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La poussière va se soulever au PLQ ! (Forum)

par Dédé, jeudi 27 novembre 2025, 14:59 (il y a 5 jours)

Source : Crise au PLQ: Marwah Rizqy a livré sa version à l’UPAC

Elle a été rencontrée mercredi par deux enquêteurs du corps de police

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Jean-Louis Fortin et Félix Séguin
Jeudi, 27 novembre 2025 04:00

MISE À JOUR Jeudi, 27 novembre 2025 04:00

L’Unité permanente anticorruption (UPAC) se penche désormais sur les allégations de «fling-flang» entourant le Parti libéral du Québec (PLQ). Elle a rencontré mercredi la députée Marwah Rizqy, a appris notre Bureau d’enquête.

Selon nos informations, deux enquêteurs de l’UPAC se sont rendus en matinée au domicile de Mme Rizqy pour noter ce qu’elle avait à dénoncer.

Les validations du corps policier ont commencé la semaine dernière, indiquent nos sources. Elles portent, entre autres, sur des allégations d’irrégularités en lien avec la dernière course à la chefferie du PLQ.

L’UPAC effectue notamment des enquêtes criminelles en matière de corruption, d’abus de confiance, de collusion, de fraude, de trafic d’influence et de malversations.

Son travail dans ce dossier en est à ses débuts et il est beaucoup trop tôt pour savoir s’il débouchera sur des accusations.

«Je souhaite ardemment que l’UPAC fasse toute la lumière sur cette affaire et, s’il y a lieu, dépose les accusations qui s’imposent», a réagi le chef libéral Pablo Rodriguez sur la plateforme X, en fin d’après-midi.

«Si quelqu’un, quelque part, a commis un geste illégal ou contraire à l’éthique, la vérité doit sortir et nous allons pleinement collaborer», a-t-il ajouté.

«Fling-flang»

M. Rodriguez affirme sur toutes les tribunes depuis une semaine qu’il n’est au courant d’aucune malversation et qu’il n’a rien à cacher. Rien n’indique que les vérifications de l’UPAC portent sur lui.

Dimanche, sur le plateau de Tout le monde en parle, à Radio-Canada, il a indiqué que Marwah Rizqy lui avait parlé d’un «fling-flang» en lien avec «Ottawa» lors d’une rencontre privée entre elle et lui la semaine dernière.

Il a suspendu Mme Rizqy du caucus libéral mardi dernier, après que cette dernière eut renvoyé la directrice de cabinet de l'Opposition officielle, Geneviève Hinse, sans le prévenir.

Depuis, Geneviève Hinse poursuit Mme Rizqy pour 500 000$ pour congédiement abusif, invoquant qu’elle ignore les manquements allégués qui auraient mené à sa fin d’emploi.

En fin de journée mercredi, c’était silence radio du côté de Mme Rizqy, qui est très prudente dans ses déclarations publiques depuis le début de cette saga.

C’est le chef conservateur Éric Duhaime qui le premier, la semaine dernière, avait réclamé que l’UPAC se mêle de ce dossier.

Plusieurs enquêtes

Ces démarches de l’UPAC s’ajoutent à une série d’autres enquêtes déclenchées en lien avec la crise qui secoue le PLQ.

Élections Québec, aussi connu sous le vocable «Directeur général des élections du Québec (DGEQ)», a en sa possession des textos échangés entre deux personnes qui travaillaient dans le camp de Pablo Rodriguez lors de la course à la chefferie du printemps dernier, comme l’a révélé notre Bureau d’enquête. Ces textos laissent entendre que des membres qui votaient pour M. Rodriguez auraient été récompensés avec de l’argent.

Le DGEQ enquête aussi sur une discussion entre Marwah Rizqy et le député du Parti libéral du Canada (PLC) Fayçal El-Khoury lors de l’inauguration de la nouvelle antenne du REM le 14 novembre dernier, révélait La Presse mercredi matin. M. El-Khoury détenait un certificat de sollicitation et amassait des dons lors de la course à la chefferie du PLQ.

La commissaire à l’éthique de l’Assemblée nationale a été contactée lundi par le PLQ, qui souhaite obtenir des clarifications en lien avec la politique d’utilisation de fonds parlementaires ainsi que les activités partisanes du parti et de son chef.

Sans oublier l’enquête externe commandée par le PLQ à l’ex-juge Jacques R. Fournier pour faire la lumière sur les allégations «graves», pour reprendre les mots de M. Rodriguez, contenues dans les textos révélés par notre Bureau d’enquête.

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Mme. Rizqy n'a pas le choix de se protéger et de préserver le silence tant que l'enquête ne sera pas terminée, en divulguant à l'UPAC tout ce qu'elle sait du fling-flang. Sur cet article, cette enquête externe a été commandée par le parti lui-même par M. Rodriguez. Alors pourquoi ce dernier dit que c'est Mme. Rizqy qui a convoqué l'UPAC ?

Source : [image]
Cliquer sur l'image pour lire l'article

Pourquoi que Mme. Rizqy ne s'est pas produite plutôt afin de faire la lumière de ce qu'elle savait ? Pourquoi qu'elle a renvoyé Mme. Hinze de son poste avant d'en avertir le caucus libéral ?

