si nous voulons sauver du temps, il faut élaborer une liste de ceux qui vont rester et non pas ceux qui vont partir...

Les autres iront rejoindre leur ami dans les flammes de l'enfer éternel..

Ils ont reculé en partie sur la loi sur les médecins...
Ils sentent la soupe aux pois très chaude...

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2205282/negociations-medecins-quebec-loi-speciale

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Québec fait un pas vers les médecins en suspendant deux dispositions de la loi 2
François Legault en mêlée de presse.

Le gouvernement Legault espère que sa main tendue convaincra leurs fédérations de revenir négocier.

Jérôme Labbé (Consulter le profil)
Jérôme Labbé

Publié à 12 h 57 HNE
Mis à jour à 14 h 39 HNE
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Le gouvernement de François Legault fait un pas vers les médecins en suspendant deux dispositions controversées de la loi 2 dans l'objectif de convaincre les fédérations des omnipraticiens et des spécialistes de revenir à la table des négociations.

Le ministre de la Santé, Christian Dubé, en a fait l'annonce en mêlée de presse, mardi midi, aux côtés de la présidente du Conseil du Trésor, France-Élaine Duranceau.

D'abord, Québec maintiendra jusqu'à nouvel ordre la prime accordée aux médecins spécialistes lorsque ceux-ci se voient recommander un patient par un omnipraticien. Ladite prime devait être abolie le 1er janvier.

La seconde mesure suspendue concerne le supplément de 30 % qui était accordé aux médecins des groupes de médecine familiale (GMF) pour payer leurs frais de bureau, que le gouvernement souhaitait verser directement aux GMF. Ledit supplément, pour l'instant, continuera d'être payé aux médecins.
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Selon Mme Duranceau, ces deux mesures "ont beaucoup inquiété les médecins". D'où la volonté du gouvernement de les suspendre.

On veut calmer le jeu. On veut tendre la main [aux médecins]. On veut leur dire : "On a compris que ça vous inquiétait. On ne touchera à rien tant qu'on ne se sera pas entendus avec les fédérations sur la manière d'y arriver."
Une citation de France-Élaine Duranceau, présidente du Conseil du Trésor

La réponse ne s'est pas fait attendre. Confirmant avoir été contactée par le gouvernement mardi midi, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) a posé quatre conditions pour reprendre les négociations.

Québec, dit-elle, devra pour cela : suivre la recommandation du Collège des médecins et suspendre l’application de la loi 2; garantir l’abandon des indicateurs de performance; abandonner la classification des patients par pastilles de couleurs; et garantir aux médecins les ressources humaines nécessaires pour améliorer l’accès.
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François Legault a toutefois déclaré, mardi après-midi, qu'il n'avait pas l'intention de bouger sur le mode de rémunération des médecins. "C'est adopté, on ne reviendra pas là-dessus, a-t-il affirmé. Maintenant, pour ce qui est des modalités, on veut tendre la main aux deux fédérations pour venir en discuter avec nous autres."

La Fédération des médecins spécialistes du Québec (FMSQ), pour sa part, a réagi de manière beaucoup plus modérée à l'annonce du gouvernement, se contentant d'en "prendre acte" et de saluer "l'implication" de France-Élaine Duranceau dans les négociations.

Dans une déclaration transmise à Radio-Canada, la FMSQ affirme néanmoins qu'elle attendra la communication officielle des négociateurs gouvernementaux avant de prendre une décision. "Des clarifications quant à l’étendue de leur mandat et quant à ce que de possibles pourparlers pourraient couvrir sont nécessaires", écrit-elle.
Les fédérations médicales en cour

La sortie de Christian Dubé et de France-Élaine Duranceau survient alors que la FMOQ, la FMSQ et la Fédération médicale étudiante du Québec (FMEQ) ont entrepris de contester la loi 2 devant les tribunaux en déposant, d'abord, trois demandes de sursis. Celle du FMEQ a d'ailleurs été présentée en Cour mardi.

