duhaime a tenu récemment une conférence de presse au cours de laquelle il a affirmé qu’il n’avait l’intention de changer ou d’adoucir ni son discours ni son programme.
En entrevue avec Mario Dumont à LCN, qui lui demandait quelles leçons il tirait de sa défaite, Duhaime a plutôt passé de longues minutes à se victimiser.
Victime des supposées manigances des vieux partis, il se présente comme l’option du changement.
Sauf que les Québécois n’ont pas besoin de changer pour changer. Ils ont plutôt besoin d’un leader aux idées inspirantes. Pas d’un individu ambitieux qui, s’il accède à l’Assemblée nationale, tirera la politique québécoise vers le bas comme il le fait depuis qu’il est devenu chef du PCQ.
Bien des raccourcis
Lors du scrutin fédéral, ce printemps, j’exprimais ma fierté de constater que les Canadiens, et les Québécois en particulier, n’étaient pas tombés dans le panneau du populisme.
Selon le principe d’alternance des pouvoirs, Pierre Poilievre aurait dû remporter cette élection. Mais son discours et sa personnalité n’inspiraient pas suffisamment confiance.
On est dans le même registre en ce qui concerne Éric Duhaime, polémiste et ancien animateur de radio privée à Québec. Il faut le faire: le chef du PCQ n’est même pas parvenu à l’emporter dans un terreau fertile comme Arthabaska.
Mais comment susciter la confiance quand on exagère autant et qu’on a recours à des raccourcis intellectuels, comme il l’a fait avec la taxe carbone au Québec? Dans les faits, le Québec a plutôt implanté un système de marché du carbone qui livre ses promesses, mais dont certains aspects pourraient être revus.
Et ce n’est là qu’un exemple. Celui qui proposait, comme animateur de radio, de fermer la Gaspésie n’a pas beaucoup changé depuis qu’il s’est lancé en politique.
Pour en avoir entendu parler énormément sur le terrain, à Victoriaville, les citoyens ne lui ont pas pardonné son comportement lorsqu’Alex Boissonneault s’est présenté comme candidat pour le PQ.
Boissonneault, c’était un petit gars du coin, il avait fait une erreur de jeunesse, et il s’était parfaitement repris depuis. La charge à fond de train de Duhaime contre lui a déplu.
Duhaime devrait apprendre à faire la différence entre ses interventions à Radio X ou sur les réseaux sociaux, où il parle à des convertis, et un bassin d’électeurs. Ces derniers ont soif de propositions et d’un candidat inspiré et inspirant.
Stratégies critiquées
Dans une lettre ouverte publiée en 2023 dans Le Devoir, l’ancien directeur général du PCQ Raffael Cavaliere a prédit un horizon limité à Duhaime, critiquant ses stratégies. Il serait, selon lui, incapable de s’engager pour une cause dépassant sa propre existence, un élément essentiel pour quiconque aspire à diriger le Québec.
Les sorties de Cavaliere sur X cet été, où il a critiqué Duhaime et soutenu le PQ, lui ont valu une mise en demeure du PCQ, qui l’accuse de propos diffamatoires.
C’est quand même ironique de voir à quel point le soi-disant apôtre de la «libarté» parvient à piler sur ses soi-disant principes lorsqu’il s’agit de critiques envers lui.

- Karine Gagnon

https://www.journaldequebec.com/2025/09/13/duhaime-lhomme-qui-tire-la-politique-quebeco...

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Rien de nouveau avec ce Ti-Coune Parent pour les crétins sociopathes. :D

La description de cette éditorialiste est faite sur mesure pour décrire ce mangeux de marde.

:mdr:

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Le Duhaimagogue tire la politique vers le bas

par Dédé, lundi 15 septembre 2025, 19:17 (il y a 28 jours) @ Blake

Duhaime, l’homme qui tire la politique québécoise vers le bas
Ainsi donc, Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec (PCQ), n’a pas su tirer de leçons de sa défaite dans Arthabaska.
De retour après quelques semaines de vacances, Éric Duhaime a tenu récemment une conférence de presse au cours de laquelle il a affirmé qu’il n’avait l’intention de changer ou d’adoucir ni son discours ni son programme.
En entrevue avec Mario Dumont à LCN, qui lui demandait quelles leçons il tirait de sa défaite, Duhaime a plutôt passé de longues minutes à se victimiser.
Victime des supposées manigances des vieux partis, il se présente comme l’option du changement.
Sauf que les Québécois n’ont pas besoin de changer pour changer. Ils ont plutôt besoin d’un leader aux idées inspirantes. Pas d’un individu ambitieux qui, s’il accède à l’Assemblée nationale, tirera la politique québécoise vers le bas comme il le fait depuis qu’il est devenu chef du PCQ.
Bien des raccourcis
Lors du scrutin fédéral, ce printemps, j’exprimais ma fierté de constater que les Canadiens, et les Québécois en particulier, n’étaient pas tombés dans le panneau du populisme.
Selon le principe d’alternance des pouvoirs, Pierre Poilievre aurait dû remporter cette élection. Mais son discours et sa personnalité n’inspiraient pas suffisamment confiance.
On est dans le même registre en ce qui concerne Éric Duhaime, polémiste et ancien animateur de radio privée à Québec. Il faut le faire: le chef du PCQ n’est même pas parvenu à l’emporter dans un terreau fertile comme Arthabaska.
Mais comment susciter la confiance quand on exagère autant et qu’on a recours à des raccourcis intellectuels, comme il l’a fait avec la taxe carbone au Québec? Dans les faits, le Québec a plutôt implanté un système de marché du carbone qui livre ses promesses, mais dont certains aspects pourraient être revus.
Et ce n’est là qu’un exemple. Celui qui proposait, comme animateur de radio, de fermer la Gaspésie n’a pas beaucoup changé depuis qu’il s’est lancé en politique.
Pour en avoir entendu parler énormément sur le terrain, à Victoriaville, les citoyens ne lui ont pas pardonné son comportement lorsqu’Alex Boissonneault s’est présenté comme candidat pour le PQ.
Boissonneault, c’était un petit gars du coin, il avait fait une erreur de jeunesse, et il s’était parfaitement repris depuis. La charge à fond de train de Duhaime contre lui a déplu.
Duhaime devrait apprendre à faire la différence entre ses interventions à Radio X ou sur les réseaux sociaux, où il parle à des convertis, et un bassin d’électeurs. Ces derniers ont soif de propositions et d’un candidat inspiré et inspirant.
Stratégies critiquées
Dans une lettre ouverte publiée en 2023 dans Le Devoir, l’ancien directeur général du PCQ Raffael Cavaliere a prédit un horizon limité à Duhaime, critiquant ses stratégies. Il serait, selon lui, incapable de s’engager pour une cause dépassant sa propre existence, un élément essentiel pour quiconque aspire à diriger le Québec.
Les sorties de Cavaliere sur X cet été, où il a critiqué Duhaime et soutenu le PQ, lui ont valu une mise en demeure du PCQ, qui l’accuse de propos diffamatoires.
C’est quand même ironique de voir à quel point le soi-disant apôtre de la «libarté» parvient à piler sur ses soi-disant principes lorsqu’il s’agit de critiques envers lui.

