Source : «JUSTICE DOIT ÊTRE FAITE»: Trump réclame la poursuite d’adversaires politiques

AFP
Dimanche, 21 septembre 2025 08:13

MISE À JOUR Dimanche, 21 septembre 2025 08:13

«JUSTICE DOIT ÊTRE FAITE, MAINTENANT!»: Donald Trump a mis la pression samedi sur le ministère de la Justice pour qu’il poursuive des adversaires politiques, dont deux qui sont accusés de fraude.

Le président américain multiplie les offensives directes depuis son retour à la Maison-Blanche, déclenchant les inquiétudes sur un risque de remise en cause de la séparation des pouvoirs.

Dans une publication sur Truth Social vraisemblablement adressée à la ministre de la Justice, Pam Bondi, le dirigeant critique les atermoiements dans d’éventuelles poursuites contre le sénateur californien Adam Schiff et la procureure générale de l’État de New York, Letitia James, membres du Parti démocrate.

Ils sont accusés par le responsable de l’Agence de financement du logement, Bill Pulte, un proche de Donald Trump, de falsification de documents concernant des demandes de prêts immobiliers.

«Nous ne pouvons pas attendre plus longtemps, cela ruine notre réputation et notre crédibilité», fulmine le président, qui déclare avoir lu des dizaines de messages appelant à poursuivre M. Schiff et Mme James, mais aussi l’ancien directeur du FBI James Comey, accusé par M. Trump d’avoir menti devant le Congrès.

Vendredi, le procureur fédéral Erik Siebert, qui a refusé d’engager des poursuites contre Letitia James en invoquant un manque de preuves, selon des médias américains, a démissionné, alors que son départ était réclamé par le républicain.

Letitia James est une farouche adversaire de Donald Trump. Elle l’avait fait condamner à payer une amende de près d’un demi-milliard de dollars avant son retour à la Maison-Blanche.

Cette condamnation pour fraude a été annulée fin août par une cour d’appel de l’État de New York, qui a jugé l’amende «excessive». Mme James a de son côté annoncé son intention de contester cette décision.

«Je l’ai viré, et il y a une GROSSE AFFAIRE, et de nombreux avocats et experts légaux disent la même chose», a affirmé M. Trump dans sa publication, faisant apparemment référence aux investigations ciblant Mme James.

Plus tard samedi, il a annoncé avoir nommé Lindsey Halligan, une conseillère de la Maison-Blanche, en remplacement d’Erik Siebert, estimant que Pam Bondi a «besoin d’un procureur dur» à ses côtés «pour faire bouger les choses».

«Pour rien»

Durant le premier mandat Trump, Adam Schiff, alors député, a mené la mise en accusation du président dans le cadre de son premier procès en destitution.

Donald Trump avait ensuite été acquitté par le Sénat, puis à nouveau en 2021, au terme d’une deuxième procédure.

«Ils m’ont visé avec une procédure de destitution deux fois et inculpé (5 fois!) POUR RIEN. JUSTICE DOIT ÊTRE FAITE, MAINTENANT», a-t-il lancé sur Truth Social.

En janvier, le président américain a été condamné au pénal, mais dispensé de peine dans l’affaire de paiements cachés à une vedette de films X.

Début septembre, une cour d’appel de New York a confirmé sa condamnation à verser 83,3 M$ pour diffamation à l’autrice E. Jean Carroll. Celle-ci l’a accusé en 2019 de l’avoir violée dans les années 1990.

Les enquêtes autour d’une rétention présumée de documents classifiés alors qu’il n’était plus président et de possibles tentatives d’inverser le résultat de la présidentielle de 2020 ont été abandonnées quand il a été réélu.

Comment dire de plus que c'est un signe du fascisme. PéDonald est un mythomane narcissique, il faudrait être inconscient pour ne pas le voir et pourtant, il a réussi à se faire élire. Maintenant, en étant certain ce qu'il planche sera une réussite en choisissant des juges qui ont la même idéologies que lui, il agit en vengeur sous la couverture de la justice américaine afin de faire condamner plusieurs personnes de la magistrature du parti démocrate.

Combien ça coûte ?

50% et plus aux douanes !

Il s'en câlisse combien ça coûte, il a tout ce qu'il faut en plus d'agir en autoritarisme en plaçant la garde nationale dans les états démocrates. Signe évident qu'il est maintenant le Hitler de bas de gamme, comparativement à Poutine qui se joue de lui. Ça c'est sans compter aux censures dans les médias, qui le rend encore plus pernicieux dans cette tête de malade mental, il impose son idéologie dans le temps des patriarches, donnant ainsi une régression évidente du pays entier.

N'oubliez pas non plus qu'il va tout faire pour avoir un autre mandat qui selon la constitution, lui serait refusé puisqu'il aura fait deux mandats. Il pourrait tout de même mettre en place la relève républicaine et la question se pose ; Le colistier actuel J.D. Vence est-il plus malade mental que PéDonald ?

Maintenant à ce qui concerne cet article, il est certain que des têtes vont rouler par terre et que le dépouillage d'argent se fera !

Dédé

Facebook : PéDonald et sa rancune contre ses adversaires politiques !