Le climat entre le gouvernement Legault et les fédérations est tendu depuis que les ententes qui encadrent les conditions de travail des médecins dans le réseau public sont venues à échéance, en avril 2023, et l'adoption sous le bâillon de la loi 2, fin octobre, n'a rien amélioré, au contraire.

La grogne est également palpable au caucus de la Coalition avenir Québec (CAQ), que la députée d'arrière-ban Isabelle Poulet songe à quitter.

Ce mécontentement a notamment provoqué le départ, la semaine dernière, du ministre responsable des Services sociaux, Lionel Carmant, qui a annoncé qu'il siégera dorénavant comme député indépendant, incapable de convaincre sa femme et sa fille, médecins comme lui, du bien-fondé de la loi 2

Source : Grogne à la CAQ: la députée Isabelle Poulet exclue du caucus après avoir fait de l’œil aux libéraux
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C'était une question de temps pour qu'elle se fasse montrer la porte !

Quin quin quin pis requin ma poulette !

Source : Grogne à la CAQ: la députée Isabelle Poulet songe à quitter le navire, après avoir fait de l'oeil aux libéraux

Geneviève Lajoie
Mardi, 4 novembre 2025 09:55

MISE À JOUR Mardi, 4 novembre 2025 09:55

La députée de Laporte, Isabelle Poulet, songe elle aussi à quitter la CAQ, après avoir fait de l'oeil aux libéraux. Elle doit rencontrer François Legault aujourd'hui pour faire le point sur son avenir politique.

Après avoir convoqué une conférence de presse mardi matin à l’Assemblée nationale, la députée s’est finalement désistée. Plusieurs élus caquistes, de même que le premier ministre, tentent de retenir Isabelle Poulet.

Si la controversée réforme de la rémunération des médecins est «la goutte d’eau qui a fait déborder le vase» pour cette élue de la Rive-Sud de Montréal, il y a plusieurs semaines déjà qu’Isabelle Poulet fait connaître son mécontentement.

Le comté de Laporte a longtemps été rouge. Selon nos informations, dès la fin du mois d’août, elle a d’ailleurs approché le Parti libéral du Québec. Le chef libéral Pablo Rodriguez a d'ailleurs confirmé mardi qu'Isabelle Poulet a sollicité sa formation politique à plusieurs reprises, mais qu'il a d'autres plans pour cet ancien château-fort libéral.

Les prochaines heures et les prochains jours seront déterminants dans la décision de Mme Poulet.

Reste aussi à voir si son flirt avec le PLQ incitera François Legault à l'exclure de son caucus. Mais le premier ministre a moins d'ascendant sur ses troupes que par le passé, surtout avec la grogne qui sévit à l'interne en raison de la controversée loi spéciale sur les médecins.

Le député Provençal «pas rendu là encore»

Surtout qu'Isabelle Poulet n'est pas la seule à réfléchir à son avenir politique au sein du gouvernement. Questionné à savoir s'il songeait lui aussi à démissionner, le député caquiste Luc Provençal a répondu qu'il n'était pas «rendu là encore».

Rappelons que le ministre Lionel Carmant a quitté le gouvernement la semaine dernière en raison de la loi sur la rémunération des médecins. Il siège désormais comme député indépendant.

En incluant M. Carmant, huit élus caquistes ont quitté le gouvernement de François Legault depuis sa réélection en 2022: Joëlle Boutin, Pierre Fitzgibbon, Youri Chassin, Andrée Laforest, Pierre Dufour, Maïté Blanchette Vézina.

Un autre rat qui veut quitter le navire...en perdition.

Une vraie salope en plus, elle a fait de l'œil pour le PLQ. Pas certain que ce parti va la recevoir les bras ouverts, elle risque plutôt de recevoir un coup de couteau au dos.

Être chef du parti, je la crisserais dewors comme un chien pas de médaille !

Fiou, par chance que je ne suis pas poli-tichien.

En fait, je m'en câlisse si le radeau de la CAQ prend l'eau, il y a trop d'incompétents dans ce parti pour tenir ce radeau à flots.

Dédé

Facebook : Une autre députée songe à quitter la CAQ