Chose qui me semble impossible, ce qu'elle nuit au parti et qu'elle ne veut pas du bien, je n'y crois pas parce que je trouve qu'elle est solidement attaché à ce parti et qu'elle faisait un bon travail au parlement pour son parti qui est à l'opposition officielle. Il y a sans doute une raison fondamentale pour avoir agi ainsi et cette raison est pour protéger l'image du parti, pour moi c'est aussi claire que de l'eau de roche.

Depuis que M. Rodriguez est en poste à la chefferie du PLQ, il semble y avoir des choses qui se font de façon croche et très discutable et je suis certain que Mme. Rizqy aura eu le mandat de se taire et de ne rien faire si elle en aurait averti le caucus préalablement.

Tout cas, nous allons bientôt le savoir avec cette enquête de l'UPAC et du DGEQ.

Dédé

le Ygreck Xtra à Dédé, Légro$ va pisser dans son jackstrap

par Jéromec, jeudi 27 novembre 2025, 16:13 (il y a 5 jours) @ Dédé

le Ygreck à Dédé les Brownies à l'Arsenic

par Jéromec, jeudi 27 novembre 2025, 16:39 (il y a 5 jours) @ Jéromec

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qui aurait cru que ça serait les Brownies à l'Arsenic qui viendrait à bout de la bête du PelleKul et aiderait Légros a freiner sa descente aux enfers....?

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La poussière va se soulever au PLQ !

par Blake, jeudi 27 novembre 2025, 16:56 (il y a 5 jours) @ Dédé

Source : Crise au PLQ: Marwah Rizqy a livré sa version à l’UPAC

Elle a été rencontrée mercredi par deux enquêteurs du corps de police

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Jean-Louis Fortin et Félix Séguin
Jeudi, 27 novembre 2025 04:00

MISE À JOUR Jeudi, 27 novembre 2025 04:00

L’Unité permanente anticorruption (UPAC) se penche désormais sur les allégations de «fling-flang» entourant le Parti libéral du Québec (PLQ). Elle a rencontré mercredi la députée Marwah Rizqy, a appris notre Bureau d’enquête.

Selon nos informations, deux enquêteurs de l’UPAC se sont rendus en matinée au domicile de Mme Rizqy pour noter ce qu’elle avait à dénoncer.

Les validations du corps policier ont commencé la semaine dernière, indiquent nos sources. Elles portent, entre autres, sur des allégations d’irrégularités en lien avec la dernière course à la chefferie du PLQ.

L’UPAC effectue notamment des enquêtes criminelles en matière de corruption, d’abus de confiance, de collusion, de fraude, de trafic d’influence et de malversations.

Son travail dans ce dossier en est à ses débuts et il est beaucoup trop tôt pour savoir s’il débouchera sur des accusations.

«Je souhaite ardemment que l’UPAC fasse toute la lumière sur cette affaire et, s’il y a lieu, dépose les accusations qui s’imposent», a réagi le chef libéral Pablo Rodriguez sur la plateforme X, en fin d’après-midi.

«Si quelqu’un, quelque part, a commis un geste illégal ou contraire à l’éthique, la vérité doit sortir et nous allons pleinement collaborer», a-t-il ajouté.

«Fling-flang»

M. Rodriguez affirme sur toutes les tribunes depuis une semaine qu’il n’est au courant d’aucune malversation et qu’il n’a rien à cacher. Rien n’indique que les vérifications de l’UPAC portent sur lui.

Dimanche, sur le plateau de Tout le monde en parle, à Radio-Canada, il a indiqué que Marwah Rizqy lui avait parlé d’un «fling-flang» en lien avec «Ottawa» lors d’une rencontre privée entre elle et lui la semaine dernière.

Il a suspendu Mme Rizqy du caucus libéral mardi dernier, après que cette dernière eut renvoyé la directrice de cabinet de l'Opposition officielle, Geneviève Hinse, sans le prévenir.

Depuis, Geneviève Hinse poursuit Mme Rizqy pour 500 000$ pour congédiement abusif, invoquant qu’elle ignore les manquements allégués qui auraient mené à sa fin d’emploi.

En fin de journée mercredi, c’était silence radio du côté de Mme Rizqy, qui est très prudente dans ses déclarations publiques depuis le début de cette saga.

C’est le chef conservateur Éric Duhaime qui le premier, la semaine dernière, avait réclamé que l’UPAC se mêle de ce dossier.

Plusieurs enquêtes

Ces démarches de l’UPAC s’ajoutent à une série d’autres enquêtes déclenchées en lien avec la crise qui secoue le PLQ.

Élections Québec, aussi connu sous le vocable «Directeur général des élections du Québec (DGEQ)», a en sa possession des textos échangés entre deux personnes qui travaillaient dans le camp de Pablo Rodriguez lors de la course à la chefferie du printemps dernier, comme l’a révélé notre Bureau d’enquête. Ces textos laissent entendre que des membres qui votaient pour M. Rodriguez auraient été récompensés avec de l’argent.