- Karine Gagnon

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Réellement, je ne comprends pas comment des gens sain d'esprit peuvent voter pour cet énergumène avec un brosse à bain dans le cul ! :boss:

Est-ce un gang d'enculés ? :mdr:

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Le Duhaimagogue tire la politique vers le bas

par Blake, lundi 15 septembre 2025, 19:49 (il y a 28 jours) @ Dédé

Duhaime, l’homme qui tire la politique québécoise vers le bas
Ainsi donc, Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec (PCQ), n’a pas su tirer de leçons de sa défaite dans Arthabaska.
De retour après quelques semaines de vacances, Éric Duhaime a tenu récemment une conférence de presse au cours de laquelle il a affirmé qu’il n’avait l’intention de changer ou d’adoucir ni son discours ni son programme.
En entrevue avec Mario Dumont à LCN, qui lui demandait quelles leçons il tirait de sa défaite, Duhaime a plutôt passé de longues minutes à se victimiser.
Victime des supposées manigances des vieux partis, il se présente comme l’option du changement.
Sauf que les Québécois n’ont pas besoin de changer pour changer. Ils ont plutôt besoin d’un leader aux idées inspirantes. Pas d’un individu ambitieux qui, s’il accède à l’Assemblée nationale, tirera la politique québécoise vers le bas comme il le fait depuis qu’il est devenu chef du PCQ.
Bien des raccourcis
Lors du scrutin fédéral, ce printemps, j’exprimais ma fierté de constater que les Canadiens, et les Québécois en particulier, n’étaient pas tombés dans le panneau du populisme.
Selon le principe d’alternance des pouvoirs, Pierre Poilievre aurait dû remporter cette élection. Mais son discours et sa personnalité n’inspiraient pas suffisamment confiance.
On est dans le même registre en ce qui concerne Éric Duhaime, polémiste et ancien animateur de radio privée à Québec. Il faut le faire: le chef du PCQ n’est même pas parvenu à l’emporter dans un terreau fertile comme Arthabaska.
Mais comment susciter la confiance quand on exagère autant et qu’on a recours à des raccourcis intellectuels, comme il l’a fait avec la taxe carbone au Québec? Dans les faits, le Québec a plutôt implanté un système de marché du carbone qui livre ses promesses, mais dont certains aspects pourraient être revus.
Et ce n’est là qu’un exemple. Celui qui proposait, comme animateur de radio, de fermer la Gaspésie n’a pas beaucoup changé depuis qu’il s’est lancé en politique.
Pour en avoir entendu parler énormément sur le terrain, à Victoriaville, les citoyens ne lui ont pas pardonné son comportement lorsqu’Alex Boissonneault s’est présenté comme candidat pour le PQ.
Boissonneault, c’était un petit gars du coin, il avait fait une erreur de jeunesse, et il s’était parfaitement repris depuis. La charge à fond de train de Duhaime contre lui a déplu.
Duhaime devrait apprendre à faire la différence entre ses interventions à Radio X ou sur les réseaux sociaux, où il parle à des convertis, et un bassin d’électeurs. Ces derniers ont soif de propositions et d’un candidat inspiré et inspirant.
Stratégies critiquées
Dans une lettre ouverte publiée en 2023 dans Le Devoir, l’ancien directeur général du PCQ Raffael Cavaliere a prédit un horizon limité à Duhaime, critiquant ses stratégies. Il serait, selon lui, incapable de s’engager pour une cause dépassant sa propre existence, un élément essentiel pour quiconque aspire à diriger le Québec.
Les sorties de Cavaliere sur X cet été, où il a critiqué Duhaime et soutenu le PQ, lui ont valu une mise en demeure du PCQ, qui l’accuse de propos diffamatoires.
C’est quand même ironique de voir à quel point le soi-disant apôtre de la «libarté» parvient à piler sur ses soi-disant principes lorsqu’il s’agit de critiques envers lui.

- Karine Gagnon

https://www.journaldequebec.com/2025/09/13/duhaime-lhomme-qui-tire-la-politique-quebeco...

[image]

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Rien de nouveau avec ce Ti-Coune Parent pour les crétins sociopathes. :D

La description de cette éditorialiste est faite sur mesure pour décrire ce mangeux de marde.


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