Source : «JUSTICE DOIT ÊTRE FAITE»: Trump réclame la poursuite d’adversaires politiques

AFP
Dimanche, 21 septembre 2025 08:13

MISE À JOUR Dimanche, 21 septembre 2025 08:13

«JUSTICE DOIT ÊTRE FAITE, MAINTENANT!»: Donald Trump a mis la pression samedi sur le ministère de la Justice pour qu’il poursuive des adversaires politiques, dont deux qui sont accusés de fraude.

Le président américain multiplie les offensives directes depuis son retour à la Maison-Blanche, déclenchant les inquiétudes sur un risque de remise en cause de la séparation des pouvoirs.

Dans une publication sur Truth Social vraisemblablement adressée à la ministre de la Justice, Pam Bondi, le dirigeant critique les atermoiements dans d’éventuelles poursuites contre le sénateur californien Adam Schiff et la procureure générale de l’État de New York, Letitia James, membres du Parti démocrate.

Ils sont accusés par le responsable de l’Agence de financement du logement, Bill Pulte, un proche de Donald Trump, de falsification de documents concernant des demandes de prêts immobiliers.

«Nous ne pouvons pas attendre plus longtemps, cela ruine notre réputation et notre crédibilité», fulmine le président, qui déclare avoir lu des dizaines de messages appelant à poursuivre M. Schiff et Mme James, mais aussi l’ancien directeur du FBI James Comey, accusé par M. Trump d’avoir menti devant le Congrès.

Vendredi, le procureur fédéral Erik Siebert, qui a refusé d’engager des poursuites contre Letitia James en invoquant un manque de preuves, selon des médias américains, a démissionné, alors que son départ était réclamé par le républicain.

Letitia James est une farouche adversaire de Donald Trump. Elle l’avait fait condamner à payer une amende de près d’un demi-milliard de dollars avant son retour à la Maison-Blanche.

Cette condamnation pour fraude a été annulée fin août par une cour d’appel de l’État de New York, qui a jugé l’amende «excessive». Mme James a de son côté annoncé son intention de contester cette décision.

«Je l’ai viré, et il y a une GROSSE AFFAIRE, et de nombreux avocats et experts légaux disent la même chose», a affirmé M. Trump dans sa publication, faisant apparemment référence aux investigations ciblant Mme James.

Plus tard samedi, il a annoncé avoir nommé Lindsey Halligan, une conseillère de la Maison-Blanche, en remplacement d’Erik Siebert, estimant que Pam Bondi a «besoin d’un procureur dur» à ses côtés «pour faire bouger les choses».

«Pour rien»

Durant le premier mandat Trump, Adam Schiff, alors député, a mené la mise en accusation du président dans le cadre de son premier procès en destitution.

Donald Trump avait ensuite été acquitté par le Sénat, puis à nouveau en 2021, au terme d’une deuxième procédure.

«Ils m’ont visé avec une procédure de destitution deux fois et inculpé (5 fois!) POUR RIEN. JUSTICE DOIT ÊTRE FAITE, MAINTENANT», a-t-il lancé sur Truth Social.

En janvier, le président américain a été condamné au pénal, mais dispensé de peine dans l’affaire de paiements cachés à une vedette de films X.

Début septembre, une cour d’appel de New York a confirmé sa condamnation à verser 83,3 M$ pour diffamation à l’autrice E. Jean Carroll. Celle-ci l’a accusé en 2019 de l’avoir violée dans les années 1990.

Les enquêtes autour d’une rétention présumée de documents classifiés alors qu’il n’était plus président et de possibles tentatives d’inverser le résultat de la présidentielle de 2020 ont été abandonnées quand il a été réélu.

Comment dire de plus que c'est un signe du fascisme. PéDonald est un mythomane narcissique, il faudrait être inconscient pour ne pas le voir et pourtant, il a réussi à se faire élire. Maintenant, en étant certain ce qu'il planche sera une réussite en choisissant des juges qui ont la même idéologies que lui, il agit en vengeur sous la couverture de la justice américaine afin de faire condamner plusieurs personnes de la magistrature du parti démocrate.

Combien ça coûte ?

50% et plus aux douanes !

Il s'en câlisse combien ça coûte, il a tout ce qu'il faut en plus d'agir en autoritarisme en plaçant la garde nationale dans les états démocrates. Signe évident qu'il est maintenant le Hitler de bas de gamme, comparativement à Poutine qui se joue de lui. Ça c'est sans compter aux censures dans les médias, qui le rend encore plus pernicieux dans cette tête de malade mental, il impose son idéologie dans le temps des patriarches, donnant ainsi une régression évidente du pays entier.

N'oubliez pas non plus qu'il va tout faire pour avoir un autre mandat qui selon la constitution, lui serait refusé puisqu'il aura fait deux mandats. Il pourrait tout de même mettre en place la relève républicaine et la question se pose ; Le colistier actuel J.D. Vence est-il plus malade mental que PéDonald ?

Maintenant à ce qui concerne cet article, il est certain que des têtes vont rouler par terre et que le dépouillage d'argent se fera !

Dédé

Facebook : PéDonald et sa rancune contre ses adversaires politiques !

Il instrumentalise parfaitement ce shooting afin d'éliminer tout ce qui est contraire à lui. Lui et Vance, sont deux cinglés. Il va sûrement tout faire avec sa gang de timbrés afin de canceller les midterms ou faire en sorte que les Démocrates soient fichés afin de les empêcher de voter.