Le DGEQ enquête aussi sur une discussion entre Marwah Rizqy et le député du Parti libéral du Canada (PLC) Fayçal El-Khoury lors de l’inauguration de la nouvelle antenne du REM le 14 novembre dernier, révélait La Presse mercredi matin. M. El-Khoury détenait un certificat de sollicitation et amassait des dons lors de la course à la chefferie du PLQ.

La commissaire à l’éthique de l’Assemblée nationale a été contactée lundi par le PLQ, qui souhaite obtenir des clarifications en lien avec la politique d’utilisation de fonds parlementaires ainsi que les activités partisanes du parti et de son chef.

Sans oublier l’enquête externe commandée par le PLQ à l’ex-juge Jacques R. Fournier pour faire la lumière sur les allégations «graves», pour reprendre les mots de M. Rodriguez, contenues dans les textos révélés par notre Bureau d’enquête.

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Mme. Rizqy n'a pas le choix de se protéger et de préserver le silence tant que l'enquête ne sera pas terminée, en divulguant à l'UPAC tout ce qu'elle sait du fling-flang. Sur cet article, cette enquête externe a été commandée par le parti lui-même par M. Rodriguez. Alors pourquoi ce dernier dit que c'est Mme. Rizqy qui a convoqué l'UPAC ?

Source : [image]
Cliquer sur l'image pour lire l'article

Pourquoi que Mme. Rizqy ne s'est pas produite plutôt afin de faire la lumière de ce qu'elle savait ? Pourquoi qu'elle a renvoyé Mme. Hinze de son poste avant d'en avertir le caucus libéral ?

Chose qui me semble impossible, ce qu'elle nuit au parti et qu'elle ne veut pas du bien, je n'y crois pas parce que je trouve qu'elle est solidement attaché à ce parti et qu'elle faisait un bon travail au parlement pour son parti qui est à l'opposition officielle. Il y a sans doute une raison fondamentale pour avoir agi ainsi et cette raison est pour protéger l'image du parti, pour moi c'est aussi claire que de l'eau de roche.

Depuis que M. Rodriguez est en poste à la chefferie du PLQ, il semble y avoir des choses qui se font de façon croche et très discutable et je suis certain que Mme. Rizqy aura eu le mandat de se taire et de ne rien faire si elle en aurait averti le caucus préalablement.

Tout cas, nous allons bientôt le savoir avec cette enquête de l'UPAC et du DGEQ.

Dédé

Quelle affaire bizarre.

PLKul Fédéral, Guilputte kâlisse son camp...

par Jéromec, jeudi 27 novembre 2025, 21:36 (il y a 5 jours) @ Blake

:mdr:
Les Libâraux sont venus à bout d'un Minisse, le Super Vârt Guiputte sacre son camp....


https://www.tvanouvelles.ca/2025/11/27/accord-sur-les-pipelines-steven-guilbeault-demis...


Accord sur les pipelines: Steven Guilbeault démissionne de son poste de ministre
Accord sur les pipelines: Steven Guilbeault démissionne de son poste de ministre - Explications 18h
Guillaume St-Pierre
et Raphaël Pirro
Jeudi, 27 novembre 2025 16:25
Jeudi, 27 novembre 2025 19:00

OTTAWA | Coup de théâtre à Ottawa: Steven Guilbeault, le ministre de l’Identité et de la Culture canadiennes et lieutenant du Québec, claque la porte du cabinet de Mark Carney «avec une grande tristesse» en raison de différends importants sur les politiques environnementales de son parti.

• À lire aussi: Mark Carney et Danielle Smith s’entendent pour bâtir des pipelines

M. Guilbeault a annoncé la décision au premier ministre cet après-midi, après la signature d’un protocole d’entente entre Ottawa et l’Alberta sur la construction d’un nouveau pipeline pour exporter du pétrole et du gaz vers l’Asie.
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«Je comprends et je partage les efforts du premier ministre pour s’assurer que notre pays reste uni et que toutes les régions sentent qu’elles ont une voix», explique l’ancien ministre de l’Environnement et des Changements climatiques dans un communiqué.

«Malgré ce contexte économique difficile, je reste de ceux pour qui les enjeux environnementaux doivent demeurer à l’avant-scène. C’est pourquoi je suis en profond désaccord avec l’entente de principe entre le gouvernement fédéral et celui de l’Alberta.»

Entre autres choses, ce document prépare le terrain pour la construction d’un nouvel oléoduc de l’Alberta vers la côte de la Colombie-Britannique et dont le financement proviendrait du privé. Le produit serait à destination des marchés asiatiques.


Cette entente majeure prévoit également d’abandonner le plafond sur les émissions du secteur pétrolier et gazier et suggère de lever le moratoire sur les navires transportant du pétrole et du gaz le long de la côte nord de la Colombie-Britannique.

Pour Steven Guilbeault, c’était la goutte qui a fait déborder le vase après une série de reculs sur le plan de l’environnement du gouvernement Carney.

Rappelons que le premier geste de l’ancien banquier en tant que premier ministre était de mettre fin à la taxe sur le carbone pour les consommateurs.

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